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Substances, smoke, and shared secret (Mac)

3 participants
Hadès Ashford
newbie in bristol
Hadès Ashford


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
30 ans
Date de naissance  :
21/03/1994
Polaroid :
Substances, smoke, and shared secret (Mac) 2258a17abf6f6e06fac71ea6f01572c6f9695495
Statut  :
Chaque histoire finissait toujours par se dissoudre, comme une pluie qui n'atteint jamais le sol. Ce n’était ni par refus d’aimer ni par indifférence, mais parce qu'il portait en lui une légèreté insaisissable, semblable à un vent d’automne qui caresse les feuilles sans jamais s’y fixer. Chaque partenaire croyait pouvoir le retenir, et lui laissait cette illusion, un instant. Mais au bout du compte, l’enchantement s’effaçait, et Hadès redevenait ce qu’il était toujours : un voyageur en quête d’un chemin qui n’existait peut-être pas. Il aimait, oui, mais jamais assez longtemps pour rester. Ce n’était la faute de personne, seulement la nature des choses. Alors, il poursuivait sa route, seul mais en paix, apprenant à apprécier le silence après les adieux. Chaque rencontre était une étincelle éphémère, et pourtant, il continuait d’avancer, non pour trouver quelqu’un, mais simplement pour voir où le vent le conduirait.
Orientation sexuelle :
L’amour, pour lui, n’avait jamais suivi de ligne droite. Il le trouvait dans le rire d’une femme, dans le regard d’un homme, et dans les instants suspendus qui ne demandaient ni étiquette ni justification. Il aimait sans carte ni boussole, attiré par des âmes plutôt que des corps, par ce qui brûlait à l’intérieur. Que ce soit une main fine ou une paume rugueuse, tout était juste quand cela vibrait au bon moment. Son cœur s'ouvrait dans toutes les directions, comme un vent qui souffle librement, indifférent aux frontières qu’on voudrait lui imposer.
Métier  :
Chanteur
Adresse  :
Loft, Clifton.
Les petits détails  :
Consomme énormément (drogues comme alcool) - accumule les relations éphémères, mais il a une personne dont il est très proche, qui est son point faible actuellement niveau relation. Celle-ci peut finir en explosion ou bien se terminer. Ils ne sont jamais en couple, mais ils sont jaloux l'un de l'autre. - Il a une petite soeur, Thalia, qu'il chérie par-dessus tout et surprotège.
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
viol, inceste
Warnings  :
Décès, alcool, dépendance (drogues), abandon parental, négligence & violence parentale.
Code couleur rp  :
crimson
Intervention pnj  :
oui
Messages  :
174
Pounds  :
1775
Date d'inscription  :
17/10/2024
Disponibilité rp  :
pas disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
Le jeu se déroule à la première personne du singulier, les rps peuvent varier en terme de grosseur, mais je préfère me concentrer sur 600-700 pour pouvoir avancer plus régulièrement, même si je peux faire plus court ou plus long au besoin.
Genre irl  :
Non-binaire
Faceclaim  :
Andy Biersack
Multicomptes  :
////
Crédits  :
Skeyde (avatar) , biersackgis (gif)
IRL

https://gettogether.forumactif.com/t1384-hades-ashford-i-think-my-gardian-angel-drinkshttps://gettogether.forumactif.com/t1415-hades-fractured-lights#54702

tw : violence, bagarre, sang, blessures.


Je me noie. Chaque gorgée brûle ma gorge et mes tourments se diluent dans l'alcool. La musique est une rumeur lointaine, un bourdonnement qui s'éteint sous le poids de mes pensées. J’ai pris quelque chose, une petite pilule, juste pour oublier un peu plus, pour brouiller les contours de ma douleur, pour effacer ce visage qui me hante. Mon cœur, ce foutu cœur, piétiné encore une fois. Alors je bois, je plonge tête la première, cherchant l'oubli au fond des bouteilles et des verres renversés.

L'air est froid quand je sors pour fumer, la nuit m’enveloppe d’une étreinte glaciale qui me réveille à moitié. La flamme du briquet tremble entre mes doigts, et la fumée envahit mes poumons comme un apaisement temporaire. Mais je n’ai pas le temps de savourer cet instant amer qu'une silhouette s’approche, chancelante. Un homme, l’air aussi perdu que moi, mais ses mots sont du poison. Il me cherche, il me provoque, et dans l’état où je suis, il trouve ce qu’il veut. La colère monte comme une vague, incontrôlable, et mes poings répondent avant ma tête.

Je me jette sur lui, tout devient flou. Les coups s’échangent, violents, brutaux, comme si chaque impact pouvait m’arracher un peu de ce poids qui me dévore. Je ne sais plus où je suis, je ne sais plus qui je suis. Tout ce que je sens, c'est la douleur sourde de mes phalanges qui frappent, les cris étouffés par la nuit, le goût métallique du sang qui coule sur ma langue.

C’est sale, c’est brutal, et pourtant, c’est une sorte de délivrance. Un exutoire où je libère mes démons en même temps que les coups partent. Je ne veux plus penser, je ne veux plus ressentir. La douleur devient mon ancrage, la violence mon seul remède. C’est absurde, c’est destructeur, mais pour un instant, pour un court instant, je me sens vivant, je me sens réel, malgré la pluie de coups qui s'abat. Parce que tout est plus simple dans la rage que dans l’amour. Les coups pleuvent, la rage déferle en moi comme un ouragan. L'adrénaline coule dans mes veines, dévorant la douleur, engourdissant mes pensées. Chaque coup est une catharsis violente, un cri muet lancé dans l’obscurité. Ses poings me frappent, mais je ne sens rien d’autre que ce besoin incontrôlable de frapper en retour, d’expulser tout ce que j’ai gardé en moi depuis si longtemps. Mes mains sont écorchées, couvertes de sang, mais je continue. La nuit tourne autour de moi, floue et distordue par l’alcool et la drogue.

C’est comme si la souffrance était la seule chose qui me maintenait debout, le seul moyen de sentir que je suis encore là, quelque part, même si je suis brisé. Les lampadaires jettent une lumière blafarde sur nos ombres déformées. Le bitume est froid sous mes genoux, et je ne sais plus si c’est moi qui le frappe, quelqu'un d'autre. J'ai cru voir quelqu'un s'entremêlé à notre bagarre. Ou lui qui me frappe, tout se confond dans un chaos frénétique. La haine et la douleur se mélangent, se confondent, et je perds toute notion du temps, du lieu, du pourquoi. La merde. Nous sommes prisonniers de la même merde.

Puis, soudain, tout s’arrête. Un cri, une alerte, une sirène au loin, peut-être.
Fuir, il faut fuir. Mais je ne suis pas seul. L'ombre. L'autre.  

Mac Kelly
les liens du sang
Mac Kelly


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
47 ans.
Date de naissance  :
31/03/1977
Polaroid :
Substances, smoke, and shared secret (Mac) May0osh
Statut  :
Célibataire.
Orientation sexuelle :
Hétérosexuel.
Métier  :
Mécano au Mi:motors (Redland). Mercenaire le reste du temps.
Adresse  :
Sous-loue une piaule à Stokes Croft, #99 Hillgrove Street.
Les petits détails  :
En cavale, dans le viseur du gouvernement Irlandais pour le meurtre d’un officier de police. Aussi sanguin que les clichés Irlandais le pré-supposent. Rire d'ours / Caractère de cochon. Vous ambiance une salle avec seulement 2 cuillères en bois. Parle couramment le gaélique. Déteste Margaret Thatcher. Levée de coude de bucheron alcoolique. Ribambelle de tatouages vikings et celtes sur plus de la moitié du corps. Membre de l'IRA.
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
Viens, on en discute en mp si t'es pas sûr.e de ton coup.
Warnings  :
Meurtres, armes à feu, crime organisé, consommation d'alcool / alcoolisme, violence physique / verbale / conjugale, mentions de terrorisme, d'attentats et de nationalisme.
Code couleur rp  :
<d>« ... » </d>
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
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Deborah » Dublin's Memories
April » Oh. It's you !
Ned » Good people drink good beer
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Hadès » Substances, smoke, and shared secret

Préliens attendus  :
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(f) la claque de trop - premier amour, première déception.
.
Mi:motors - garage auto/moto.

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22/09/2024
Disponibilité rp  :
pas disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
3ème du singulier. Présent / Passé. 400 - 800 mots. Ordre de réponse + ou - chronologique.
Genre irl  :
Féminin
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Tom Hardy
Multicomptes  :
Carmine Cavendish
Crédits  :
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Substances, smoke, and shared secret
 @Hadès Ashford  et Mac Kelly

tw : alcool, xenophobie, violence physique / bagarre, sang / fracture.


Il rentre chez lui après s'être vu refuser une dixième pinte. Parait qu'il est déjà bien assez chaud comme ça et qu'on ne sert pas les ivrognes, ici. Quand il s'est mis à insulter la terre entière - en commençant par l'intégralité du peuple anglais et son endurance inexistante au petit jeu de qui se mettra la plus grosse mine - quelques habitués du pub se sont serrés les coudes pour le foutre à la porte. Kelly a eu beau les provoquer, les défier de venir se battre comme des hommes, personne n'a rien voulu entendre. Mac s'est retrouvé seul sur le trottoir, plus frustré qu'un ado pas capable de tirer sa crampe. Et ça le tue !

Renfrogné au possible, à " ça " de péter sa coche sur le premier chat de gouttière qui aurait le malheur de croiser son chemin, il avance en maugréant, inconscient du froid mordant sa peau partiellement dénudée. Sa veste est restée dans le bar. Un œil avisé devinerait que ce n'est pas la première fois que cela lui arrive, car Mac a l'habitude de sortir sans papiers d'identité et de garder son cash dans les poches de son jean. Bien sûr qu'ils ont raison de le traiter de poivrot. Là n'est pas la question. La question c'est d'assumer l'audace de lui dire non quand il avait encore plusieurs dizaines de billets à écouler en mousse fraiche et en temps passé à faire la fête. Bande de sales cons.

Sa démarche est chaloupée. L'Irlandais pourra nier autant qu'il veut : il est complétement saoul. D'ailleurs, après quelques minutes à se perdre dans les rues de la vieille ville, Mac finit par recracher une bonne partie de son trop-plein. Ses haut-le-cœur d'ivrogne résonnent dans la pénombre tandis qu'il recouvre les couvercles des poubelles d'un restaurant de Guinness aussi noire que la nuit. Quand il a finit de cracher tripes et boyaux, l'homme se redresse, partiellement essoufflé. C'est qu'il n'a plus vingt ans et que les lendemains de cuite deviennent de plus en plus difficiles à encaisser. Mais rien n'est pire que de ne pas boire. Pour son moral comme pour son corps addict à l'alcool, Mac sait qu'il n'a rien à gagner à arrêter. L'histoire derrière sa levée de coude légendaire est plus profonde qu'on ne se l'imagine. Il ne la raconte à personne, voilà tout. Certaines blessures sont faites pour rester secrètes ...

Un bruit de déchirure attire son attention vacillante. Même rond comme une queue de pelle, l'Irlandais sait reconnaître un son de baston quand il en entend un. La douce mélodie de la chair percutant la chair et des gémissements de douleur étouffés par les grognements de rage. Ça cogne dure ! Assez pour l'exciter, aussi primal que cela puisse être. Assez pour lui donner la force de se redresser et de partir à la recherche de l'origine du ramdam, l'épicentre du conflit. Des oiseaux de nuit se griffent et se tournent autour, silhouettes sombres que la lumière des lampadaires n'éclaire que par intermittence. Un blond, un brun. Un grand, un large. De sa vision brouillée par l'ivresse, Mac observe et tente de comprendre. Bagarreur, oui, mais pas d'hier. Des dizaines d'années d'expérience, de gueule cassée et de cicatrices en tout genre lui ont appris à lire les corps comme d'autres lisent les feuilles de thé.

Il compte jusqu'à trois, deux, un ... et se jette dans la mêlée sans annoncer sa venue. Son poing de forain s'écrase sur la tempe de l'un des gars avec la grâce d'un pigeon percutant une fenêtre de building. « Wouhouuu ! » S'exclame-t-il, en pleine jubilation, avant que l'autre ne le plaque à la taille et l'entraine au sol. La lutte commence, tous les coups sont permis. Dans la cacophonie des insultes et des plaintes souffreteuses, le rire de Mac raisonne à glacer le sang. Il n'est pas fou. Il jouit simplement de la libération que cela représente de sentir sa colère et sa rage quitter son corps pour agresser celui des autres. L'alcool anesthésie la douleur. Ses coups sont adressés au premier venu, à celui qui passe à proximité, qu'il soit l'un ou l'autre du binôme initial. Kelly n'a pas de parti pris. Il participe à cette bagarre pour la beauté du geste, à titre parfaitement égoïste. Frapper fort : la seule chose qui l'intéresse en cet instant. Depuis combien de temps n'a-t-il plus lâché la bête ? Des mois, pour sûr. Des années en termes de ressenti. Quand il se met à cracher du sang, le goût ferreux le ramène à sa prime jeunesse. Ne manque plus que l'odeur de la poudre et il reverrait presque Belfast aux relents de guerre civile. La Belle Époque.

Un * crack ! * plus glauque que les précédents met en pause l'apocalypse. Mac est un animal, rien de rationnel ne pourrait le sortir de sa transe destructrice. C'est l'instinct qui parle et lui fait dresser l'oreille. Le jeu prend une tournure inattendue ...

Karma es-tu là ? a écrit:Bon karma: Côtes cassées. Et poumons perforés, de toute évidence ; du moins c'est ce que laissent deviner les gargouillis du blond. Il s'en remettra. Assez pour se souvenir de leurs faces et les balancer aux flics. Les sirènes qui s'en viennent sont-elles celles des bleus ou bien de l'ambiance ?

Karma douteux : Hémorragie. Deux coups sur coups ont eu raison du fémur du blond. Pas de chance pour Hadès et Kelly : la fémorale est touchée. Ça prend quoi ? Trois minutes à un type pour se vider de son sang ? Il a peu de chances de s'en sortir, quand bien même les secours arriveraient rapidement.

Mauvais karma : Fracture du crâne. Il ne se relèvera pas, c'est écrit rouge sur noir : à la lumière blafarde, des morceaux gluants s'écoulent du crâne du blond. Qui est responsable du coup ayant fendu cette boîte crânienne ? Mac regarde ses pieds, puis ceux de l'autre homme encore debout. Leurs chaussures sont aussi tâchées de sang les unes que les autres. Complices de meurtre, ni plus ni moins.

« Cours ! » Aboie-t-il.

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« Sooner or later God'll cut you down »
Well you may throw your rock and hide your hand ; workin' in the dark against your fellow man. But as sure as God made black and white, what's down in the dark will be brought to the light.

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Le membre 'Mac Kelly' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Tester le karma' :
Substances, smoke, and shared secret (Mac) ZOpMGgsu_o

Hadès Ashford
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Hadès Ashford


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Orientation sexuelle :
L’amour, pour lui, n’avait jamais suivi de ligne droite. Il le trouvait dans le rire d’une femme, dans le regard d’un homme, et dans les instants suspendus qui ne demandaient ni étiquette ni justification. Il aimait sans carte ni boussole, attiré par des âmes plutôt que des corps, par ce qui brûlait à l’intérieur. Que ce soit une main fine ou une paume rugueuse, tout était juste quand cela vibrait au bon moment. Son cœur s'ouvrait dans toutes les directions, comme un vent qui souffle librement, indifférent aux frontières qu’on voudrait lui imposer.
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tw : violence, bagarre, sang, blessures.



L'odeur métallique du sang m'envahit, une brume rouge devant mes yeux qui m’aveugle presque. Je sens la morsure froide du bitume contre ma peau, et le martèlement des coups s’arrête enfin. Le silence se fait, étrangement étouffant, juste le bruit de nos souffles saccadés et la nuit qui s’étend comme une couverture sur ce champ de bataille.

Puis, le craquement résonne. Un son sec, tranchant, comme un os brisé sous la pression, suivi d'un silence plus profond encore. Je vacille, mon esprit engourdi par la douleur, par la rage, par la substance qui me brouille toujours les sens. Je ne sais pas ce qui vient de se passer, seulement que quelque chose a changé. Le goût du sang dans ma bouche est plus acide, la réalité plus lourde.

C’est alors que je le vois, cet homme, cet inconnu qui s’est jeté dans le chaos avec moi. Cours. Il me crie de courir, sa voix un ordre perçant au milieu de ce brouillard oppressant. Je vois ses lèvres bouger, les mots qui sortent de sa bouche comme une détonation. Derrière nous, une sirène éclate, un hurlement lointain qui se rapproche, qui annonce notre perte. Mon cœur se serre, et tout en moi se contracte dans un réflexe primal de fuite.

Je ne sais pas où il est blessé, s'il l'est ou si ce n'est que le sang de l'autre, je ne vois que le rouge qui souille ses vêtements, ses mains qui tremblent, ses yeux sombres d’urgence. Son cri s'interpose, il perce le voile épais de mon esprit assombri, et je sens soudain une montée de terreur pure, animale. Mes jambes répondent avant ma conscience, et je me mets à courir, à m’enfoncer dans la nuit sans regarder en arrière.

L’asphalte résonne sous mes pieds, mes poumons brûlent, et l'air glacé de la nuit s'infiltre dans mes poumons comme un couteau. Les sirènes se rapprochent, plus fortes, plus terrifiantes, et je cours, je cours jusqu’à ce que mes muscles hurlent, jusqu’à ce que je ne sois plus qu’un corps en mouvement, un automate qui fuit l’inévitable.

La douleur dans mes côtes se mêle à la morsure du froid, et je sens mes poumons se déchirer, mais je ne peux pas m’arrêter, pas maintenant. La lumière blafarde des lampadaires passe comme un kaléidoscope autour de moi, des flashs de réalité qui s’entrelacent avec la confusion de la nuit. Ma vision est trouble, mon esprit oscille entre la panique et un étrange calme, comme si une part de moi acceptait déjà la chute, la fin de la course.

Mais l'autre homme, celui qui m'a lancé dans la fuite, reste une ombre derrière moi, un écho de cette nuit maudite. Les coups résonnent encore dans mes oreilles, une injonction désespérée qui continue de me hanter à chaque foulée. Le monde devient flou, et je cours, je cours pour fuir mes propres démons, et ceux que cette nuit a invoqués. Puis, il y a cette cachette fortuite, un endroit encore plus froid et restreint où nous sommes entraînés tous les deux, obligés de se terrer comme des animaux pour fuir les liens et les cages. Nous devons nous taire. L'adversité nous unis. Le félin, l'ours. Voilà qui nous sommes, nos animaux intérieur.

Espérons au miracle. L'homme peut encore s'en sortir. Une chance sur deux. Encore plus chanceux : il s'en sortira et oubliera. Il oubliera. Oh... C'est ce bordel, de brouillon dans ma tête qui me rend nerveux. Un coup d'oeil vers une fente. Combien de temps faudra-t-il attendre ici ? Toute la nuit ? Est-ce que quelqu'un nous a vu ? Ce n'est qu'un cauchemar. Un film d'horreur que je me suis inventé, pas vrai ? La drogue, ça doit être elle. Un mauvais trip. Fuck !  

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Mac Kelly
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Substances, smoke, and shared secret
 @Hadès Ashford  et Mac Kelly

tw : alcool, violence physique / bagarre, sang / fracture.


Droite gauche, droite gauche.
Rouge bleu, rouge bleu.
Le rythme des pas de Kelly coïncide avec le clignotement des gyrophares encore lointain. Il l'entend, la sirène de police. Cette dernière, contrairement à celles d'Ulysse et de son équipage, n'a rien d'attirant. Elle le révulse, provoque le premier frisson de sa soirée. Chaque foulée est un pas de plus vers la sobriété ; un de moins en direction de la cellule de dégrisement. Son cœur pompe à toute vitesse tant et si bien que sa pression sanguine décrasse les artères jusqu'alors baignées dans leur jus d'ébriété. La surprise stresse son organisme plus efficacement que n'importe quelle douche froide. S'il n'a pas complètement dessaoulé, Mac a retrouvé sa lucidité à l'instant où il a compris que cette course serait peut-être la dernière.

L'Irlandais est lourd. Son endurance s'exprime davantage dans la force qu'à la course. L'autre le devance et devient un point fixe dans la nuit. Un lièvre à suivre aveuglément tant qu'il détale dans le sens opposé à celui des promesses entravées de verrous, de menottes et de game over. Il bifurque ; Mac imite. Et le percute dans ce cul-de-sac minuscule  les obligeant à se tasser l'un contre l'autre. C'est tout juste si l'épaule de Kelly ne dépasse pas, mais dans le noir et sans un bruit, il faut savoir qu'ils sont là pour les y chercher. Autour, c'est le silence. On n'entend que leurs respirations mises à mal par la cavale, les poumons du plus vieux sifflant de protestation.

Les sirènes se sont arrêtées à hauteur de la scène de crime. L'arrivée des poulets n'est qu'une question de temps. Sûr qu'ils quadrilleront le périmètre, par acquis de conscience. Mac essuie la sueur accrochée à son front d'un revers de main. Une texture visqueuse lui indique qu'il a le visage partiellement recouvert de sang. Le sien ? Celui de son acolyte ? Ou bien celui de la victime qu'ils viennent d'abandonner sur le trottoir ? « Tu saignes ? » Qu'il demande tout en tâtant son torse et ses hanches à la recherche d'une plaie que l'adrénaline l'empêcherait de sentir sur sa carcasse toute cabossée. Ils n'y voient rien dans ce trou. À peine le contour de la silhouette de l'autre. Celle de son voisin est plus haute d'une tête.

La douleur est subjective. Mac a appris bien assez tôt à faire avec. Un drôle de bourdonnement dans son oreille indique qu'il a probablement le tympan percé. Son genou n'a pas aimé les impacts du sprint improvisé. Quant à son pouce, c'est qu'un coup sec qu'il le remet en place sans autre expression qu'une expiration résignée. « On doit se tirer de là avant la levée du jour. » Imagine un peu, Minus et Cortex, couverts de sang, fendant la foule des travailleurs matinaux en route pour le bureau. TopTweet sur X et compagnie.

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