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☆ Reed & Jules • Sunshine Superman

2 participants
Jules Donnelly
STAFF Les premières secousses
Jules Donnelly
STAFF Les premières secousses


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
20 ans
Date de naissance  :
31/10/2004
Surnom(s)  :
Jules. En réalité, elle répond au prénom : Juliet"
Polaroid :
☆ Reed & Jules • Sunshine Superman E70635bc75a5ca16b4304228d65df45f18ee289a
Statut  :
Célibataire. Refuse l'idée qu'elle puisse être amoureuse.
Orientation sexuelle :
"Quelle importance !" répondra-t-elle avec l'insolence des jeunes adultes de sa génération.
Métier  :
Etudiante en commerce. Elle bosse comme étudiante à la librairie "Book Nook" tenue par sa tante, Scarlet. Elle a un projet à financer/
Adresse  :
89, Old streed, Old City avec son père (Reed Donnelly) & 205, Henley grove, Redland chez sa mère. (Sloane Arden)
Les petits détails  :
Elle aime les longues balades à dos de cheval dans les bois ou en campagne ☼ Pendule, oracle, tarot, reiki, poterie, Nina : c'est passion ☼ Jules a un avis sur tout ☼ Elle croit en la réincarnation, ne mange plus de viande. ☼ Elle médite. ☼ Elle s'habille en friperie ☼ Elle met des plantes vertes partout. ☼ Elle tient un bullet journal. ☼ Elle apprend la langue des signes depuis 5 ans. ☼ Elle prépare un road trip en Europe et s'essaie à la rénovation d'un van en tiny house. ☼ Elle aime sentir l'adrénaline qui lui parcoure l'échine quand elle se met en danger.
Pronoms du perso  :
elle
Triggers  :
Suicide. Le reste, on peut en parler.
Warnings  :
Divorce. Absence d'un parent. Famille recomposée. Activisme.
Code couleur rp  :
339933
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
☆ Reed & Jules • Sunshine Superman Bab9903622446d7c565fbb26bebc99b804f5cb68
Reed ☼ "Tu seras heureuse quand t'auras trouvé ton moule. Il existe, continue de le chercher. Et surtout, quand tu l'auras trouvé, pense à mettre un peu de beurre au fond, pour pas que ça accroche."
☆ Reed & Jules • Sunshine Superman Eba67e53fc270e05c15f7e614535df531221c8f0
Sloane ☼ La valeur d'un moment dépend de son intensité. C'est pour cela qu'il existe des moments inoubliables, des choses inexplicables et des personnes incomparables... comme ma mère.

☼ 6/5 -AlexReedSloaneScarletBoGigiLottie

Messages  :
276
Pounds  :
1235
Date d'inscription  :
29/09/2024
Disponibilité rp  :
disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
Je peux écrire aussi bien à la 3e qu'à la 1e personne qui est de loin ma préférée. Je n'aime ni écrire ni lire un post écrit à la seconde. Je suis plutôt rapide (à moins d'être en présence réduite et, niveau longueur, je m'adapte assez facilement à mon partenaire. Cela étant, au plus on m'en donne, au plus je peux donner. J'essaie néanmoins de me limiter pour ne mettre personne mal à l'aise. Aussi, je te préviens, futur partenaire, je ne t'obligerai jamais à écrire aussi long ou aussi court que moi (selon le cas.).
Genre irl  :
Féminin
Faceclaim  :
Milly Alcock
Multicomptes  :
Aliyah Reeves & Terry Mulligan
Crédits  :
avatar (c) vysenia ☼ gif profil (c) willowsallen ☼ Gif J. Bailey (c) davidgiuntcli ☼ Gif D.Agron (c) Cas ☼ Gif pl (cassiopeis) ☼ Gif S. Mendes (Mars)
IRL

https://gettogether.forumactif.com/t965-jules-un-peuple-sans-memoire-est-un-peuple-sans-avenirhttps://gettogether.forumactif.com/t1102-jules-la-vaguehttps://gettogether.forumactif.com/t1114-jules-donnelly-instagram-personnel#42356


Sunshine Superman
@Reed Donnelly ☆ Jules Donnelly
gifs by (c) davidgiuntcli. et (c) Jofredapetterson


”C’est bon comme ça ? Parce que je ne pense pas que je vais pouvoir faire mieux. Je ne voudrais pas déranger le voisin et on n’est pas très loin de sa haie, là.” m’a demandé Percy quand, moi, je ne l’écoute plus vraiment. Je suis tout à mes rêves, tout à mon projet. Je contemple d’ailleurs le coffre plus grand que dans mon souvenir maintenant qu’il a été vidé. Je réfléchis déjà à comment l’aménager pour rentabiliser l’espace. Dans ma tête se dessine un produit fini charmant, bohème, coloré de bleu pâle, de vert poudré et de vieux rose. Mon beau-père, je ne l’entends pas répété mon prénom de plus en plus fort (sans doute). Je n’aurais pas touché terre avant une bonne heure encore s’il n’avait pas posé sa main sur mon épaule. ”Excuse-moi, tu disais ?” me suis-je enquis, un sourire radieux épinglé à ma bouche en guise d’excuses. ”Je disais : hors de question de le faire démarrer. Il pollue trop et Monsieur McHolland va nous envoyer la police si tu essaies de l’empoisonner au gaz d’échappement.” Il exagère. Le vieil homme d’à côté n’est pas un mauvais bougre. Certes, il n’est pas toujours commode, mais il m’adore. Au pire, il me sermonner. Convoquer les autorités serait sa dernière option. Qui plus est, loin de moi l’envie de désobéir, j’ai trop bataillé pour recevoir en cadeau ce vieux tacot. Percy et sa mine inquiète n’ont pas de soucis à ressasser, mais jugeant mon hochement de tête trop peu rassurant, j’ai consacré l’accord d’une accolade et de remerciements sincères. ”Je ferai pas de vagues, promis. Puis, j’ai d’autres idées pour lui et rien qui nécessite de le déplacer. L’endroit est parfait, d’ailleurs. Merci, merci, merci mille fois. ” l’ai-je seriné, authentique, mais néanmoins pressée de prendre les mesures de l’espace de mon nouveau “champ des possibles”, fouiller la toile en quête d’inspiration ou de tutoriels pour atteindre mon objectif. ”Tu es consciente que tu t’attaques à un truc insensé quand même ?” a-t-il déclaré, ses deux mains sur mon épaule et le regard perdu sur son ancien véhicule. ”Tu as une idée de comment t’y prendre ?” ”Aucune idée. Mais, Google est mon ami.” ”Interdiction de prendre mon générateur de façon permanente. Je peux le prêter, mais sans plus.” Un salut militaire et un “chef, oui chef”, scandé avec humour plus tard, je l’ai observé prendre congé et, engoncé dans mon foulard - trop tôt pour les écharpes, mais ça ne saurait tarder - j’ai interrompu sa course d’une nouvelle requête. ”Hey, Percy, ça t’ennuie si je le montre à Papa ?” Non. Evidemment. L’ambiance entre ces deux hommes n’a jamais été pesante. Je crois même qu’il se respecte, à défaut de s’apprécier réellement. Si je me trompais, mon beau-père n’aurait pas commenté d’un : “Je te le conseille. On sait jamais, il te fera peut-être entendre raison.” qui lui a valu un nouveau sourire.

Cette question réglée en a ouvert une autre. Comment l’aborder, le Professeur Donnelly ? Dois-je lui passer un coup de fil ? Lui envoyer un message ? Lui demander de vérifier son emploi du temps et de me réserver un créneau ? L’incertitude bride ma spontanéité. J’ai pianoté cinq messages différents, les jugeant tous mal amenés ou peu appropriés. C’est attristant d’hésiter à ce point. Lucide sur ce que raconte notre relation, j’ai bien failli renoncer, mais j’en serais trop déçue… de moi, de lui alors que je l’aurais privé de l’opportunité de refuser si je rangeais mon portable dans ma poche. Alors, je me suis jetée à l’eau. J’ai écrit sans réfléchir, envoyé, pas relu - surtout ne pas relire - rangé mon téléphone et j’ai veillé à ne pas attendre une réponse dans les cinq minutes. J'ai préfèré me laisser surprendre par les vibrations de mon portable dans la poche arrière de mon jeans. Je sors du waiting mode et, comme promis, j’investis la cuisine pour remplir une bouilloire. Je prépare également deux tasses à la anse tordue, par ma faute : j’espèrais leur donner la forme d’un cœur. L’échec aura été cuisant, mais ce défaut leur confère un tel charme que je les ai tout de même décorées. Polie, j’ai hélé mes parents à travers les différentes pièces de la maison tant pour les avertir de cette visite surprise - ou presque - que pour leur proposer du thé. Pas de réponse. Percy a certainement souhaité s’éviter une rencontre avec mon père. Quant à ma mère, si j’en crois le post-it collé au frigo, elle est en rendez-vous pro avec un de ses futurs auteurs, ces vendeurs de “rêves”, ces pauvres gamines vides d’idées révolutionnaires et qui n’ont pour ambition que la célébrité made in Stephanie Meyer. Des foutaises, oui. A mon sens, une perte de temps pour cette femme intelligente qui vaut mieux que les auteurs qu’elle édite. ça ne me regarde pas cependant. C’est moins amusant que de taquiner mon père. Je me joue de ses angoisses, mais ce n’est pas bien méchant. Ma hâte à l’idée de retrouver deux des hommes les importants de mon existence en est démultipliée… Et dieu que ça valait le coup d’attendre. La bouilloire a sifflé en même temps que la sonnette a retenti. J’ai choisi d’ouvrir à mes invités.  ”Tadaaammm” ai-je lancé en ouvrant les bras, secouant la tête pour que volent mes cheveux. ”Toujours aussi blonde ou juste un tout petit peu plus. Pas de violet. Mais, j’ai pensé au bleu par contre. Et au piercing… mais, on en reparlera. Rentre.” Je l’ai embrassé avant d’attraper Lucas pour le serrer dans mes bras, très fort. Je l’ai couvert de baisers et j’ai babillé telle une gosse que je ne suis plus, ou plus tout à fait. Il faut que j’arrête de l’infantiliser : il est grand maintenant. Ils parlent à présent ou, pour être exacte, j’ai le décodeur et il se fait parfaitement comprendre.  ”Ta rentrée s’est bien passée ? Et, est-ce que je dois te parler de la mienne ou tu es déjà au courant de tout ?” ai-je ponctué d’un clin d’oeil rieur.  ”Une infusion ? J’en ai préparé un mélange avec de la bergamote, de la citronnelle et de la menthe de ma serre.  J’allais la goûter. Tu veux essayer avec moi ? Même si je ne peux pas te garantir le résultat ?”

_________________

Ce qui est à la mode n'est pas forcément bien !
"On est prêt, tout à fait prêt, on ne pense à rien d'autre, à l'intérieur de soi on est si vide, si nettoyé. On a atteint ce point en prévision duquel on s'est laissé ressourcer, prisonnier de sa bêtise et de sa confusion, de son appréhension et de sa teneur. On ne pense qu'à cette seule et unique chose. Un ordre, et ce qu'on fera ensuite sans hésitation. Tout ça fonctionne si parfaitement.” Strasser

Pics by (c) ... & (c) ...

Reed Donnelly
le gardien des vestiges
Reed Donnelly
le gardien des vestiges


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
39 ans
Date de naissance  :
21/10/1985
Surnom(s)  :
Professeur Donnelly par ses élèves, Ross Geller par ceux qui ont un peu trop d'humour.
Polaroid :
☆ Reed & Jules • Sunshine Superman PejRjZ6e_o
Statut  :
célibataire, son troisième mariage s'est soldé par un troisième divorce. les plus cyniques diront que c'était couru d'avance et la légende, elle, raconte qu'on lui a tendu une carte de fidélité la dernière fois qu'il a signé les papiers du divorce. père de trois enfants de trois mères différentes, il a la garde partagée des deux plus jeunes et s'efforce de reconstruire une vraie relation avec son aînée.
Orientation sexuelle :
hétérosexuel qui réfute l'idée qu'il puisse ne pas être aussi exclusivement attiré par les femmes qu'il l'a toujours cru (bisexuel refoulé)
Métier  :
professeur d'histoire ancienne et d'archéologie à l'Université de Bristol, il a officié en tant qu'archéologue de terrain pendant des années avant de troquer les chantiers de fouilles contre l'enseignement. il travaille également comme chercheur au sein du département d'anthropologie et d'archéologie de l'université et donne de son temps comme bénévole et famille d'accueil pour le Bristol Animal Rescue Centre.
Adresse  :
#89 Corn Street, Old City, dans une maison de caractère à la décoration éclectique.
Les petits détails  :
père de Juliet (19 ans), Jade (8 ans) et Lucas (2 ans), ils sont la prunelle de ses yeux et plus encore › l'archéologie l'a amené sur des expéditions aux quatre coins du monde, donner cours au même endroit tous les jours est plus dépaysant que l'inverse pour lui › connu pour avoir la demande en mariage facile, alors méfiez-vous si vous le voyez mettre la main dans sa poche à votre troisième rencart › au fond, c'est un romantique incorrigible que la solitude effraie et qui a toujours idéalisé la vie de couple › conformiste et un peu vieux jeu, il sort peu de sa zone de confort › peu présent pour son aînée quand elle était plus jeune, il cherche à réparer ses erreurs › collectionne les objets chinés, les erreurs de timing et les cardigans en laine › peut être bien à l'aube d'un minuscule bi-awakening, mais vous n'avez aucune preuve.
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
à discuter entre nous
Warnings  :
divorce, abandon parental, adultère, bisexualité refoulée, biphobie internalisée
Code couleur rp  :
peru
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
(08) harlan #1cody #1gigi #1sloane #1jules #1lottie #1scarlet #1jules #2

☆ Reed & Jules • Sunshine Superman 299cff8e0bf5d4c0e2a9eec78c5536a96e775acc
jules › I remember I thought you looked like an angel, wrapped in pink, so soft and warm. you've had me wrapped around your finger, since the day you were born. you beautiful baby from the outside in. chase your dreams, but always know the road that'll lead you home again. go on, take on this whole world. but to me, you know you'll always be my little girl.

☆ Reed & Jules • Sunshine Superman C01cf44076bc990fc73b144755a65bfaa4f6e0ea
lottie › was it something I said or something I did ? did my words not come out right ? though I tried not to hurt you, though I tried, but I guess that's why they say every rose has its thorn, just like every night has its dawn. I know I could have saved a love that night if I'd known what to say. instead of makin' love, we both made our separate ways.

☆ Reed & Jules • Sunshine Superman Aa7219f4fddf0528d14e4a865200286566985b92
sloane › stay in this moment, I just wanna hold it as long as we can. I'll always be lookin' for you in the distance wherever I am. and someday, I'll see your face in a crowded place, and it won't hurt as much. I hope you find someone who makes you feel like you're good enough. 'cause this is the last, this is the last bit of us.

☆ Reed & Jules • Sunshine Superman 4c5d88360342b80e37e6beb4da1555becf72612b
gigi › sorry, I gotta do it, I gotta let you down, 'cause I told everyone who I am right now. no, I really don't know who I am right now. I feel questioned from the people that I love anyways, but I know I gotta do it, gotta do it like this. I'm losing myself tryna make you bright, broke my heart in pieces for you. hurt my soul and head back and forth. I don't know how I gotta fix it now. sorry, I gotta do it, I gotta let you down. 'cause I don't really know who I am right now. no, I don't understand who I am right now.

☆ Reed & Jules • Sunshine Superman 8d601929328ecd8176c52933c50ab2d3fced0d37
harlan › i've heard it said that people come into our lives for a reason. bringing something we must learn and we are led to those. who help us most to grow if we let them, and we help them in return. i know i'm who i am today because i knew you. like a comet pulled from orbit as it passes the sun. who can say if i've been changed for the better but because i knew you, i have been changed for good.

Sujets terminés  :
nate #1
Messages  :
1095
Pounds  :
4250
Date d'inscription  :
25/08/2024
Disponibilité rp  :
pas disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
j'écris généralement entre 800 et 1500 mots, je peux faire plus long quand je suis très inspirée mais sais m'adapter à mes partenaires › j'écris à la troisième personne du singulier, en français › je suis une adapte des rps au feeling › je peux répondre par ordre chronologique ou favoriser certains sujets importants pour l'évolution de mon personnage, dans tous les cas je veille à ne jamais délaisser personne.
Genre irl  :
Féminin
Faceclaim  :
jonathan bailey
Multicomptes  :
james weatherton (joseph quinn)
Crédits  :
selfmade (avatar), counsellormurdock (gif profil), harley (gif jules), resovrceful (gif lottie), casiopeis (gif sloane), lily (crackship gigi), harley (gif harlan), timothyolyphant (gifs sign), ladyfame (userbars)
IRL

https://gettogether.forumactif.com/t140-reed-this-is-my-coming-of-agehttps://gettogether.forumactif.com/t229-reed-the-love-we-hadhttps://gettogether.forumactif.com/t230-reed-donnelly-instagram-personnelhttps://gettogether.forumactif.com/t399-reed-donnelly


Sunshine Superman
@Jules Donnelly ☆ Reed Donnelly
gifs by (c) davidgiuntcli. et (c) Jofredapetterson


10/2024 Redland, logements

Jules n'avait pas son pareil pour exploiter ses inquiétudes et s'en amuser, ce qui ne surprenait plus vraiment un Reed habitué à ce que sa fille aînée le taquine dès qu'elle en avait l'occasion et qui ne pouvait donc pas lui reprocher d'avoir joué la carte de la teinture pour cheveux dès qu'il avait eu le malheur d'aborder le sujet. Il tendait souvent le bâton pour se faire battre, Reed, et la vérité c'est qu'il n'avait eu que trop de temps pendant le trajet pour s'imaginer tout et son contraire au sujet de Jules, de ses cheveux, de ses fréquentations, de ses passions qui prenaient de plus en plus de place et au sujet desquelles il se faisait aussi du souci. Sa fille grandissait et n'avait plus rien d'une adolescente, si ce n'est dans la façon dont elle restait imprévisible la plupart du temps, et il lui fallait l'accepter tout comme l'idée qu'elle était en âge de décider pour elle-même. Cette visite serait donc l'occasion pour Reed de s'assurer que sa fille restait prudente dans les choix qu'elle pouvait faire, à défaut de calmer totalement ses angoisses maintenant qu'elle était une jeune femme bien décidée à mener ses propres combats. Une chose est sûre, voir sa petite tête blonde lui ouvrir la porte provoqua inévitablement un certain soulagement chez son père. ”Tadaaammm” Et tandis que sa fille bondit dans ses bras, Reed profita de cette étreinte pour la serrer contre lui et se laisser envahir par la nostalgie d'une époque où elle devait se mettre sur la pointe des pieds pour atteindre ses bras. ”Toujours aussi blonde ou juste un tout petit peu plus. Pas de violet. Mais, j’ai pensé au bleu par contre. Et au piercing… mais, on en reparlera. Rentre.” Si une part de lui s'était laissée convaincre par cette histoire de teinture, c'est parce qu'il savait que Jules serait allée au bout de son idée si elle avait vraiment eu l'intention de le faire, ce qui risquait d'arriver un jour ou l'autre. « Bon sang, je dois dire que je suis rassuré. Parce que je sais ce que tu vas dire, que c'est tendance et que ça va bien à Billie Eilish... » Chose qu'il ne pouvait pas nier après avoir eu la preuve sous les yeux. « Mais moi je suis d'avis que tu es bien plus jolie avec ta couleur naturelle. » Elle serait toujours adorable même avec les cheveux teints en bleu, mais il lui faudrait un moment pour s'habituer et Jules y verrait une nouvelle occasion d'insinuer qu'il avait des goûts et des opinions has-been. « Pour le piercing, je suggère que tu attendes que je sois en âge d'être sénile, ça te va ? » Ainsi il ne se rendrait compte de rien ou oublierait ce détail dans la seconde, ce qui s'avérait sans doute pratique pour pas mal de choses, quand il y pensait.

”Ta rentrée s’est bien passée ? Et, est-ce que je dois te parler de la mienne ou tu es déjà au courant de tout ?” L'amusement dans le regard de sa fille le contamina à son tour, pourtant le sujet était suffisamment sérieux pour que Reed l'aborde toujours d'un ton consciencieux. « Ça a été, oui, jusqu'ici j'arrive plutôt bien à intéresser mes élèves. Je crois que ça m'aide à me sentir de plus en plus légitime à ce poste. » Après quatre ans à enseigner à l'université, on pourrait croire que ça n'était pas trop tôt, mais sa reconversion avait demandé une véritable période d'acclimatation à l'ancien archéologue de terrain. « Quant à toi, on m'a effectivement parlé de ta rentrée. D'après tes professeurs tu te montres impliquée et tu prends tes cours au sérieux, mais tu continues d'avoir des idées très... arrêtées, comme ils disent. » Et il ne le disait pas comme un reproche, même s'il s'inquiétait souvent à propos desdites idées. Qu'elle soit engagée et prête à se battre pour ses convictions, il avait toujours trouvé ça bien, mais il lui arrivait de craindre que Jules se perde au milieu de ses combats ou se laisse entraîner par des personnes moins bien intentionnées qui pourraient la mener sur des chemins moins vertueux. Il s'inquiétait pour elle, simplement. ”Une infusion ? J’en ai préparé un mélange avec de la bergamote, de la citronnelle et de la menthe de ma serre. J’allais la goûter. Tu veux essayer avec moi ? Même si je ne peux pas te garantir le résultat ?” Alors que Lucas leur faussa brièvement compagnie pour aller jouer un peu plus loin, Reed s'assura de le garder dans son champ de vision et souffla. « Je suis à peu près sûr qu'on prendrait pas de trop gros risques avec des plantes, mais... c'est peut être plus sûr si je goûte en premier ? » Histoire qu'elle s'en sorte indemne s'il y avait le moindre risque pour que la recette ne soit pas encore au point. Bien sûr, il se contentait de plaisanter et n'imaginait aucun effet secondaire susceptible de leur faire regretter d'avoir laissé sa chance à cette tisane maison, surtout alors que Jules avait du s'y atteler très sérieusement, comme toujours. « J'ai presque encore du mal à croire que tu fasses pousser tout ça ici. Je me rappelle du jour où tu m'as parlé de cette serre pour la première fois, tu semblais déjà tellement passionnée. » Il avait été impressionné par sa maturité et trouvait encore aujourd'hui admirable qu'elle s'intéresse à toutes ces choses. Il n'y connaissait pas grand chose en plantes, Reed, mais à son âge lui aussi cultivait des passions inattendues pour quelqu'un d'aussi jeune. « C'est ce que tu voulais me montrer, à propos ? J'étais un peu inquiet suite à tes messages. » La possibilité qu'elle se soit teint les cheveux n'était qu'une des choses qu'il avait imaginé, son esprit ayant emprunté toutes sortes de chemins plus ou moins préoccupants. Il était peut être encore trop tôt pour pousser un soupire de soulagement, mais au moins elle semblait aller bien, c'était de loin le plus important.

_________________
✧ that's what you get when you let your heart win ✧
how am I supposed to feel when you're not here? 'cause I burned every bridge I ever built when you were here. I still try holding onto silly things, I never learn. all the possibilities, I'm sure you've heard. pain, make your way to me, and I'll always be just so inviting. if I ever start to think straight, this heart will start a riot in me.









trognon:

Jules Donnelly
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Elle aime les longues balades à dos de cheval dans les bois ou en campagne ☼ Pendule, oracle, tarot, reiki, poterie, Nina : c'est passion ☼ Jules a un avis sur tout ☼ Elle croit en la réincarnation, ne mange plus de viande. ☼ Elle médite. ☼ Elle s'habille en friperie ☼ Elle met des plantes vertes partout. ☼ Elle tient un bullet journal. ☼ Elle apprend la langue des signes depuis 5 ans. ☼ Elle prépare un road trip en Europe et s'essaie à la rénovation d'un van en tiny house. ☼ Elle aime sentir l'adrénaline qui lui parcoure l'échine quand elle se met en danger.
Pronoms du perso  :
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Suicide. Le reste, on peut en parler.
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☼ 6/5 -AlexReedSloaneScarletBoGigiLottie

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Je peux écrire aussi bien à la 3e qu'à la 1e personne qui est de loin ma préférée. Je n'aime ni écrire ni lire un post écrit à la seconde. Je suis plutôt rapide (à moins d'être en présence réduite et, niveau longueur, je m'adapte assez facilement à mon partenaire. Cela étant, au plus on m'en donne, au plus je peux donner. J'essaie néanmoins de me limiter pour ne mettre personne mal à l'aise. Aussi, je te préviens, futur partenaire, je ne t'obligerai jamais à écrire aussi long ou aussi court que moi (selon le cas.).
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@Reed Donnelly ☆ Jules Donnelly
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L’humour est pour beaucoup un rempart érigé hautement par devant les émotions. Dérobées au vu et au su des autres, ils se sentent alors en sécurité, à l’abri du jugement et des quolibets. Pour moi, les traits d’esprit n’ont pas plus de sens que celui du dictionnaire. Je plaisante pour divertir, pour amuser la galerie, pour rire avec mes proches, pour amplifier la connivence. C’est, finalement, une preuve de confiance et, si je confierais ma vie à mon père - jamais il ne me blesserait volontairement, j’en suis certaine - je ne blague pas avec ma coutumière authenticité : je taquine. Ce n’est pas l’éclat d’un sourire que je cherche à allumer sur ses traits. Je m’efforce de recueillir tous les indices attestant que je compte, vraiment, que ces absences durant mon enfance ne se justifiait pas par du désintérêt envers son rôle, mais par cette passion née de son ambition. La différence est capitale pour moi : je peux comprendre la seconde quand la première m’échapperait. ne l’ai-je pas vaillamment repoussée lorsqu’il était loin ? Quand j’ai cru l’équilibre de mon quotidien menacé par son divorce d’avec ma mère ? Certes, la maturité fait aujourd’hui la part belle à mes peurs de gosse. Ceci étant, mes réflexes ont la dent dure et je m’enorgueillis de son soulagement de me retrouver telle qu’il m’a laissée : blonde, pétillante, arsouille et, d’après lui, toujours aussi jolie. Le compliment m’a touchée, mais je n’ai pas roulé des yeux avec insolence. Je ne me suis pas non plus distinguée par la prétention. j’ai fait fi de l’arrogance des jeunes femmes bien dans leur basket lâchant un “ouais, je sais” péremptoire. Je me suis contentée d’un ”Ô, merci.” suant la gratitude et d’un baiser appuyé sur sa joue. Il est rasé de près, Reed. ça lui donne des airs d’un James Dean daté, un que la vitesse n’aurait pas fauché en plein vol. Peu de chance que l’imprudence le ravisse à sa famille d’ailleurs. Il est le père de la sûreté. Il représente, à lui seul, le cliché du prof raisonnable, carré, collé-monté. Rien ne déborde des contours du personnage et, si j’en crois les étudiantes de l’université et son nombre de mariages, ça plait. Son allure protocolaire de l’Anglais typique, le flegme en moi, lui confère un charme dont j’ai hérité quoiqu’il s’exprime autrement. Je suis consciente que mon tempérament relève du mystère. Je suis une énigme à décoder. néanmoins, je prends peu de risque en affirmant un ”Paraît que j’ai de bons gênes.” en refermant la porte derrière Lucas que j’ai enfin libéré de mon affection. Je me suis même autorisée un clin d’oeil complice : si la vanité est un péché, je plaide coupable. Je suis fière d’être une Donnelly. Chaque jour, je mesure ma chance qu’il s’efforce de créer du lien. Au contraire, n’aurait-il pas rappliqué aussi vite réclamé. il aurait attendu que j’investisse la chambre qui m’est réservée, chez lui, ou plus méprisant encore, il m’aurait fixé rendez-vous dans son bureau à l’université. Or, il est là, chez ma mère, à supporter mon grain de folie, à endurer mon besoin d’être reconnue au travers ses manifestations d’affection. Qu’il se tracasse pour moi en est la plus belle.

Quelquefois, j’ai honte d’avoir mis en place ce mécanisme consacré  me rassurer. Ce n’est pas bien méchant cependant et ça passera, avec le temps. ”Et, pour le piercing, on en reparlera, tu veux ? Si un jour j’y pense sérieusement.” Autrement dit, ce n’est pas d’actualité, il peut souffler, se détendre, s’attabler dans la cuisine, à goûter mon infusion et à me rapporter les hauts faits de sa rentrée. Mais, pourquoi donc a-t-il fallut que j’évoque la mienne . L’en détourner sera désormais compliqué puisque je sais exactement d’où vient cette allusion. ”Tu parles de ce qui s’est passé avec Andersen, c’est ça ? Faut pas l’écouter. Ce n’est qu’un vieux con de capitaliste qui ne supporte pas d’être contrarié… et je pèse mes mots.” ai-je remarqué, versant de l’eau chaude dans mes mugs artisanaux. ”Enfin, je sais pas mais il faut pas avoir fait un doctorat pour savoir que le cercle de la frustration est malsain et que c’est la base même de la manipulation du consommateur. Faut être sacrément hypocrite pour ne pas l’admettre. Crois-moi, il n’a rien à m’envier en matière d’idées arrêtées.” Agacée, j’ai soupiré pour en pas m’emporter davantage.”Rassure-moi, tu ne vas pas me demander de me taire, hein ? Parce que je peux pas faire ça.” Auquel cas, je me vexerais et qu’il se dévoue au rôle de goûteur n’y changera rien. Je ne peux pas aller à l’encontre de ma nature et de mes convictions. Quant à ma fougue, je crois que je m’inquiéterais si elle s’amenuisait. Je refuse d’être de ces filles éteintes, dénanties de nobles causes pour lesquelles se battre. ”Et, voilà pour toi. Du lait, du sucre et un gobelet d’eau pour mon adorable petit-frère. ” Aussitôt hélé, aussitôt apparu le temps d’une gorgée avant de s’en retourner aux jouets de Ben. ”ça doit te faire bizarre ? Non ? De le voir grandir ? De nous voir tous les deux aussi ? ” Là, sous ses yeux, l’aînée qu’il aura délaissé et le benjamin qui a joui du bonheur de l’avoir à la maison le soir. ”ça se passe avec sa mère ?” ai-je osé, maîtrisant mon dédain : il n’a pas sa place entre nous. ”Et, tu me dis si c’est pas bon. C’est une première tentative. Et, on, je ne voulais pas te parler de la serre, pas même de mes plantes.” Je m’éparpillais, il m’a ramené au cœur de cette visite et mes irritations sont à présent oubliées. ”Je voulais te montrer ma nouvelle acquisition.” J’ai couru dans le hall pour récupérer la veste de Lucas en babillant toujours. ”C’est au jardin. Bon, après, il faut encore que je bricole tout ça. C’est pour m’entraîner. Parce que c’est un projet qui s’imbrique dans un autre, un peu plus grand. Mais, viens voir, tu comprendras mieux.” ai-je proposé d’abord en habillant l’enfant, puis en entraînant le père et le bout d’homme vers le terrain de ma mère. La fourgonnette y trône sans grand panache. La peinture de la carrosserie est décatie. Elle n’a rien à faire au centre de cette pelouse non plus. Je jurerais avoir déniché de l’incompréhension dans le regard de mon père. ”Percy me l’a offerte. Il devait la vendre, mais il a accepté de me la céder. Bon, comme je te disais, faut que je l’arrange. Regarde.” J’ai ouvert grand les portes du coffre.. ”Je voudrais transformer l’intérieur en tiny house. Tu connais le concept ? Pour y vivre, ici, et parce qu’il faut que j’apprenne. C’est un petit projet dans un plus grand projet si tu préfères.” ai-je expliqué, des paillettes au fond des yeux.

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Ce qui est à la mode n'est pas forcément bien !
"On est prêt, tout à fait prêt, on ne pense à rien d'autre, à l'intérieur de soi on est si vide, si nettoyé. On a atteint ce point en prévision duquel on s'est laissé ressourcer, prisonnier de sa bêtise et de sa confusion, de son appréhension et de sa teneur. On ne pense qu'à cette seule et unique chose. Un ordre, et ce qu'on fera ensuite sans hésitation. Tout ça fonctionne si parfaitement.” Strasser

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Reed Donnelly
le gardien des vestiges
Reed Donnelly
le gardien des vestiges


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
39 ans
Date de naissance  :
21/10/1985
Surnom(s)  :
Professeur Donnelly par ses élèves, Ross Geller par ceux qui ont un peu trop d'humour.
Polaroid :
☆ Reed & Jules • Sunshine Superman PejRjZ6e_o
Statut  :
célibataire, son troisième mariage s'est soldé par un troisième divorce. les plus cyniques diront que c'était couru d'avance et la légende, elle, raconte qu'on lui a tendu une carte de fidélité la dernière fois qu'il a signé les papiers du divorce. père de trois enfants de trois mères différentes, il a la garde partagée des deux plus jeunes et s'efforce de reconstruire une vraie relation avec son aînée.
Orientation sexuelle :
hétérosexuel qui réfute l'idée qu'il puisse ne pas être aussi exclusivement attiré par les femmes qu'il l'a toujours cru (bisexuel refoulé)
Métier  :
professeur d'histoire ancienne et d'archéologie à l'Université de Bristol, il a officié en tant qu'archéologue de terrain pendant des années avant de troquer les chantiers de fouilles contre l'enseignement. il travaille également comme chercheur au sein du département d'anthropologie et d'archéologie de l'université et donne de son temps comme bénévole et famille d'accueil pour le Bristol Animal Rescue Centre.
Adresse  :
#89 Corn Street, Old City, dans une maison de caractère à la décoration éclectique.
Les petits détails  :
père de Juliet (19 ans), Jade (8 ans) et Lucas (2 ans), ils sont la prunelle de ses yeux et plus encore › l'archéologie l'a amené sur des expéditions aux quatre coins du monde, donner cours au même endroit tous les jours est plus dépaysant que l'inverse pour lui › connu pour avoir la demande en mariage facile, alors méfiez-vous si vous le voyez mettre la main dans sa poche à votre troisième rencart › au fond, c'est un romantique incorrigible que la solitude effraie et qui a toujours idéalisé la vie de couple › conformiste et un peu vieux jeu, il sort peu de sa zone de confort › peu présent pour son aînée quand elle était plus jeune, il cherche à réparer ses erreurs › collectionne les objets chinés, les erreurs de timing et les cardigans en laine › peut être bien à l'aube d'un minuscule bi-awakening, mais vous n'avez aucune preuve.
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
à discuter entre nous
Warnings  :
divorce, abandon parental, adultère, bisexualité refoulée, biphobie internalisée
Code couleur rp  :
peru
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
(08) harlan #1cody #1gigi #1sloane #1jules #1lottie #1scarlet #1jules #2

☆ Reed & Jules • Sunshine Superman 299cff8e0bf5d4c0e2a9eec78c5536a96e775acc
jules › I remember I thought you looked like an angel, wrapped in pink, so soft and warm. you've had me wrapped around your finger, since the day you were born. you beautiful baby from the outside in. chase your dreams, but always know the road that'll lead you home again. go on, take on this whole world. but to me, you know you'll always be my little girl.

☆ Reed & Jules • Sunshine Superman C01cf44076bc990fc73b144755a65bfaa4f6e0ea
lottie › was it something I said or something I did ? did my words not come out right ? though I tried not to hurt you, though I tried, but I guess that's why they say every rose has its thorn, just like every night has its dawn. I know I could have saved a love that night if I'd known what to say. instead of makin' love, we both made our separate ways.

☆ Reed & Jules • Sunshine Superman Aa7219f4fddf0528d14e4a865200286566985b92
sloane › stay in this moment, I just wanna hold it as long as we can. I'll always be lookin' for you in the distance wherever I am. and someday, I'll see your face in a crowded place, and it won't hurt as much. I hope you find someone who makes you feel like you're good enough. 'cause this is the last, this is the last bit of us.

☆ Reed & Jules • Sunshine Superman 4c5d88360342b80e37e6beb4da1555becf72612b
gigi › sorry, I gotta do it, I gotta let you down, 'cause I told everyone who I am right now. no, I really don't know who I am right now. I feel questioned from the people that I love anyways, but I know I gotta do it, gotta do it like this. I'm losing myself tryna make you bright, broke my heart in pieces for you. hurt my soul and head back and forth. I don't know how I gotta fix it now. sorry, I gotta do it, I gotta let you down. 'cause I don't really know who I am right now. no, I don't understand who I am right now.

☆ Reed & Jules • Sunshine Superman 8d601929328ecd8176c52933c50ab2d3fced0d37
harlan › i've heard it said that people come into our lives for a reason. bringing something we must learn and we are led to those. who help us most to grow if we let them, and we help them in return. i know i'm who i am today because i knew you. like a comet pulled from orbit as it passes the sun. who can say if i've been changed for the better but because i knew you, i have been changed for good.

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nate #1
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25/08/2024
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pas disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
j'écris généralement entre 800 et 1500 mots, je peux faire plus long quand je suis très inspirée mais sais m'adapter à mes partenaires › j'écris à la troisième personne du singulier, en français › je suis une adapte des rps au feeling › je peux répondre par ordre chronologique ou favoriser certains sujets importants pour l'évolution de mon personnage, dans tous les cas je veille à ne jamais délaisser personne.
Genre irl  :
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IRL

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Sunshine Superman
@Jules Donnelly ☆ Reed Donnelly
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10/2024 Redland, logements

Bien sûr qu'un soupçon de soulagement se lut aussitôt sur le visage de Reed lorsqu'il comprit que sa fille n'avait pas encore sérieusement dans l'idée de recourir au piercing, et ça même s'il suffisait toujours que le sujet soit évoqué pour faire monter sa tension quelques peu. Elle était donc libre d'éviter le sujet aussi longtemps qu'il lui plairait, ça n'était pas lui qui risquait de le remettre sur la table de si tôt – il se remettait encore de ses émotions à l'idée qu'elle ait pu se teindre les cheveux, le reste pouvait attendre un peu. Ce qui ne pouvait pas, en revanche, c'était cette discussion autour de la rentrée de sa fille, qui sans s'apparenter à une catastrophe avait tout de même fait forte impression à certains de ses professeurs. ”Tu parles de ce qui s’est passé avec Andersen, c’est ça ? Faut pas l’écouter. Ce n’est qu’un vieux con de capitaliste qui ne supporte pas d’être contrarié… et je pèse mes mots.” Se redressant dès qu'il entendit ces mots sortir de sa bouche, le professeur s'empressa de rebondir. « Juliet Donnelly, attention à ton langage. Tu as été mieux élevée que ça.  » Son ton était à peine plus ferme que lorsqu'il grondait un de ses plus jeunes enfants après qu'il ait fait une bêtise, autrement dit elle savait déjà qu'il n'était pas réellement en colère mais qu'il aurait malgré tout mauvaise conscience de la laisser insulter l'un de ses professeurs sans réagir. ”Enfin, je sais pas mais il faut pas avoir fait un doctorat pour savoir que le cercle de la frustration est malsain et que c’est la base même de la manipulation du consommateur. Faut être sacrément hypocrite pour ne pas l’admettre. Crois-moi, il n’a rien à m’envier en matière d’idées arrêtées.” Le pire, c'est que malgré tout le respect qu'il avait pour ses collègues – qui avaient tous un parcours encore bien plus impressionnant que le sien, notamment parce qu'ils s'étaient toujours destinés à l'éducation pour leur part – Reed aurait du mal à donner tort à sa fille. Il la connaissait mieux que quiconque et savait qu'elle était plus que capable de maîtriser son sujet lorsqu'il l'intéressait vraiment. « Je suis certain que tu as raison et que vous pourriez vous apprendre beaucoup de choses l'un à l'autre, mais tu sais comme moi que certains profs n'aiment pas tellement qu'on fasse la révolution dans leur salle de classe. Tu peux me croire, je bosse avec eux, je sais que certains sont particulièrement... » Vieux-jeu était sans doute le terme qu'il aurait utilisé s'il n'avait pas réalisé que vieux jeu, il l'était lui-même plus souvent qu'il ne le voudrait. ”Rassure-moi, tu ne vas pas me demander de me taire, hein ? Parce que je peux pas faire ça.” Mouvant la tête de droite à gauche pour faire comprendre à Jules qu'il n'en avait pas l'intention et qu'il ne comptait pas non plus passer la prochaine heure à lui faire la morale, Reed souffla finalement. « J'admire la passion que tu mets dans tout ce qui t'intéresse, et encore plus quand ça concerne tes cours. Mais l'attitude, ça compte aussi dans la façon dont tu seras perçue. » Que ce soit pour la suite de ses études ou plus tard, surtout si elle avait l'intention de mener ce genre de combats et de se faire entendre. Le monde était rempli d'individus qui n'attendraient qu'une occasion pour les décrédibiliser elle et son message : elle devait apprendre à ménager certaines susceptibilités pour être entendue.

”Et, voilà pour toi. Du lait, du sucre et un gobelet d’eau pour mon adorable petit-frère. ” La voir aux petits soins avec son petit-frère savait toujours l'attendrir, et ça même si ça n'avait rien d'inhabituel quand on la voyait à l’œuvre avec les deux plus jeunes de cette fratrie recomposée qu'ils formaient tous les trois. « Merci, c'est parfait. » Et alors que son fils l'imita au moment de se saisir à son tour de son gobelet, Reed se surprit à observer la scène avec une émotion savamment contenue mais non moins authentique. Un timing plutôt approprié pour la prochaine question de sa fille, qui le prit pourtant un peu au dépourvu. ”Ça doit te faire bizarre ? Non ? De le voir grandir ? De nous voir tous les deux aussi ? ” Il voyait où elle voulait en venir, Jules, et que ça avait forcément toujours quelque chose de déroutant de réaliser tout le chemin qu'ils avaient parcouru, elle et lui, depuis l'époque où elle était encore une toute jeune enfant aux yeux de qui son père faisait bien plus office de figure fantomatique que de repère dans son quotidien. Il savait qu'elle avait ça à l'esprit lorsqu'elle lui posait la question, bien qu'il s’efforce de ne pas trop y penser. Cette époque restait compliquée à se remémorer pour lui sans qu'il ne sente aussitôt la culpabilité ressurgir. « C'est pas beaucoup plus étrange de le voir grandir que de te voir devenir une jeune femme, à vrai dire. Ou de me rappeler que j'étais qu'un peu plus âgé que toi quand tu avais son âge. » Elle n'avait sans doute aucune envie qu'il le lui rappelle, mais c'était un constat qu'il ne pouvait s'empêcher de faire avec le recul qu'il avait aujourd'hui. Sloane et lui étaient si jeunes lorsque Jules était arrivée dans leur vie et bien qu'elle l'ait assurément bouleversée de bien des manières, son ex-femme et lui n'avaient jamais éprouvé le moindre regret. Elle était et resterait la plus belle chose qu'ils aient réussi ensemble et la plus belle façon dont Sloane et lui puissent continuer d'être liés l'un à l'autre, au-delà de toute l'affection qu'ils gardaient l'un pour l'autre. ”Ça se passe avec sa mère ?” Cette fois, le sujet le mettait un peu moins à l'aise et c'est dans une tentative pour noyer le poisson qu'il bredouilla, passant une main contre sa nuque avec un peu d'embarras. « Oh, tu sais... ça se passe. » La situation n'avait encore rien d'idéale et il n'avait pas envie de lui mentir, voilà pourquoi il évitait de trop s'étendre sur le sujet et espérait que Jules comprendrait qu'il y avait des choses qu'il aimait mieux ne pas mentionner quand Lucas était dans les parages. Qu'il aimait mieux ne pas mentionner du tout, en réalité, tant les choses pouvaient parfois être complexes entre Gigi et lui, et Reed incapable de lui rejeter la faute. ”Et, tu me dis si c’est pas bon. C’est une première tentative. Et, on, je ne voulais pas te parler de la serre, pas même de mes plantes.” Ce n'était donc pas pour cette raison qu'elle l'avait fait venir, bien qu'il soit loin de se plaindre d'avoir l'occasion de goûter à l'une de ses préparations. « C'est très bon, surtout pour une première tentative. Mais maintenant tu me rends encore plus curieux. » Ses messages l'avaient intrigué, à présent il ne tenait plus en place.

Les possibilités restaient multiples, ça Reed le savait bien, alors peut être bien qu'il valait mieux qu'il évite de se poser trop de questions avant d'avoir la révélation sous les yeux. ”Je voulais te montrer ma nouvelle acquisition. C’est au jardin. Bon, après, il faut encore que je bricole tout ça. C’est pour m’entraîner. Parce que c’est un projet qui s’imbrique dans un autre, un peu plus grand. Mais, viens voir, tu comprendras mieux.” Peinant à la suivre comme chaque fois que Jules s'emballait pour quelque chose, Reed se contenta de partager son enthousiasme et ne se fit pas prier pour lui emboîter le pas, comprenant que ce qu'elle avait à lui montrer n'était pas sous ses yeux depuis le début – le suspense montait donc d'un cran et n'était pas encore terminé. « Au jardin, tu dis ? Je te suis, j'ai hâte de voir ça. » Dire qu'il n'appréhendait pas un peu serait mentir, bien sûr, mais il connaissait suffisamment bien sa fille aînée pour savoir que quoi qu'elle soit sur le point de lui montrer, ça valait assurément le détour. Mais alors qu'ils alignèrent quelques pas à travers le jardin, la présence d'une intrigante fourgonnette attira l'attention de Reed, qui lança un regard quelques peu interloqué à Jules. ”Percy me l’a offerte. Il devait la vendre, mais il a accepté de me la céder. Bon, comme je te disais, faut que je l’arrange. Regarde.” Lui qui se demandait l'instant d'avant si c'était bien ça qu'elle comptait lui faire découvrir avait maintenant la réponse : c'était bien de cet engin dont il s'agissait. « Oh c'est... un van ? » Sa surprise se lisait si facilement sur les traits de son visage qu'il en oublia sans doute de refermer la bouche une seconde ou deux. Il ne s'attendait pas le moins du monde à cette découverte, Reed. « De tout ce que je m'attendais à voir, je dois avouer que ça ne faisait pas partie de la liste. » Et s'il s'efforçait d'en plaisanter, il n'en était pas tellement rassuré pour autant. Et à raison. ”Je voudrais transformer l’intérieur en tiny house. Tu connais le concept ? Pour y vivre, ici, et parce qu’il faut que j’apprenne. C’est un petit projet dans un plus grand projet si tu préfères.” Un projet dont le père de famille n'aurait pas pu imaginer l'ampleur avant qu'elle ne le lui présente, lui qui s'imaginait un peu naïvement que sa fille attendrait encore quelques années avant de nourrir ce genre de rêves. Non pas qu'il y ait quoi que ce soit de mal à ça, c'était même tout le contraire. Mais du haut de ses dix-neuf ans, elle voyait déjà les choses en tellement grand. « Oh. » Il s'entendit répéter, à défaut de trouver beaucoup plus constructif à dire sur le moment. Laissant passer quelques secondes, nécessaires pour qu'il digère autant d'informations d'un seul coup, le professeur ajouta finalement. « C'est très généreux de la part de Percy de t'en avoir fait cadeau, mais... j'en sais rien, est-ce qu'il n'aurait pas été plus raisonnable qu'on en discute tous avant ? » Percy avait probablement voulu bien faire et il n'en doutait pas – promis – mais ça n'était pas vraiment un cadeau anodin et il aurait apprécié qu'ils en discutent avant que les choses ne prennent déjà une telle ampleur. « Ta mère est au courant ? » Elle l'était sans doute et si ça n'était pas le cas, il était urgent qu'ils la mettent elle aussi dans la confidence. « C'est un beau projet, Jules, je cherche pas à dire le contraire. Mais tu te verrais réellement transformer ce van en un endroit où vivre ? Ça risque de demander énormément de temps, d'énergie, d'argent... et avec les cours... » C'était plus fort que lui, Reed était beaucoup trop pragmatique pour ne pas voir tout ce qui pourrait potentiellement présenter un obstacle à ce projet. Il avait toujours été comme ça et ça ne surprendrait sans doute pas sa fille. « Je suis juste un peu surpris. Je m'attendais pas à ce que tout ça ait déjà fait autant de chemin dans ton esprit. » Il confessa finalement, l'air coupable du père qui voudrait l'encourager dans ce qui la motivait mais se retrouvait légèrement désarçonné par tout ce que ça semblait impliquer. Elle y avait déjà mûrement réfléchi et c'était au moins un constat rassurant, mais il ne pouvait pas nier que ça lui semblait particulièrement ambitieux, comme projet.

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✧ that's what you get when you let your heart win ✧
how am I supposed to feel when you're not here? 'cause I burned every bridge I ever built when you were here. I still try holding onto silly things, I never learn. all the possibilities, I'm sure you've heard. pain, make your way to me, and I'll always be just so inviting. if I ever start to think straight, this heart will start a riot in me.









trognon:

Jules Donnelly
STAFF Les premières secousses
Jules Donnelly
STAFF Les premières secousses


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
20 ans
Date de naissance  :
31/10/2004
Surnom(s)  :
Jules. En réalité, elle répond au prénom : Juliet"
Polaroid :
☆ Reed & Jules • Sunshine Superman E70635bc75a5ca16b4304228d65df45f18ee289a
Statut  :
Célibataire. Refuse l'idée qu'elle puisse être amoureuse.
Orientation sexuelle :
"Quelle importance !" répondra-t-elle avec l'insolence des jeunes adultes de sa génération.
Métier  :
Etudiante en commerce. Elle bosse comme étudiante à la librairie "Book Nook" tenue par sa tante, Scarlet. Elle a un projet à financer/
Adresse  :
89, Old streed, Old City avec son père (Reed Donnelly) & 205, Henley grove, Redland chez sa mère. (Sloane Arden)
Les petits détails  :
Elle aime les longues balades à dos de cheval dans les bois ou en campagne ☼ Pendule, oracle, tarot, reiki, poterie, Nina : c'est passion ☼ Jules a un avis sur tout ☼ Elle croit en la réincarnation, ne mange plus de viande. ☼ Elle médite. ☼ Elle s'habille en friperie ☼ Elle met des plantes vertes partout. ☼ Elle tient un bullet journal. ☼ Elle apprend la langue des signes depuis 5 ans. ☼ Elle prépare un road trip en Europe et s'essaie à la rénovation d'un van en tiny house. ☼ Elle aime sentir l'adrénaline qui lui parcoure l'échine quand elle se met en danger.
Pronoms du perso  :
elle
Triggers  :
Suicide. Le reste, on peut en parler.
Warnings  :
Divorce. Absence d'un parent. Famille recomposée. Activisme.
Code couleur rp  :
339933
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
☆ Reed & Jules • Sunshine Superman Bab9903622446d7c565fbb26bebc99b804f5cb68
Reed ☼ "Tu seras heureuse quand t'auras trouvé ton moule. Il existe, continue de le chercher. Et surtout, quand tu l'auras trouvé, pense à mettre un peu de beurre au fond, pour pas que ça accroche."
☆ Reed & Jules • Sunshine Superman Eba67e53fc270e05c15f7e614535df531221c8f0
Sloane ☼ La valeur d'un moment dépend de son intensité. C'est pour cela qu'il existe des moments inoubliables, des choses inexplicables et des personnes incomparables... comme ma mère.

☼ 6/5 -AlexReedSloaneScarletBoGigiLottie

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Je peux écrire aussi bien à la 3e qu'à la 1e personne qui est de loin ma préférée. Je n'aime ni écrire ni lire un post écrit à la seconde. Je suis plutôt rapide (à moins d'être en présence réduite et, niveau longueur, je m'adapte assez facilement à mon partenaire. Cela étant, au plus on m'en donne, au plus je peux donner. J'essaie néanmoins de me limiter pour ne mettre personne mal à l'aise. Aussi, je te préviens, futur partenaire, je ne t'obligerai jamais à écrire aussi long ou aussi court que moi (selon le cas.).
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@Reed Donnelly ☆ Jules Donnelly
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Lèverait-il le ton de façon efficiente que j’aurais sursauté sous l’effet d’une double surprise. Or, il est bien trop doux pour m’avoir effrayée. Ce qui m’effare, c’est qu’il s’insurge contre mon vocabulaire comme si j’avais “réellement” insulté son collègue. A mon sens, le comparer au sexe féminin n’appartient au domaine de l’injure que pour mes semblables. Le “vieux con”, il devrait s’en sentir honoré, sauf qu’il n’en sait rien et, quand bien même, il est aussi intelligent qu’obtus. Quant à mon père, je ne sais que lui opposer alors qu’il m’imagine désolée de cet élan de vulgarité modérée. Serait-il bien venu de lui dispenr une leçon de françasi ? S’amuserait-il autant que moi de mon insolence toute mesurée ? Saluera-t-il l’esprit ou me tancera-t-il d’être présomptueuse ? Notre relation, fragile malgré les années écoulées depuis son retour au bercail, en souffrira-t-elle ? Je n’en sais rien. D’aucunes ne s’effrittent faute à des courants de pensée contraires. Pourtant, je choisi sciemment de ne pas le bousculer ou… ou seulement en partie. ”C’est bon ! Je suis plus une enfant et toi non plus. Je sui ssûre qeu tu as déjà entendu pire qu’un mot qui sa sa place dans le dico et qui au moins deux définitions connues, dont une tout à fait accetabple. Mais, ok, je ferai plus attention. La prochaine fois, je dirai que j’avais pas mes feutres de couleur et du papier pailleté pour l’aider à comprendre mes explications ou qu’un signe à lunettes aurait pu les comprendre, lui, c’est mieux comme ça ?” me suis-je renseignée, réprimant le dédain du sourcil arqué, des yeux qui roulent, me contentant d’expliciter le fond de ma pensée. Ce que j’essaie de partager avec mon père, c’est qu’Andersen ne perdrait rien à m’écouter - pas même de son temps -lui rapporter la souffrance des consommateurs, celles dont ils n’ont pas conscience et qui est directement provoquée par les publicistes. M’allouer quelques minutes lui garantirait d’être à l’abri du récit des conséquences désastreuses pour l’écologie qu’est ce monde capitaliste. Je ne l’embêterais pas plus que mon père auquel j’expose mes théories. Mes raisons sont différentes : il connaît déjà la chanson et, qui plus est, il ne joue pas la carte de l’agacement tandis que je déclame les premiers paragraphes du pamphlet de mes convictions. Mieux encore, il ne me contredit pas. IL ne m’invite pas non plus à faire profil vas sous prétexte qu’Andersen est émérite et éminent. Il conseille plus qu’il n’orgonne. Il avertit, non pas parce qu’il a été apostrophé à propos de mon comportement, mais pour m’apprendre à transmettre sans montrer les crocs. J’apprécie. J’apprécie et j’admets alors d’un soupir qu’il n’a pas tort.  ”Ok. Très bien ! .” ai-je initié, me détournant du plan de travail pour servir thé et eaux à la table de la cuisine.  ”Qu’est ce que tu me suggères alors ? Comment est-ce que je dois m’y prendre avec genre de gars ?” Pas de place pour la défiance : juste de l’inquiétude trahie par mon ton, celui qui traduit mon ésir d’être entenudue pour ma pertinence, pas pour parce que je me suis époumonée avec humeur dans un auditoire.  ”Je ne sais pas ce qu’il t’a dit exactement, mais je suis restrée polie et j’me suis pas énervée. Je dirais que jétais… comment dire… un peu agitée ? Convaincue, quoi ! Je lui ai peu-être coupé la parole une fois ou deux, mais parce qu’il m’a demande de me taire avec de ces mépris.” Il a craché mon nom de famille comme s’il s’agissait d’un mot ordurier. Il a ri à gorges déployées en me qualifiant d’utopiste de sa bouche péjorative. Une mal élevée aurait quitté la salle après un scandale à graver dans les annales de l’univesrité. Dès lors, je la regrette à demi cette conversation. J’y puiserai de quoi grand, oui, mais pour l’instant, quelle médaille Andersen espérait-il épingler à son veston en rapportant cette anicroche à son collègue ?  ”C’est vrai ce que tu dis ? Que tu admires ma passion ?” ai-je ensuite demandé, qu’il applique un peu d’onguent sur les plaies de mon ego et qu’il adoucisse ma peur de l’avoir embarrés.  ”Je pensais pas qu’il t’en parlerait. Je suis désolée si ça t’a mis mal à l’aise. Je ferai plus attention la prochaine fois..” Dans mon langage, ça signifie que je m’abstiendrai de tout commentaire. Je me contenterai de disparaître, de rapetisser sur mon siège, d’éviter un achoppement à Reed. Heureusement je n’ai pas été jusqu’à imaginer la scène : j’en aurais sans doute pleuré.

L’arrivée subite de Lucas dans la cuisine m’a permis de me reprendre. Sa présence est rassurante : son insouciance fait écho à la mienne. Elle résonne en moi puisque mes dix-neuf ans - bientôt vingt - ne l’ont pas altérée. Je rêve encore. Je joue toujours. La différence, c’est que les figures ont été remplacées par des plantes, de la céramique ou des cartes de tarot. J’ai aussi davantage conscience des années qui passent et qui nous éhcappe. Une fois passées, elles sont perdues pout de bon. Existe-t-il un adage plus idiot que celui qui prétend que le temps est rattrapable ? On ne répare pas à neuf ce qui est abîmé. Il reste toujours des traces ou des fissures sur un vase brisé, mais il demeure beau dans cette imperfection. Il raconte toujours une histoire, témoigne d’une vie et si l’analogie me conduit vers mon enfant, je jure que je soufre pas d’avoir été l’enfant pauvre de Reed. J’ai accepté il y a longtemps qu’il m’ait sacrifié sur l’autel de ses ambition et je ne lui en veux pas. Je ne le détesterais pas s’il admettait avoir regretté cette imprudence de laquelle je suis née. Il se démène trop pour qu’émerge du lien parental de la complicité et je l’y aide avec soin parce que l’idée me plaôit bien. Je suis curieuse de découvrir quel bonheur découlera des aspérités de notre relation. Et, pourtant, je râle qu’il me rappelle ô combien il était mal armé et peu prêt à endosser le rôle du chef de famille. Je bougonne parce que la question des remords me bûlent les lèvres sans réussir à les ouvrir. J’ai préféré à la franchise d’une indiscrétion des moyens détournés pour entendre la vérité et je déteste ça. Pour cause, ça ne me ressemble pas.  ”Maman dit qu’elle a jamais pensé que j’étais une erreur.” ai-je avancé, scrutant l’archéologue du coin de l’oeil. Qu’importe la joie ressentie pendant la grossesse ou que l’on me décrive comme un cadeau , je n’étais pas attendue et si j’ai jouie d’un amour inconditionnel au quotidien, je m’assure d’être parfaite en tout point pour ne soulever chez les miens de la déception. Pour ce faire, je cache, beaucoup. Je tiens ma famille à l’écart de mes activités de jeune femme ou d’engagée. je ne rend des comptes ni à propos de mes amitiés, amélioriées ou  non, ni sur ce qui occupe mes soirée ou mes week-ens. Je me contente du minimum syndical : je ne m’offusque pas que on papa défalque son ex de la conversation. A chacun son jardin secret.

Jusqu’ici, je n’ai impliqué mes parents - et par extension, leur conjoin respectif - que pour quérir avis ou faveur. Cette fois déroge à la règle cependant. Je suis intimement persuadée qu’ayant lui-même boulringué, mon père saisira que cette tiny jhouse n’est pas une fin en oi. Cela justifie mon enthousiasme crasse quand je pointe du doigt la camionnette de Percy. Enfoncée dans mes certitudes, je n’ai pas compris que l’étonnement du chef de famille dissimulait des craintes, voire de la réprobation. A l’inverse, mes traits ne se fendraient d’un sourire béat. ”Ah ouais ? Ce n’est pas si fou pourtant.” C’est au moins raccord avec ma personnalité fantasque, au même titre que mes envies d’aventure. ”Si j’y arrive, et ça sera le cas, je recommecerai tou, mais pour partir cette fois. D’ailleurs, faudra que j’apprenne la photo, que je revienne avec des souvenirs concrets. Bon, c’est pas pour tout de suite, évidemment, il y a du taf, mais….” Est-ce que tu m’aideras ?, allais ajouter après une hésitation. Je réfléchissais la forme adéquate pour ce type de requête : j’ai été avortée. Une seconde a suffi pour ouvrir une brèche dans le mur de la conversation et l’eau des doutes s’y est infiltrée, trop vite, si vite que je suis tombée de mes échasses. De tous mes scenarios, aucun n’anticipait cette réaction. Elle est glaciale au point de me refroidir, dans tous les sens du terme. ”Discuter de quoi ? De monter un lit et amener de l’eau courante au fond du jardin ? Pourquoi  ? Tu aurais dit non ?” La rhétorique pue le désappointement et de chaque pore de ma peau sue ma déception. Peut-être trouvera-t-il dans mes mots un soupçon de mépris et, pour cause, je sens poindre dans ma direction le vent de la négativité. Il vient d’ouest et souffle en est une rafle si violente que mon excitation s’est envolée. Le jonc de rivière s’est rompu : j’ai courbé le dos. ”Elle l’est, oui, et elle n’avait pas l’air de s’en faire puisqu’il est là. C’est quoi qui te dérange ?” l’ai-je confronté plus peinée qu’irritée. Me défendre dame le pion à l’agressivité : elle me desservirait quand les arguments de mon aimant détracteur empestent d’une bienveillance honorable, mais qui survient un peu tard. ”Oui, je m’y vois, oui, et même très bien Puis ça n’a rien à voir avec mes études. Ce n’est pas incompatible et je sais où sont mes priorités. Je sais ce que je veux pour mon avenir et je ne me terrerai pas dans un bureau parce que c’est confortable. C’est…” A des kilomètres de mes convictions. Toutefois, émue, je n’ai pas achevé mon réquisitoire. J’ai plutôt détourné le regard, trouvant mes converses d’une curiosité insoupçonnées et imméritée. ”C’est pas grave. Je me débrouillerai toute seule. J’ai cru que tu comprendrais, mais je me suis trompée, ça arrive.” J’ai haussé les épaules. Le caillou roulant sous ma semelle m’a été à réprimer le flot d’émotion qui menace de s’exprimer par les larmes. Et, bon sang, quel exercice difficile lorsqu’on est renvoyé dans sesbuts sans préavis. ”On devrait rentrer. Il fait froid. Je voudrais pas que Lucas tombe malade.” Moi qui espérais lui demander de l’aide, c’est raté. J’ai loupé mon effet et je me demande à présent à quelles frontières se heurtent sa fonciance en moi, sa foi en ma capacité à achever avec succès tout ce que j’entreprend, dussé-je au passage m’y arracher des plumes. Je m’interroge, sincèrement, mais j’ai surtout acté que la réponse ne vaut pas grand-chose face à motivation. Je me suis dès lors composé une mine rjéouie en surface malgré ma déception. Elle peut m’assommer, j’oublierai, j’oublie toujours. ”Tu n’avais pas fini ton thé en plus.” ai-je conclu en rebroussant chemin. Déjà je me dirige vers la porte de la cuisine.


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Ce qui est à la mode n'est pas forcément bien !
"On est prêt, tout à fait prêt, on ne pense à rien d'autre, à l'intérieur de soi on est si vide, si nettoyé. On a atteint ce point en prévision duquel on s'est laissé ressourcer, prisonnier de sa bêtise et de sa confusion, de son appréhension et de sa teneur. On ne pense qu'à cette seule et unique chose. Un ordre, et ce qu'on fera ensuite sans hésitation. Tout ça fonctionne si parfaitement.” Strasser

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