Hadès Ashford ++ I think my gardian angel drinks

prénom(s) :  Hadès nom de famille : Ashford  âge : réponse ici. origines & lieu de naissance : Anglais, né à Bristol. Ses origines sont diverses, surtout Européennes.  statut civil ou amoureux : Hades avançait dans la nuit comme on traverse un rêve, sans jamais vraiment s’y ancrer. L’amour, il l’avait rencontré plusieurs fois, sous des formes variées, dans des éclats de rire volés au bord des rivières et des murmures échappés entre deux draps froissés. Mais toujours, ces moments finissaient par se briser, comme une pluie fine qui s’efface avant d’atteindre le sol. Chaque histoire commençait avec l’éclat d’une promesse, pourtant, il savait — au fond — que cela ne durerait jamais. Il n’était pas fait pour rester. Il le sentait dans ses os, une vérité qu’il portait avec une étrange légèreté, comme un vent d’automne qui refuse de s’attacher aux feuilles qu’il effleure. Chaque partenaire croyait pouvoir être celui ou celle qui capturerait enfin ce souffle insaisissable. Et lui, avec une douceur teintée de fatalité, laissait l’autre y croire un temps. Mais à la fin, c’était toujours pareil : l’enchantement s’effilochait, et Hades redevenait ce qu’il avait toujours été — un homme en quête d’un chemin qui n’existait peut-être pas. Ce n’était pas qu’il refusait d’aimer, non. Il aimait, parfois même d’une tendresse brûlante, mais il n’aimait jamais assez longtemps. Comme si quelque chose en lui glissait entre les doigts de ceux qui s’accrochaient, une marée qui se retire avant l’aube. Ce n’était jamais la faute de l’autre, ni vraiment la sienne. C’était simplement ainsi. Personne n’était le bon, et il doutait de pouvoir l’être pour qui que ce soit. Alors, Hades poursuivait sa route, seul mais pas amer, solitaire sans amertume. Il apprenait à danser avec l’absence, à apprécier le silence qui suit les adieux. Ce n’était pas la vie qu’il avait imaginée, mais peut-être était-ce celle qu’il était destiné à vivre. Chaque relation était un reflet éphémère, une étincelle éteinte trop vite. Et pourtant, il continuait d’avancer, non pas à la recherche de quelqu’un, mais simplement pour le plaisir de voir où la route le mènerait. emploi ou études : Hades avait gravi la scène comme on conquiert une montagne : à mains nues, chaque note arrachée au silence, chaque performance livrée comme un combat. Son talent était indéniable, mais il portait aussi l’empreinte des sacrifices invisibles — les nuits sans sommeil, les voix brisées, les moments où il doutait que ce rêve valait l’effort. Et pourtant, il était là, à présent, sur le sommet qu’il avait rêvé. Reconnu, acclamé, envié. Le monde prononçait son nom avec autant de fascination que de méfiance. Hades ne chantait pas seulement des chansons. Il faisait vibrer quelque chose d’inexprimable, une douleur déguisée en mélodie, une beauté sauvage que personne ne pouvait vraiment apprivoiser. Il devenait autre sur scène — une force magnétique, incontrôlable, un homme qui transformait ses blessures en refrains immortels. Sa voix, à elle seule, portait le poids d’amours perdus et de promesses non tenues, comme une mer tourmentée que personne ne pouvait apaiser. Mais sa réputation, elle, dansait à une autre cadence. Il n’avait jamais cherché les scandales, et pourtant ils semblaient toujours le trouver. Un mot trop tranchant lancé en interview, une apparition trop tardive, des histoires d’excès dans des chambres d’hôtel aux rideaux tirés. On murmurait qu’Hades était une étoile trop brûlante pour quiconque s’approchait de lui — un astre qui illuminait autant qu’il consumait. Pourtant, chaque fois qu’il semblait au bord de la chute, il trouvait un moyen de renaître, comme un phénix que le public ne cessait de redemander. Les articles croulaient sous les titres sulfureux, mais la musique, elle, ne mentait jamais. Il suffisait qu’il monte sur scène, qu’il ouvre les lèvres, pour que le silence s’écrase sous les premiers accords. Les scandales s’effaçaient alors, comme balayés par une tempête qu’il commandait d’un regard. Dans l’intimité de ses nuits, loin des lumières aveuglantes, Hades savait que ce succès portait un prix. Il n’y avait pas de place pour l’ordinaire dans sa vie, pas d’ancrage stable. Son cœur battait au rythme effréné de la célébrité, mais parfois, il rêvait d’une accalmie. Juste un instant où il pourrait être simplement un homme, et non plus un mythe ambulant. Mais il chassait vite ces pensées. La scène l’attendait toujours, et il ne savait être qu’une chose : un chanteur que le monde entier écoutait, même lorsque tout semblait s’effondrer autour de lui. Hades vivait comme il chantait — intensément, jusqu’au bout de chaque souffle, comme si chaque performance pouvait être la dernière. orientation sexuelle : Hades aimait comme il chantait : sans retenue, sans peur des déchirures. Ses désirs glissaient entre les genres avec la même fluidité que sa voix entre les octaves. Homme ou femme, regard brûlant ou sourire doux, il ne cherchait pas à définir ce qui lui faisait battre le cœur. L’amour, pour lui, était une mer sans rivage, une houle imprévisible où il se laissait porter, conscient que la beauté résidait justement dans cette liberté. Il n’avait jamais voulu se restreindre aux étiquettes, ni s’enchaîner aux attentes des autres. Certaines nuits, il se souvenait de baisers parfumés à la menthe et au vin rouge, d’autres encore de bras plus musclés, de colliers de cuir ou de caresses rudes comme des promesses murmurées à l’oreille. À chaque rencontre, Hades cherchait l’éclat du moment, l’intensité d’un frisson qui le ramenait à lui-même. Il ne voulait pas choisir entre les contours doux et ceux plus marqués. Il voulait simplement sentir qu’il existait, pleinement, dans l’étreinte de l’autre. Mais ce mélange, cette nature insaisissable, avait souvent troublé ceux qui avaient tenté de le comprendre ou de le posséder. On voulait le figer dans une forme, un cadre, quelque chose à apprivoiser, à nommer. Mais Hades échappait toujours, comme le vent qui s'invite entre des fenêtres entrouvertes, refusant de s’attacher là où l’on voulait le retenir. On l’accusait parfois d’être indécis, de jouer avec les cœurs. Ce n’était pas de l’indécision, seulement une incapacité à réduire l’amour à quelque chose de prévisible ou d’attendu. Il portait ses amours comme une collection de chansons éparses, certaines finies, d’autres laissées en suspens. Peu importait que l’histoire se soit écrite avec une femme à la voix douce ou avec un homme à la peau marquée de tatouages. Tous avaient laissé des souvenirs qu’il transformait en musique, chaque relation devenant un accord dans une symphonie inachevée. Hades ne regrettait rien. Sa bisexualité était une étendue sauvage qu’il traversait sans carte ni boussole, avec la certitude que chaque rencontre avait sa raison d’être, même les plus brèves. Il savait que cela pouvait déranger — que certains voulaient des chemins rectilignes et non ces croisées de routes mouvantes où il aimait s’égarer. Mais cela lui importait peu. Hades était né pour aimer à sa manière, sans demander la permission. Et lorsqu’il chantait sous les lumières tamisées, ses amours, qu’ils soient anciens ou récents, résonnaient dans chaque note. Homme ou femme, passé ou présent, chaque instant vécu brûlait encore dans sa voix. Car au fond, Hades savait que l’amour, sous toutes ses formes, était la seule chose véritablement digne d’être chantée.. aspiration choisie : If I can dream. faceclaim : Andy Biersack

Ton personnage a choisi une aspiration, autrement dit un souhait à long terme ou un but à poursuivre : que peux-tu nous dire sur ce qui l'anime ? Pourquoi cette aspiration et pas une autre, en quoi iel se retrouve dans celle-ci et en quoi cela influe aujourd'hui sur sa vie ?

Hadès vivait pour créer, chaque mélodie comme une étoile qu’il accrochait à l’immensité de son ciel intérieur. La musique n’était pas seulement son métier, c’était son souffle, la cadence secrète de son cœur. Il voyait des notes dans le chant du vent, des refrains dans les éclats de rire ou les pleurs de la ville qui ne dort jamais. Le monde entier lui offrait des fragments de chansons, et son esprit, insatiable, les tissait en symphonies que seul lui pouvait entendre. Il aspirait à poursuivre cette route faite de concerts fiévreux, de nuits blanches à écrire jusqu'à l’aube, de moments suspendus où chaque vibration d’une corde devenait une confession. La scène, c’était l’endroit où Hadès cessait d’être simplement un homme : il devenait une onde, un écho, un feu vivant qui se consumait sous les regards de ceux qui l’écoutaient. Là, sous les projecteurs, il trouvait un sens à sa propre existence — une raison de continuer, malgré le tumulte et les ombres qui l'accompagnaient.

Mais l’idée qu’on puisse lui arracher cela — sa musique, sa liberté d’expression, cet espace fragile où il se sentait enfin entier — l’étouffait comme un cauchemar. Sans cette porte ouverte sur l’infini, la vie perdait ses couleurs, devenait une cage d’acier où il dépérirait. Retirer la scène à Hades, c’était éteindre la flamme même de son être. Sans le droit de créer, il n’y avait plus de raison d’exister. Il n’avait jamais su respirer autrement qu’en rythmant ses jours au son de ses propres accords. Les compromis, les attentes, les obligations sociales — tout cela lui semblait dérisoire face à l’immensité de ce qu’il voulait offrir. Lui, il n’avait jamais voulu d’une vie tranquille ou prévisible. Tout ce qu’il désirait, c’était continuer à écrire, à jouer, à vibrer pour ceux qui, comme lui, avaient le sentiment d’être incomplets dans ce monde trop ordonné. Être privé de cette évasion serait pour Hadès comme une condamnation à vivre enfermé dans sa propre peau, un murmure étouffé là où un cri aurait dû éclater. Alors, il se battait, chaque jour, pour que sa musique ne soit jamais réduite au silence. Chaque note qu’il composait, chaque mot qu’il posait sur une page, était une manière de revendiquer son droit à exister pleinement, sans filtre, sans compromis. Peu importaient les échecs ou les obstacles — ce n’étaient que des dissonances passagères dans la grande symphonie de sa vie.

Pour Hadès, créer n’était pas une simple aspiration : c’était une nécessité, une façon de survivre. Et tant qu’il aurait des cordes sous les doigts et des chansons dans la tête, il poursuivrait son chemin, peu importe où il le mènerait. Car au bout du compte, il n’avait jamais vraiment cherché la gloire. Tout ce qu’il voulait, c’était continuer à vivre en musique, libre et incandescent, jusqu’à son dernier souffle.

infos en vrac
Caractère : **Apparence et comportement extérieur** :
Hadès  dégage une aura brute qui fait autant fantasmer qu’effrayer. Il porte souvent des vêtements sombres et usés : blouson en cuir, jeans déchirés, bottes marquées par le temps. Ses tatouages visibles sur les bras, parfois jusqu’au cou, racontent une histoire qu’il refuse d’expliquer. Une cigarette ou un briquet ne sont jamais loin de lui, renforçant son image de rebelle invétéré. Il parle fort, utilise un langage cru, et n’a aucun problème à recourir à la violence s’il sent qu’on le pousse trop loin. Il est souvent perçu comme quelqu’un qu’on préfère éviter : il est impulsif, intransigeant et facilement colérique. Lorsqu’il se bat, c’est avec une rage qui fait peur, et il peut sembler imprévisible, comme un loup solitaire qu’il vaut mieux observer de loin. Les rumeurs autour de lui sont partagées : certains le respectent, d'autres le détestent ou le craignent.

**Personnalité intérieure** :
Mais sous cette carapace épaisse et rugueuse, Hadès est beaucoup plus sensible qu’il n’ose l’admettre. Il est profondément loyal envers les rares personnes qu’il laisse entrer dans sa vie, et même s’il ne sait pas comment exprimer ses sentiments avec douceur, ses actes parlent pour lui. Il peut se montrer attentionné d’une manière brute : ramener quelqu’un chez lui sans rien dire après une mauvaise soirée, se tenir prêt à défendre ceux qu’il aime sans demander de remerciements. Dans l’intimité, il possède une tendresse inattendue. Il aime observer les étoiles ou écouter des morceaux de musique oubliés. Avec les rares personnes qui le comprennent, il devient étrangement silencieux, presque vulnérable, se permettant de montrer des fragments de lui qu’il cache soigneusement aux autres. Il ressent les choses intensément, mais ces émotions le submergent souvent, d’où son besoin de les masquer sous des accès de colère ou d’indifférence.

**Défauts** :
- Vulgaire : Il n’a aucune retenue dans ses mots et envoie valser les conventions sociales.
- Colérique : Il explose vite, et ses réactions peuvent être disproportionnées.
- Autodestructeur : Il se met souvent lui-même en danger sans s’en rendre compte.
- Fuyant : Il a tendance à éviter les conversations trop personnelles ou émotives.

**Forces cachées** :
- Empathie sincère : Il comprend instinctivement quand quelqu’un souffre, même s’il n’en parle pas.
- Loyauté : Une fois qu’il aime quelqu’un, il est prêt à tout pour le protéger, quitte à s'oublier.
- Douceur maladroite : Bien qu'il ne le montre que rarement, il a une manière maladroite mais touchante de prendre soin des autres (porter un manteau à quelqu’un sans demander ou offrir quelque chose sans en attendre de retour).

**Conflit interne** :
Hadès  est constamment en lutte avec lui-même. Il voudrait être meilleur, mais il ne sait pas comment. Il a peur qu’on l’abandonne s’il laisse voir sa vraie nature, alors il se barricade derrière son apparence de bad boy. Il se sent à la fois rejeté et incompris, ce qui nourrit sa colère contre le monde. Pourtant, une part de lui espère toujours qu’une personne saura le voir au-delà de son masque. Quelqu’un qui ne fuira pas quand il baisse enfin la garde.

**Résumé** :
Hadès est un personnage complexe, coincé entre l’image qu’il s’impose de bad boy dur et son vrai moi, plus doux, qu’il n’offre qu’à une poignée d’élus. Il navigue entre colère, vulnérabilité, et tendresse mal exprimée, donnant à ceux qui le rencontrent l’impression de voir une bête sauvage avec un cœur de poète blessé.

Histoire:

Hadès n’a jamais connu ce qu’on appelle une enfance normale. Sa vie a toujours ressemblé à un champ de bataille où le chaos régnait en maître. La maison était une zone de guerre constante, avec une mère épuisée par les disputes et un père dont l’haleine sentait l’alcool dès le matin. Les cris et les portes qui claquent étaient la bande-son de ses premières années. Et puis, un jour, sa mère a fini par partir, sans prévenir, sans se retourner. Hadès avait 13 ans. Il se souvient encore de ce matin-là : la chaise vide, le silence plus lourd que d’habitude, et la petite main de sa sœur de 5 ans agrippée à la sienne, tremblante. C’est à cet instant qu’il a compris que tout reposait sur lui.

Leur père n’a rien changé. Son monde à lui, c’était la bouteille et la violence. Il ne levait jamais le petit doigt pour s’occuper d’eux. Parfois, il rentrait ivre mort et criait pendant des heures ; d’autres fois, il disparaissait plusieurs jours sans laisser de trace. Hadès a dû grandir en accéléré. Il faisait de son mieux pour nourrir sa sœur, l’habiller, l’amener à l’école. Il s’occupait des lessives, essayait d’économiser quelques pièces pour acheter de quoi manger quand le frigo restait désespérément vide. À 16 ans, il travaillait après les cours dans des resto sans servir d'alcool ou des stations-service, trop jeune mais déjà habitué à encaisser les coups, que ce soit ceux du monde ou de son propre père. Sa sœur, c’est tout ce qui lui a donné la force de tenir. Elle est devenue sa raison d’exister, son joyau précieux qu’il protégeait de tout, surtout de leur père. À chaque échec, chaque nuit où il aurait pu baisser les bras, c’est elle qui l’a empêché de sombrer. Quand elle souriait, un bref rayon de soleil perçait la grisaille de sa vie. Il lui promettait toujours que les choses iraient mieux un jour.

Et ce jour est finalement arrivé.
Hadès a trouvé son échappatoire dans la musique. Ses paroles étaient crues, authentiques, le reflet de la douleur qu’il portait en lui. Ses performances ont attiré l’attention ; son nom a commencé à circuler. Peu à peu, il a percé, gravissant les échelons jusqu’à devenir un chanteur reconnu. L’argent a suivi. Avec lui, la possibilité d’offrir à sa sœur une vie meilleure : une maison décente, des vêtements neufs, et surtout, la promesse qu’elle n’aurait plus jamais à subir ce qu’ils avaient enduré.

Mais le succès a aussi son prix. Le vide qu’il ressentait toujours au fond de lui n’a jamais disparu. Une fois les concerts finis et les lumières éteintes, il restait seul avec ses démons. L’adrénaline de la scène ne suffisait plus, alors il a cherché ailleurs. D’abord un verre ou deux pour se détendre, puis les lignes de coke sont devenues régulières. Il s’est perdu dans les nuits sans fin, entre drogues, alcool, et corps éphémères. Le sexe était une autre drogue, une manière de se sentir vivant, même si ce n’était que pour un instant.

Ses relations amoureuses ont été des désastres. Chaque fois qu’il s’attachait à quelqu’un, il finissait par tout ruiner, incapable d’être vulnérable sans se saboter. On le qualifiait de toxique, d’incapable d’aimer autrement que de manière destructrice. Peut-être que c’était vrai. Peut-être qu’il ne savait pas comment être aimé, après tout ce qu’il avait vécu.

Pourtant, au milieu de ce chaos, sa sœur est restée son ancre. Il veillait toujours sur elle, même les nuits où il rentrait ivre et brisé. Elle est la seule à avoir accès à cette part de lui plus douce, plus humaine. Chaque matin, même avec la gueule de bois ou la fatigue dans les os, il trouvait la force de lui demander si elle allait bien, de lui sourire, parce qu’elle est tout ce qu’il a de précieux. Elle est la seule personne qu’il ne trahirait jamais.

Mais il le sait : s’il continue sur cette pente, il finira par tout détruire. Sa carrière, sa santé, sa relation avec elle… Tout pourrait s’effondrer à cause de lui, comme ça a toujours été le cas avec les autres. Mais il est coincé, incapable de trouver une sortie. La musique, la drogue, les nuits sans fin, c’est tout ce qu’il connaît pour ne pas sombrer. Et pourtant, chaque matin, il se lève, remet un pied devant l’autre, parce que c’est tout ce qu’il peut faire. Pour elle. Thalia.


[1]- A tendance à tapoter le rythme d’une chanson sur les surfaces sans s’en rendre compte.  -[2] Ne peut pas s’endormir sans écouter un fond sonore, comme des bruits de pluie. [3]- Collectionne des objets insolites, comme des briquets. [4]- Déteste les textos sans ponctuation et les trouve agressifs. [5]- A l’habitude de réorganiser son espace quand il est stressé (comme déplacer des meubles ou ranger compulsivement). [6]- A tendance à disparaître des réseaux sociaux sans prévenir, pour retrouver un peu de calme. [7]- Prend l’habitude de donner des surnoms à tout le monde, souvent inattendus mais affectueux. [8]- Ne se confie jamais sur les choses importantes, mais partage facilement des anecdotes futiles. [9]- N’oublie jamais une date importante, même celles que les autres oublient. [10]- A déjà survécu à un vol annulé en passant la nuit dans un aéroport, où il a composé une chanson sur son téléphone. [11]- Garde toujours une pièce porte-bonheur dans sa poche, même s’il n’est pas superstitieux. [12]- A appris à cuisiner pendant, mais ne sait préparer qu’un seul plat à la perfection. [13]- Allergique au pollen, ce qui complique les printemps. [14]- Intolérant au lactose mais boit quand même du lait et le regrette toujours. [15]- Fait des migraines lorsqu’il est trop longtemps exposé à des lumières vives comme le soleil sans lunettes pour se protéger les yeux. [16]- Hypersensible aux autres parfums [17]- Porte des lunettes pour lire mais les oublie systématiquement quelque part. [18]- Adore les animaux mais a peur des oiseaux depuis une mésaventure avec une mouette. [19]- Aime l'odeur du café mais adore par-dessus tout  l'odeur du thé Earl Grey. [20]- A un faible pour les bonbons au goût de réglisse, même si presque personne n’aime ça autour de lui. [21]- Préfère le métro aux voitures parce qu’il trouve les transports en commun inspirants. [22]- Déteste les surprises, surtout pour son anniversaire. [23]- S’est déjà endormi sur scène pendant une répétition après une nuit blanche. [24]- A appris la guitare en secret durant l’adolescence pour impressionner quelqu’un, mais la personne ne l’a jamais su. [25]- S’est un jour trompé de train et a passé toute une soirée dans une ville inconnue.  [26]- A écrit une chanson entière sur un rêve qu’il a fait, mais ne l’a jamais partagée. [27]- A tendance à envoyer des messages sans jamais les relire, ce qui donne parfois des phrases bizarres. [28]- A un groupe très restreint d’amis proches, mais est amical avec tout le monde en surface. [29]- Aide spontanément les inconnus, mais déteste qu’on lui demande un service. [30]- Garde toujours dans son portefeuille une vieille photo d’un moment heureux. [31]- Déteste les appels téléphoniques mais peut envoyer des messages vocaux sans problème. [32]- Passionné par les casse-têtes et peut passer des heures sur des énigmes sans se lasser. [33]- Collectionne des playlists étranges sur son téléphone, classées par humeur ou météo. [34]- A un goût surprenant pour les vieux films en noir et blanc. [35]- Fait souvent des croquis de manière distraite pendant les réunions ou conversations.

Hibby  (Elle)
prénom : Hibby. âge : 30. pays : Expat en USA. fréquence de connexion : Variable. comment as-tu découvert Get Together ? Une promenade de santé sur internet type de personnage : inventé multicomptes : Aucun. crédits : rageisinourveins, the real cali cali  un petit mot pour terminer ?