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(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler...

2 participants
Adèle Shephard
le soleil après la pluie
Adèle Shephard
le soleil après la pluie


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
vingt-cinq ans
Date de naissance  :
26/12/1999
Surnom(s)  :
Addie souvent.
Polaroid :
(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Bde258168d741fe59a2e528ee0854b5eabba2507
Statut  :
il est le risque que je veux prendre...
Orientation sexuelle :
hétérosexuelle
Métier  :
agente immobilière depuis 2021, et bénévole au refuge animalier depuis ses seize ans.
Adresse  :
elle vit en colocation avec Carl & Chelsea - et l'entente avec cette dernière est bien plus difficile qu'elle ne l'aurait imaginé. Keefe, le petit frère de Carl est venu compléter le tableau.
Les petits détails  :
pétillante, entière, elle n'aime pas la solitude et parle beaucoup trop - elle a trois frères dont un décédé depuis 2022 - ses parents ont eu un accident de voiture quand elle était petite - elle fait du bénévolat pour le refuge animalier de Bristol - elle adore la période de Noël et la Saint Valentin - elle a eu un cancer et des soins de 2019 à 2021 - elle est sportive, et ne parvient jamais à rester en place -
Pronoms du perso  :
elle
Warnings  :
maladie (cancer) - décès (parents+frère) - déception amoureuse - voyages humanitaires (suite à des catastrophes naturelles) - course automobile
Code couleur rp  :
Addie ne sait pas se taire en #9E1E05
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Q6u1
CAELE
125613141516

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Ye0m
SHEPHARD
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TIM
1


(8/6) Caleb #2Coloc #3Yael #1Tim #1Cody #13Carl #15Asso #1Laurie #1

(EVENT 5/5) Bowie #1Carl #16Tessa #1Mary Gail #1Psalm #1

(SMS) ✓✓ KeefeCodyCarlBirdieTessa

Préliens attendus  :

Sujets terminés  :
Carl #13Carl #14Cody #12
Messages  :
749
Pounds  :
3640
Date d'inscription  :
25/08/2024
Disponibilité rp  :
disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
généralement entre 500 et 1000 mots, je peux cependant dépasser les 2000 suivant les feels du moment et du RP. cela dit j'évite d'abuser de la longueur si en face de moi, la personne a tendance à faire des RP plus court. Troisième personne du singulier, au passé ou au présent.
Concernant l'ordre, j'essaye de ne pas trop abuser mais je ne sais pas faire dans l'ordre de réponse, il peut m'arriver de faire passer avant un lien important pour mon personnage ou un de mes PL, quand bien même j'essaye de me soigner et de ne pas en abuser.

Genre irl  :
Féminin
Faceclaim  :
Ella Purnell
Multicomptes  :
Mason Bradford, le basketteur à la dérive & le morveux Logan Reyes
Crédits  :
(c)whereischarlie (ava) - runespack (gifprofil) crackshipandcrap (gif Tim) - (c)ladyfame (ub)
IRL

https://gettogether.forumactif.com/t135-adele-l-envie-de-vivrehttps://gettogether.forumactif.com/t690-addie-le-petit-coeur-a-la-trainehttps://gettogether.forumactif.com/t1172-adele-shephard

Envoyer un message privé Ysg3
 «  si seulement, j’avais su te le dire, si seulement, j’avais su t’en parler... »  coeur  @Carl Flanagan & Adèle Shephard.


TW cancer, maladie coeur

Ce matin lorsqu'elle s'est réveillée, elle n'a rien dit. Elle n'a pas parlé de son rendez-vous annuel à l'hôpital à son petit ami, et elle ne lui a encore moins fait part de ses doutes, et de ses appréhensions. De ses craintes face à un futur qu'elle a longtemps cru ne jamais voir. Adèle a été malade en 2019, elle s'est battue comme une lionne réellement pendant un an et demi, elle a passé plus de quatre mois avant ça dans le déni total, et pour elle, chaque fois qu'elle doit se rendre dans cet hôpital qu'elle connait désormais par cœur, les doutes viennent jusqu'à elle. Une peur constante d'avoir fait tout ça pour rien et qu'on lui annonce de nouveau qu'une tumeur sommeille en elle. Qu'elle revive cette hantise. A l'époque déjà, elle ne voulait pas accepter sa maladie, elle avait honte de son cancer. Honte du regard des gens sur elle. Honte d'en parler et d'avoir conscience que tout peut s'arrêter dans une heure ou des années. Elle était si jeune à l'époque, vingt ans, qu'elle ne comprenait pas pourquoi ça lui arrivait à elle. Alors qu'elle venait de revenir du Mexique, et de son aide humanitaire. Pourtant elle ne s'est jamais ménagé sur place malgré ses quelques maux, ses migraines à répétition et sa grosse fatigue soudaine. La Shephard se disait simplement que ce serait passager et qu'elle aurait tout le loisir de se reposer en rentrant dans son pays. Qu'elle devait les aider, répondre présente quoi que ça lui en coûte, et ça lui a coûté plus qu'elle ne l'aurait imaginé. Cette époque de sa vie, elle s'en souvient comme si c'était hier, c'est dorénavant ancré en elle, quoi qu'elle fasse, cette épée de Damoclès est au-dessus de sa tête. Et bon nombre de fois, elle a voulu en parler à Carl. Bon nombre de fois elle a tenté une approche, jamais réussie, il ne sait rien de cette étape de sa vie. De ce qui l'a aidé à grandir, à prendre la vie comme elle l'a prend aujourd'hui.  Il ne sait rien de ses pleurs tard le soir lorsque plus personne n'était auprès d'elle. De ses sos qu'elle a tant de fois lancé ou de ses sourires qu'elle s'efforçait de faire pour prouver au monde entier qu'elle était une femme forte et indépendante.

L'heure fatidique approche et Adèle se retrouve dans cette salle d'attente. Les mains moites et le regard qui vacille de part et d'autre. Elle avait connu le même stress l'an passé, et l'année encore d'avant et certainement qu'elle connaîtra encore pendant longtemps ce besoin de tout effacer quand elle sait qui le lui est impensable, impossible. Les examens se sont déroulés de manière la moins brutale qui soit mais le pire à ses yeux reste à venir : les résultats. En quelques secondes, elle a l'impression de revivre les scènes de l'époque d'où la raison pour laquelle, Adèle se tient loin de l'hôpital quand elle le peut, ainsi que de l'association qui l'a pourtant aidé et soutenu dans les plus mauvais moments de sa vie. Les minutes passent et son tour finit par arriver, quand elle rentre dans la salle du médecin, ce dernier ne trouve rien d'anormal dans quasiment tous les résultats qu'on lui a demandé de faire. Sauf un, dont ils n'ont eu visiblement pas encore le retour. « Attendez-nous dans la salle au bout du couloir Mademoiselle Shephard, on a encore un examen en attente de résultat pour vous laisser partir. » Adèle fait un signe positif de la tête, rassurée alors que ses jambes avancent doucement vers la sortie. Plusieurs heures qu'elle est ici, cette fois elle n'a pas été enfermée dans une pièce pour alerte contagion comme une précédente fois avec un chef cuistot. Cette fois tout semble se dérouler normalement. Trop normalement qu'elle songe doucement. Elle finit par s'asseoir sur une chaise, son sac à main à côté d'elle et une pochette avec tous les examens qu'elle a passé jusqu'ici. Sa mine trahit probablement les longues heures passées entre ses murs, la fatigue indéniable et l'inquiétude. Elle n'a pas encore envoyé de messages à Cody pour le rassurer, elle ne tardera pas à le voir débouler si ça continue d'être aussi long que ça, de quoi rajouter une nouvelle couche : habituellement tous les résultats sont donnés à temps et non par parcimonie. Au fond d'elle, Adèle peste, complètement perdue dans ses pensées, elle ne regarde pas ce qui se passe autour d'elle avant qu'une voix la rappelle à la raison. Une voix qui l'a fait aussitôt relever la tête et surprise elle se fige sur place, sur son siège. « Carl ?! » Son intonation trahit sa surprise, tandis qu'elle n'est même pas certaine de pouvoir respirer encore. Le voir devant elle à cet instant lui créer un électrochoc tant et si bien qu'elle rapproche sa pochette contre son ventre et sa poitrine, plaçant ses mains par dessus de peur que quelqu'un vienne le lui voler et fasse voler en éclat ce pourquoi elle tente jusque là de maintenir la tête hors de l'eau. Elle manque de respiration, son oxygène ne parvient pas à résoudre un quelconque problème ni à défaire le noeud qu'elle s'est elle-même infliger depuis ses derniers mois. Il aurait suffit de quelques mots, d'une bonne inspiration et des milliers de courage pour lui faire part de ce qu'elle craignait : qu'il finisse par le découvrir par lui-même. Parce qu'il n'est plus question de mensonge désormais. Plus question de cacher quoi que ce soit lorsque le service où elle est assise ne peut-être plus clair, oncologie. Cela impliquerait aussi peut-être qu'il vienne à lui en vouloir alors qu'ils se sont demandés de tout se dire, ou presque... La Shephard finit par se relever et qu'importe si elle a l'impression que ses jambes ne l'a tiendront pas. « Qu'est-ce que tu fais là ? » Et toi Adèle ? L'agente immobilière ne comprend pas ce qui se passe alors qu'elle se retourne lorsqu'un interne revient vers elle en lui tendant un document., délaissant Carl pendant quelques secondes. « Mademoiselle Shephard, tout va bien, vous pouvez rentrer chez vous, vous recevrez le compte-rendu par courrier chez votre frère. » Voilà pourquoi Carl n'en savait rien. Rien n'arrive à la coloc. Tout courrier concernant ses soins, ses anciens traitements, l'hôpital ou encore l'association arrivent chez le boxeur. La Shephard fronce les sourcils, perdue entre son petit ami et cet interne qui repart aussitôt, délaissant Adèle dans une incompréhension qu'elle-même tente d'ignorer. « Je ne savais pas que tu devais venir ici... » Elle comble ce silence du mieux qu'elle peut : avec une maladresse qui ne lui ai pas connue. Voulant repousser l'heure du verdict à plus tard, en sachant pertinemment que le piège allait se refermer sur elle-même et qu'il est désormais trop tard pour fuir, alors que Carl finirait par découvrir son plus gros et lourd secret. Celui dont elle ne parle jamais. « Ce n'est pas ce que tu crois... » Et que doit-il croire au juste Adèle ? « Tu repartais ? Parce que je crois que je te dois... Une petite vérité... »  Elle baisse son regard presque instantanément, elle a mal au coeur, mal au bide. La pire chose qui pouvait se passer aujourd'hui, la seule chose qu'elle craignait avant de repartir dans sa petite vie tranquille est en train de se dérouler, impuissante, devant ses yeux. Non elle n'est pas enceinte. Non elle n'a ni été blessée ou quelque chose d'autre mais ce qu'elle se garde bien de lui dire risque certainement de changer bien des choses de son point de vue, et Adèle a tant redouté ce moment, la raison pour laquelle, elle a tenu l'étudiant bien loin de cette vérité qui l'a dérange aussi longtemps.

larmi drama

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(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... TcWhAFIk_o
(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... S5VHcUxI_o
(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... 7byQgcfR_o
(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... LR1AF9YW_o
(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... HHmHNblq_o
(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... DWJ49EiR_o

Carl Flanagan
STAFF l'agonie des utopies
Carl Flanagan
STAFF l'agonie des utopies


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
23 années d'errance et de désillusions.
Date de naissance  :
04/01/2001
Surnom(s)  :
Carlito ou le weirdo sur les réseaux mais juste, épargnez-lui Carlyle.
Polaroid :
(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... 6kUhg0k0_o
Statut  :
il n'a plus à rougir de regarder Adèle avec les yeux en coeur ni à contenir son envie de l'embrasser car il peut enfin le dire : oui, il a une petite amie (pincez-le très fort, il croit encore rêver)
Orientation sexuelle :
les filles, c'est joli les filles, et c'est encore mieux quand il en rencontre une qui veut bien de lui.
Métier  :
valet de chambre plutôt maladroit au prestigieux Waldorf Hotel, il vient de reprendre ses études pour entamer un Bachelor en Mathématiques d'une durée de 3 ans – respire Carl, ça va aller.
Adresse  :
#41 Old Temple Street (BCC), la colocation s'éternise avec Adèle, Chelsea et son frère Keefe.
Les petits détails  :
irlandais à l'accent imperceptible ☆ famille disloquée dont il est le chat noir : père déserteur, mère mélancolique depuis sa naissance remariée avec une brute et frère victime d'un accident par sa faute (il parait) ☆ prêt à tout pour exister dans la vie de son père ☆ prisonnier du one-itis pendant des années, il tente d'en sortir à grand coup de thérapie ☆ une sombre réputation lui colle à la peau depuis que ses pratiques de stalker ont été dévoilées à la télévision ☆ victime de maltraitance infantile de ses 9 à 18 ans ☆ zéro confiance en lui et une paranoïa de tous les instants, rempli de doutes et de contradictions.
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
cruauté animale.
Warnings  :
maltraitance infantile, cyberstalking, autodépréciation & self-body shaming, psychothérapie, abandon, troubles obsessionnels, cyberharcèlement, prostitution (client), mention d'agression physique.
Code couleur rp  :
seagreen ; mediumseagreen
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
(08) nova #1willow #1keefe #1coloc #3kieran #1mina #1 (event)adèle #15adèle #16 (event)

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... 6b62860ebcec02471ac04a488b05b479b1871c92
flanagans : keefe #1 & kieran #1 ☆ can we work it out ? can we be a family ? i promise i'll be better, mommy i'll do anything, daddy please don't leave. i ran away today, ran from the noise, ran away. don't wanna go back to that place, but don't have no choice, no way. it ain't easy growin up in world war III.

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Fv4d
caele #15 & #16 ☆ and if somebody hurts you, i wanna fight, but my hand's been broken one too many times. so i'll use my voice i'll be so fucking rude, words, they always win but i know i'll lose. and i'd sing a song that'd be just ours, but i sang 'em all to another heart. and i wanna cry, i wanna learn to love, but all my tears have been used up. ☆ 124561314

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Bf856136892d2140a296a4fad242cb753ea18710
calsea #6 ☆ it must have been cold there in my shadow to never have sunlight on your face. you were content to let me shine, that's your way, you always walked a step behind. did you ever know that you're my hero, and everything i would like to be? i can fly higher than an eagle cause you are the wind beneath my wings.

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Cac8da6cd042ff02da5b98191018bdd33488f0e7
carlina #1 ☆ i didn't want to be the one to forget, i thought of everything i'd never regret. a little time with you is all that i get, that's all we need because it's all we can take. and we will never be alone again, 'cause it doesn't happen every day. kinda counted on you being a friend, can i give it up or give it away ?

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... C4cee75559109cb1410d1fde9407239d3b03859c
willow #1 ☆ oh, who is she? a misty memory, a haunting face, is she a lost embrace? a mystery, oh, who is she? I call her name across an endless plain, she'll answer me where ever she may be. immortal she, return to me.

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... 83ae9429e28a9bd8516966d49394d468b743fe47
nova #1 ☆ so no one told you life was gonna be this way, your job's a joke, you're broke, your love life's doa. it's like you're always stuck in second gear, when it hasn't been your day, your week, your month or even your year. but i'll be there for you, 'cause you're there for me too.

Préliens attendus  :
sujets futurs : desmond

préliens à venir
psychologue clinicien(ne)
› house of secrets (télé-réalité) ‹

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... 83ea9080b010f8d73674c457bc6087f9c854485f
naomi ☆ running fast through a fairy tale, dark woods, starless night. feel cold air in my lungs, full moon, you follow me. pierce me like an arrow, beneath the blanket of night, longing for flight. when u fall into me it feels so sweet, like dreaming. press yourself into me, let me feel your breathing.

Sujets terminés  :
(2024) adèle #13chelsea #6cody #1adèle #14

(nostalgie) adèle #1adèle #2adèle #4adèle #5adèle #6

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Mk1s

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Date d'inscription  :
25/08/2024
Disponibilité rp  :
disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
mes réponses tournent autour de 800-1500 mots en moyenne, tout comme il m'arrive de faire beaucoup plus. je suis généreuse mais je m'adapte aussi à mes partenaires ☆ j'écris à la troisième personne du singulier et au présent ☆ dialogues en français principalement ☆ je ne m'impose pas d'ordre de réponse et privilégie mes intrigues importantes, ce qui ne m'empêche de répondre à tout le monde dans des délais équivalents ☆ je me laisse volontiers tenter par les rp flashbacks et les univers alternatifs, n'hésitez donc pas à m'en proposer ♡
Genre irl  :
Féminin
Faceclaim  :
fionn whitehead.
Multicomptes  :
eddie yang (ft. lee know) & mickey reeves (ft. abel tesfaye)
Crédits  :
@homemade (avatar) & @pickers (gifs), @bleeding-light (gif caele), @keroppigifs (gif willow) VAW. (dessin)
IRL

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☾ si seulement j'avais su te le dire,
si seulement j'avais su t'en parler...

@Adèle Shephard ☆ CARL FLANAGAN
gifs by (c) heicharlie et (c) harley


09/2024 Bristol Royal Infirmary

tw: blessure, agression, maltraitance infantile, cancer

Carl s'en passerait quand même bien de ces rendez-vous à l'hôpital, là où les souvenirs de sa dernière agression n'ont pas d'autre choix que de ressurgir et là, aussi, où l'éternelle même ironie ne peut s'empêcher de le saisir. Car n'est-ce pas un peu drôle, après tout, que ce passage à tabac survenu deux ans plus tôt et n'ayant duré qu'une trentaine de minutes lui ait laissé une marque bien plus prononcée que son beau-père en plus de neuf ans de mauvais traitements ? Il faut dire que ce dernier était connu pour frapper de façon calculée et cela dans le but de laisser le moins de traces possibles sur le frêle gamin qu'il était – un self control que le frère de Toni n'avait assurément pas lui, et c'est ce qui justifie que son genou ait si sévèrement trinqué quand il s'est mis en tête de le ratatiner. Carl en cauchemarde encore bien assez pour ne pas avoir besoin de cette piqûre de rappel tous les deux ans, mais il convient de vérifier que sa jambe ne se porte pas plus mal que la dernière fois qu'un professionnel l'a examinée et cela passe aussi par une radio à laquelle il n'a pas la moindre chance de couper. Si c'est ce qu'il faut pour lui permettre d'avoir la paix pour les deux années à venir alors Carl s'y prête de bon cœur ou du moins, en tant que patient qui n'aurait pas vraiment le choix et qui désirerait surtout ressortir de cet hôpital au plus vite pour chasser tout ce qui y règne de son esprit. Les résultats ne lui sont toutefois pas remis de suite et le garçon doit patienter une vingtaine de minutes avant de pouvoir repartir avec sa radio sous le bras, de quoi le pousser à aller se chercher un soda au distributeur le plus proche avant de s'avérer incapable de revenir sur ses pas. Impossible de retrouver le service qu'il a précédemment quitté, son sens de l'orientation étant si calamiteux que Carl parvient à se perdre dans ces longs couloirs blancs sans imaginer qu'il s'éloigne en réalité de plus en plus du pôle orthopédie. C'est même la porte d'un tout autre service qu'il vient de pousser, dont le nom n'attire pas encore son attention mais il y a fort à parier que bientôt, cette information ne pourra plus lui échapper. Pour tout dire, c'est surtout son errance à travers le couloir qui le mène tout droit vers une rencontre insoupçonnée car quelles étaient exactement les chances pour qu'il tombe sur sa petite amie ici ? Et surtout, que peut-elle bien venir faire dans cet hôpital de son côté... « Adèle ? » il questionne d'une voix s'élevant assez faiblement pour ne pas lui faire peur car elle non plus ne peut pas s'attendre à le croiser ici, tomber par surprise sur sa moitié en un tel lieu ne devant tout de même pas fréquemment arriver. Est-ce alors un coup de chance ou tout l'inverse, il semble qu'il soit encore un peu trop tôt pour l'évaluer mais une chose est au moins certaine : Adèle est encore plus surprise que lui ne peut l'être. « Carl ?! » Il ne perçoit pas seulement de l'étonnement chez elle, pour peu la Shephard aurait également l'air apeurée et ce n'est pas une expression que le garçon lui connait réellement. C'est comme si elle venait de voir un fantôme ou comme si cette rencontre ne l'arrangeait vraiment pas – or, la dernière fois qu'il a vérifié, Carl était encore bien vivant et pas du genre à traverser les murs. « Qu'est-ce que tu fais là ? » Il s'attendait à récolter cette question, bien sûr, et y répondre ne s'avère d'ailleurs pas aussi compliqué que Carl l'aurait cru. Il faut dire qu'il n'a pas grand-chose à cacher, quand bien même Adèle ne l'a pas connu à l'époque où il portait encore ses béquilles. « Oh, je crois que je me suis trompé de service. » commence-t-il par avouer, désormais certain d'avoir poussé la mauvaise porte car cet hôpital est un vrai labyrinthe, la prochaine fois il y amènera peut-être bien sa boussole. Et puis, sans volonté de laisser planer le moindre suspense, Carl hausse doucement les épaules. « J'avais rendez-vous en orthopédie pour une radio. Mais rien de grave, je suis tombé sur mon genou il y a deux ans alors je viens contrôler si tout va bien. » Certes, ce n'est pas tout à fait la vérité mais c'est plus commode que d'admettre qu'il s'est laissé tabasser par un type qui faisait une tête de plus que lui. Son agression, Carl fait le choix de ne pas en parler tout comme il a passé sous silence ce qu'il a longtemps subi dans son enfance, estimant qu'il n'aurait plus jamais la même image aux yeux d'Adèle si elle le savait. Tandis qu'il s'apprête à lui retourner sa question, l'arrivée d'une interne les interrompt avant que celle-ci ne remette un mystérieux papier à Adèle, sous le regard empli d'incompréhension du garçon.

Cela a tout l'air d'être des résultats d'examens, mais Carl n'est à cet instant sûr de rien. Est-ce qu'Adèle lui a un jour parlé d'un rendez-vous médical ou de quoi que ce soit pouvant l'amener à passer les portes d'un hôpital ? Il considère avoir une assez bonne mémoire pour supposer que non, tandis que celle-ci s'étonne visiblement tout autant de son silence sur le sujet. « Je ne savais pas que tu devais venir ici... » C'est vrai, il n'a jamais mentionné cette radio qu'il était censé faire mais Carl pourrait lui jurer que sa venue ne dissimule rien d'inquiétant, ou seulement une histoire un peu arrangée avec lui-même pour ne pas avoir l'air d'un garçon tombant trop facilement dans les problèmes. L'essentiel c'est que son genou aille bien et ça, ses résultats le mettront forcément en lumière car l'avantage de ne pas être sportif pour un sou sous-entend au moins que Carl n'a pas pris l'ombre d'un risque en deux ans. Il observe alors sa petite amie un court instant, les questions s'accumulant au même moment dans son esprit. « Tu me l'avais pas dit non plus, on serait venus ensemble si j'avais su. » C'est ce qu'il en vient naïvement à se dire, alors que le langage corporel de la Shephard ne tarde pas à laisser voir que sa démarche à elle avait en l'occurrence tout de secrète. Quelque peu déboussolé par l'attitude de sa petite amie, le garçon ne sait plus trop où il est censé poser les yeux et c'est finalement vers une plaque signalétique qu'il relève la tête. Le nom du service dans lequel tous deux se trouvent y figure, et cela lui permet de réaliser où Adèle avait depuis le début rendez-vous de son côté. Ses sourcils se froncent devant l'évidence qu'il ne veut pas encore entièrement voir. « Oncologie ? Comme là où on traite les.. » Ce malheureux mot qui commence par can et finit par cer, quand bien même Carl n'a aucune envie de le prononcer ici. Pour une raison qui lui échappe, ce mot lui a toujours fait peur sans y avoir pourtant jamais été confronté et savoir que c'est la spécialité traitée dans ce service lui donne aussitôt mal au ventre. « Ce n'est pas ce que tu crois... » lui souffle Adèle, sans que le lien ne soit encore effectué à son niveau. C'est tellement confus, ça ne fait même pas le moindre sens car si sa petite amie avait un proche malade, ne lui aurait-elle pas tout simplement dit ? Oh, cela reste bien plus simple à imaginer qu'une autre configuration des choses, n'est-ce pas. « Tu repartais ? Parce que je crois que je te dois... Une petite vérité... » S'il doit toujours repasser en orthopédie pour y récupérer sa radio, il semble que Carl ne l'envisage plus du tout dans l'immédiat car comment repartir de son côté après cette toute petite brèche ouverte par sa petite amie ? Comment ne pas creuser, maintenant que la Shephard en a manifestement bien trop dit. « Non je reste. J'ai fini ce que j'avais à faire et.. j'ai besoin de comprendre, surtout. » Carl mentirait s'il disait que tout ça ne le tracasse pas de plus en plus, aussi loin soit-il d'imaginer qu'Adèle puisse être directement concernée par ce qu'il s'apprête à souligner. Quelqu'un qu'elle connait doit être traité derrière l'une de ces portes, il ne peut tout simplement pas concevoir autre chose dans son esprit. « Est-ce que ta petite vérité concerne le genre de maladie qu'on traite dans ce service ? Je veux dire.. tu connais quelqu’un de suivi ici ? » Si oui, qui vient-elle voir au juste ? Est-ce une amie, et a-t-il une chance de connaître celle-ci ? Tandis que Carl attend sa réponse avec la peur d'entendre qu'elle porte la maladie d'un proche sur ses épaules, un détail attire finalement son regard : cette pochette qu'elle tient fermement contre elle et semblant renfermer un long dossier médical, de quoi créer peut-être un début d'illumination en lui. Pour autant, Carl ferme encore les yeux sur une version des choses qui lui ferait bien trop mal, préférant croire à un million d'autres scénarios plutôt que celui-ci.

_________________

☾ closest to heaven
And you can't fight the tears that ain't coming or the moment of truth in your lies when everything feels like the movies.Yeah, you bleed just to know, you're alive. And I don't want the world to see me 'Cause I don't think that they'd understand. When everything's made to be broken I just want you to know who I am










sweet:

Adèle Shephard
le soleil après la pluie
Adèle Shephard
le soleil après la pluie


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
vingt-cinq ans
Date de naissance  :
26/12/1999
Surnom(s)  :
Addie souvent.
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(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Bde258168d741fe59a2e528ee0854b5eabba2507
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il est le risque que je veux prendre...
Orientation sexuelle :
hétérosexuelle
Métier  :
agente immobilière depuis 2021, et bénévole au refuge animalier depuis ses seize ans.
Adresse  :
elle vit en colocation avec Carl & Chelsea - et l'entente avec cette dernière est bien plus difficile qu'elle ne l'aurait imaginé. Keefe, le petit frère de Carl est venu compléter le tableau.
Les petits détails  :
pétillante, entière, elle n'aime pas la solitude et parle beaucoup trop - elle a trois frères dont un décédé depuis 2022 - ses parents ont eu un accident de voiture quand elle était petite - elle fait du bénévolat pour le refuge animalier de Bristol - elle adore la période de Noël et la Saint Valentin - elle a eu un cancer et des soins de 2019 à 2021 - elle est sportive, et ne parvient jamais à rester en place -
Pronoms du perso  :
elle
Warnings  :
maladie (cancer) - décès (parents+frère) - déception amoureuse - voyages humanitaires (suite à des catastrophes naturelles) - course automobile
Code couleur rp  :
Addie ne sait pas se taire en #9E1E05
Intervention pnj  :
oui
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(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Q6u1
CAELE
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Préférences rp  :
généralement entre 500 et 1000 mots, je peux cependant dépasser les 2000 suivant les feels du moment et du RP. cela dit j'évite d'abuser de la longueur si en face de moi, la personne a tendance à faire des RP plus court. Troisième personne du singulier, au passé ou au présent.
Concernant l'ordre, j'essaye de ne pas trop abuser mais je ne sais pas faire dans l'ordre de réponse, il peut m'arriver de faire passer avant un lien important pour mon personnage ou un de mes PL, quand bien même j'essaye de me soigner et de ne pas en abuser.

Genre irl  :
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 «  si seulement, j’avais su te le dire, si seulement, j’avais su t’en parler... »  coeur  @Carl Flanagan & Adèle Shephard.


TW cancer, maladie coeur

Si Adèle s'était imaginée une seule seconde se retrouver dans cette situation face à son petit ami, jamais elle ne se serait déplacée jusqu'à l'hôpital. Elle aurait inventé tout et n'importe quoi pour s'épargner ce moment et surtout ne pas avoir à affronter la dure réalité de son passé : sa maladie. C'est quelque chose qui la met certes mal à l'aise, mais surtout elle appréhende évidemment le futur, et cela, quand bien même elle est visiblement guérie de son cancer depuis 2021. Quand elle relève son regard sur l'Irlandais, il lui faut de longues secondes pour comprendre ce qui se passe. Et ce n'est pas la peine qu'elle tente de se fondre dans la masse et qu'elle vienne à disparaître, parce qu'il a croisé au même moment son regard qu'elle. La surprise est de taille, l'appréhension avec, et elle a beau cligné des yeux et se pinçait discrètement, Carl est toujours debout, face à elle. « Adèle ? » Il questionne à son tour en s'arrêtant à hauteur de son siège tandis que les quelques personnes autour d'eux les observent de loin. Adèle n'y prête même pas attention, bien trop obnubilée par le fait que son petit ami puisse découvrir ce qu'il aurait fini un jour par savoir. Adèle ne sait pas bien si le moment est opportun, mais la réalité est déjà toute trouvée : jamais, elle n'aurait pu lui en parler s'il ne le découvre pas de lui-même, alors est-ce vraiment une mauvaise chose, cet hasard ? « Oh, je crois que je me suis trompé de service. » Et en toute circonstance, cela n'étonne pas la Shephard. Déjà, parce qu'elle sait que le Flanagan est plutôt tête en l'air que ce n'est pas étonnant qu'il ait oublié de tourner à un moment donné dans le couloir et deuxièmement, parce que si lui ignore dans quel service, ils se trouvent, pas elle, évidemment. « J'avais rendez-vous en orthopédie pour une radio. Mais rien de grave, je suis tombé sur mon genou il y a deux ans alors je viens contrôler si tout va bien. » Elle acquiesce d'un signe de tête avant de lui demander avec douceur, « si tu veux après, on n'aura qu'à y aller ensemble... » Ce qu'il ignore et qu'il ne tardera pas à découvrir contre son gré, c'est qu'Adèle Shephard connaît ce bâtiment comme sa poche - peut-être un peu moins bien au jour d'aujourd'hui qu'il y a quelques années, certes, mais suffisamment pour l'emmener dans l'aile B où réside le service tant attendu de Carl. « Je ne savais pas, rien de trop grave à l'époque ? »  Chercherait-elle à noyer le poisson dans l'eau quand sa venue annonce bien pire ?

« Oncologie ? Comme là où on traite les..  » Un blanc, une cassure nette et précise. La voix de Carl se fit lointaine, trop pour qu'elle en entende quoi que ce soit.  « Derrière ses portes battantes oui. »  Ne lui demandez pas comment elle parvient à prononcer ses quelques mots, terminant sa phrase sans employer cette maladie qui a longtemps été sienne, qui a longtemps fait partie de son quotidien. Mais elle y parvient haut la main.  « Non, je reste. J'ai fini ce que j'avais à faire et.. j'ai besoin de comprendre, surtout. » Elle a bien du mal à conserver sa tranquillité, Adèle. Parce qu'elle sait l'impact de ses prochaines minutes alors qu'elle n'aura plus la force de retenir quoi que ce soit. Que certainement le regard de l'étudiant va changer et qu'elle ne pourra plus rien faire. Plus rien maîtriser. Et ça l'effraie. « Et si on commençait à aller vers ton service ? » Ce n'est en réalité pas qu'une question. Elle aurait aimé lui laisser le choix, mais ça en devient vital à l'instant même où Carl avait posé ses yeux sur le nom de ce service. « Est-ce que ta petite vérité concerne le genre de maladie qu'on traite dans ce service ? Je veux dire.. tu connais quelqu’un de suivi ici ?  » Et cette question est autant douloureuse que s'il avait tout compris et qu'il l'aurait posé différemment. Mais parce qu'elle ne compte pas lui mentir tout comme lui cacher ce qui s'est passé encore plus longtemps qu'elle ne l'a fait déjà, Adèle effleure son prénom du bout des lèvres. « Carl... » Tout s'agite dans sa tête et elle ne perd pas pied seulement parce que ses jambes s'agitent et qu'ils profitent même de quitter le couloir qui lui rappelle bien trop de mauvais souvenirs - tout comme un meilleur, lorsqu'elle a appris à ne plus avoir autant besoin de venir que les mois qui ont précédé sa guérison. « Je ne connais personne dans ce service en tant que patient. » Et en quelque sorte, c'est une vérité qui lui déchire le coeur, parce que les professionnels de santé, les soignants, eux oui, elle les connaît. Hélas, trop bien pour les avoir rayés de sa vie et oubliés. « J'ai... » Elle inspire profondément, cherchant ses mots. Son coeur qui bat toujours plus vite, elle a cette impression qu'il va sortir de sa poitrine tant parce que si elle savait qu'un jour ça arriverait, elle en perd aujourd'hui tous ses moyens. Elle ne sait pas comment s'y prendre. Elle ne sait pas dire les bons mots, encore moins réconforter quiconque dans cette maladie qu'elle n'a jamais pu tolérer et encore moins accepter. « J'ai été malade, Carl... » Il doit comprendre que par le terme malade, il y a surtout ce mot en six lettres qu'elle ne parvient pas encore à dire à haute voix devant lui. Elle n'ose pas plus le toucher que le regarder dans les yeux, alors qu'elle s'est arrêtée en chemin, face à une fenêtre et son regard se perd quelques secondes à l'extérieur. Combien de fois s'est-elle perdue au travers d'une fenêtre, malade ? Lorsqu'elle n'avait pas le droit de rentrer chez elle, lorsqu'on devait lui faire encore des dizaines d'examens ? Combien de fois s'est-elle à l'époque sentie piégée entre ses murs ? Trop de fois pour qu'elle puisse oublier et passer à autre chose. Trop de fois pour qu'on veuille lui enlever ces moments-là. « Je ne suis plus malade, mais je dois faire régulièrement des contrôles... » Elle déglutit avec difficulté avant de chuchoter, « j'aurais préféré que tu l'apprennes différemment... » Peut-être avec plus de courage de sa part, il aurait pu le découvrir dans un autre lieu que celui qui lui rappelle l'envers du décor. Ce n'est finalement pas aussi difficile qu'elle ne l'avait imaginé, sans toutefois qu'elle parvienne réellement à se frayer un chemin pour séparer cette distance qui sera la leur à présent. Et dont elle n'ose pas plus regarder dans le blanc des yeux de peur d'y lire du dégoût dans son regard ou de la peur. Ce que pourtant, elle ne saurait lui en vouloir, elle aussi, à cette époque y voyait tout ça, et bien plus encore.

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(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... DWJ49EiR_o

Carl Flanagan
STAFF l'agonie des utopies
Carl Flanagan
STAFF l'agonie des utopies


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
23 années d'errance et de désillusions.
Date de naissance  :
04/01/2001
Surnom(s)  :
Carlito ou le weirdo sur les réseaux mais juste, épargnez-lui Carlyle.
Polaroid :
(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... 6kUhg0k0_o
Statut  :
il n'a plus à rougir de regarder Adèle avec les yeux en coeur ni à contenir son envie de l'embrasser car il peut enfin le dire : oui, il a une petite amie (pincez-le très fort, il croit encore rêver)
Orientation sexuelle :
les filles, c'est joli les filles, et c'est encore mieux quand il en rencontre une qui veut bien de lui.
Métier  :
valet de chambre plutôt maladroit au prestigieux Waldorf Hotel, il vient de reprendre ses études pour entamer un Bachelor en Mathématiques d'une durée de 3 ans – respire Carl, ça va aller.
Adresse  :
#41 Old Temple Street (BCC), la colocation s'éternise avec Adèle, Chelsea et son frère Keefe.
Les petits détails  :
irlandais à l'accent imperceptible ☆ famille disloquée dont il est le chat noir : père déserteur, mère mélancolique depuis sa naissance remariée avec une brute et frère victime d'un accident par sa faute (il parait) ☆ prêt à tout pour exister dans la vie de son père ☆ prisonnier du one-itis pendant des années, il tente d'en sortir à grand coup de thérapie ☆ une sombre réputation lui colle à la peau depuis que ses pratiques de stalker ont été dévoilées à la télévision ☆ victime de maltraitance infantile de ses 9 à 18 ans ☆ zéro confiance en lui et une paranoïa de tous les instants, rempli de doutes et de contradictions.
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
cruauté animale.
Warnings  :
maltraitance infantile, cyberstalking, autodépréciation & self-body shaming, psychothérapie, abandon, troubles obsessionnels, cyberharcèlement, prostitution (client), mention d'agression physique.
Code couleur rp  :
seagreen ; mediumseagreen
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
(08) nova #1willow #1keefe #1coloc #3kieran #1mina #1 (event)adèle #15adèle #16 (event)

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... 6b62860ebcec02471ac04a488b05b479b1871c92
flanagans : keefe #1 & kieran #1 ☆ can we work it out ? can we be a family ? i promise i'll be better, mommy i'll do anything, daddy please don't leave. i ran away today, ran from the noise, ran away. don't wanna go back to that place, but don't have no choice, no way. it ain't easy growin up in world war III.

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Fv4d
caele #15 & #16 ☆ and if somebody hurts you, i wanna fight, but my hand's been broken one too many times. so i'll use my voice i'll be so fucking rude, words, they always win but i know i'll lose. and i'd sing a song that'd be just ours, but i sang 'em all to another heart. and i wanna cry, i wanna learn to love, but all my tears have been used up. ☆ 124561314

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Bf856136892d2140a296a4fad242cb753ea18710
calsea #6 ☆ it must have been cold there in my shadow to never have sunlight on your face. you were content to let me shine, that's your way, you always walked a step behind. did you ever know that you're my hero, and everything i would like to be? i can fly higher than an eagle cause you are the wind beneath my wings.

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Cac8da6cd042ff02da5b98191018bdd33488f0e7
carlina #1 ☆ i didn't want to be the one to forget, i thought of everything i'd never regret. a little time with you is all that i get, that's all we need because it's all we can take. and we will never be alone again, 'cause it doesn't happen every day. kinda counted on you being a friend, can i give it up or give it away ?

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willow #1 ☆ oh, who is she? a misty memory, a haunting face, is she a lost embrace? a mystery, oh, who is she? I call her name across an endless plain, she'll answer me where ever she may be. immortal she, return to me.

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nova #1 ☆ so no one told you life was gonna be this way, your job's a joke, you're broke, your love life's doa. it's like you're always stuck in second gear, when it hasn't been your day, your week, your month or even your year. but i'll be there for you, 'cause you're there for me too.

Préliens attendus  :
sujets futurs : desmond

préliens à venir
psychologue clinicien(ne)
› house of secrets (télé-réalité) ‹

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naomi ☆ running fast through a fairy tale, dark woods, starless night. feel cold air in my lungs, full moon, you follow me. pierce me like an arrow, beneath the blanket of night, longing for flight. when u fall into me it feels so sweet, like dreaming. press yourself into me, let me feel your breathing.

Sujets terminés  :
(2024) adèle #13chelsea #6cody #1adèle #14

(nostalgie) adèle #1adèle #2adèle #4adèle #5adèle #6

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Mk1s

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disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
mes réponses tournent autour de 800-1500 mots en moyenne, tout comme il m'arrive de faire beaucoup plus. je suis généreuse mais je m'adapte aussi à mes partenaires ☆ j'écris à la troisième personne du singulier et au présent ☆ dialogues en français principalement ☆ je ne m'impose pas d'ordre de réponse et privilégie mes intrigues importantes, ce qui ne m'empêche de répondre à tout le monde dans des délais équivalents ☆ je me laisse volontiers tenter par les rp flashbacks et les univers alternatifs, n'hésitez donc pas à m'en proposer ♡
Genre irl  :
Féminin
Faceclaim  :
fionn whitehead.
Multicomptes  :
eddie yang (ft. lee know) & mickey reeves (ft. abel tesfaye)
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@homemade (avatar) & @pickers (gifs), @bleeding-light (gif caele), @keroppigifs (gif willow) VAW. (dessin)
IRL

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☾ si seulement j'avais su te le dire,
si seulement j'avais su t'en parler...

@Adèle Shephard ☆ CARL FLANAGAN
gifs by (c) heicharlie et (c) harley


tw: blessure, agression, cancer, mort

Jusqu’ici, croiser sa petite amie quelque part était toujours synonyme de bonne surprise mais Carl est beaucoup moins certain de pouvoir employer ces termes aujourd’hui, alors qu’Adèle et lui se voient réunis au sein d’un hôpital. Pas un lieu où le garçon voit les choses de façon très positive, et sans doute le dernier endroit dans cette ville où il aurait pu s’attendre à la rencontrer car c’est tout de même curieux, si Adèle y avait ses habitudes il veut croire qu’il en aurait été prévenu. Ce n’est pas le genre de choses que l’on cache, pas à ses yeux du moins, alors Carl se trouve lui-même bien idiot en devant justifier sa présence dans ces couloirs après s’y être manifestement égaré – un grand classique quand on connaît le garçon, mais cela ne le dispense pas de livrer une partie de sa vérité. Son genou a sévèrement trinqué il y a deux ans et même s’il ne s’autorise pas à dire comment, et évoque encore moins l’agression dont il a été question, Carl admet effectuer une visite de contrôle dans tout ce qu’il y a de plus commun. Officiellement oui, il est tombé et cette version est la meilleure qu’il puisse fournir à Adèle, en espérant sans doute que cela ne l’amènera pas à lui poser trop de questions. C’est surtout qu’il n’est pas en mesure d’en parler ici et maintenant, pas sans risquer d’être rattrapé par de terribles souvenirs et il a bien assez de ses séances de thérapies pour s’infliger ces douloureux retours dans le passé. Un jour peut-être, Carl lui parlera de son passage à tabac par Henrick mais il choisira son moment et ses mots, car le cadre de l’hôpital est bien le dernier sur terre où le bonhomme puisse se sentir à l’aise. Quant au service où les résultats de sa radio l’attendent, il semblerait qu’il ne soit pas capable de le retrouver malgré la meilleure des volontés. « Si tu veux après, on n'aura qu'à y aller ensemble... » Si Carl hoche doucement la tête c’est parce qu’il n’a rien contre l’idée et ce bien au contraire, sans imaginer toutefois que sa petite amie pourrait aisément lui servir de guide car elle n’a – en théorie – pas de raison de se repérer mieux que lui par ici. Sa blessure d’il y a deux ans, elle, ne lui a heureusement pas laissé de séquelle en dehors de toutes celles inscrites encore très longtemps dans sa tête. « Je ne savais pas, rien de trop grave à l'époque ? » Il ne dirait pas que c’était grave, mais que c’était par contre très vilain à voir. Pour sûr, le frère de Mina ne l’avait pas raté et s’était également assuré de laisser la trace de son passage mais son genou a résisté, c’est tout du moins ce qu’il convient de dire en mesurant la violence des assauts dont il avait écopé. Son visage, par contre… Non, vraiment, il s’en sort plutôt bien pour un petit gars sur qui le sort s’acharne. « Disons que.. je t'en parlerai une prochaine fois, là je crois que c’est pas trop l’endroit. » Mais cette discussion aura bien lieu, Carl se le jure même si cela le condamne à devoir ouvrir certains coffres de son passé. Il ne pourra pas lui parler de cet épisode sans évoquer les anciens, ceux remontant à bien plus loin, mais il gagne au moins un peu de temps pour savoir comment s’y prendre. « Mais t’en fais pas. » ajoute-t-il dans un petit sourire, espérant ainsi rassurer la Shephard car il va bien, il s’en est remis et c’est la seule chose qu’il voudrait qu’elle puisse retenir.

Et puis, la réalité du moment le saisit en posant les yeux sur le nom du service où son errance l’a mené. Il aurait préféré atterrir n’importe où ailleurs dans cet hôpital Carl, car quitte à se perdre pourquoi fallait-il que ses jambes l’arrêtent là où les pires maladies sont traitées ? « Derrière ses portes battantes oui. » La confirmation lui procure un étrange sentiment et l’idée de n’être qu’à quelques pas de ces personnes portant en elles la vie et la mort lui donne aussitôt le tournis. Ce n’est pourtant rien à côté du raz-de-marée sur le point de l’emporter tout entier, mais ça le garçon ne peut pas l’anticiper. « Et si on commençait à aller vers ton service ? » L’idée n’est pas mauvaise car à vrai dire, il donnerait déjà tout pour s’éloigner du service oncologie. Égoïstement, parce que la maladie sous toutes ses formes le terrorise et qu’en ayant vu sa mère sombrer très jeune, Carl s’est vite convaincu qu’il pouvait rendre les gens malades autour de lui. Ses pas s’activent alors dans toute direction pouvant le conduire loin de ces portes, mais il s’étonne de voir que sa prochaine question coupe Adèle dans son élan et semble même la perturber outre mesure. Tout ce qu’il cherche à savoir, c’est à qui elle rend visite et la réponse pourrait être simple… elle le devrait, du moins. « Carl... » En entendant son nom ainsi formulé, le garçon ralentit ses pas avant de tourner lentement la tête vers sa petite amie. A-t-il dit une bêtise, posé la question de trop ? Son regard interroge la Shephard avec une sincère envie de comprendre, mais son ventre se tort déjà comme s’il était le premier à sentir que quelque chose ne va pas. Un mauvais pressentiment comme Carl en a parfois, sans qu’ils ne soient toujours très justifiés. Ici un petit quelque chose lui hurle pourtant de se préparer… mais à quoi, au juste ? « Je ne connais personne dans ce service en tant que patient. » Sourcils froncés sous le coup de l’incompréhension, Carl met plusieurs secondes avant de considérer que non, cette réponse ne lui convient pas vraiment. « Comment ça personne ? » Ce n’est pas très logique car que peut-elle bien venir y faire si elle ne rend visite à aucun proche ? Carl a beau chercher, il semble que le plus évident des scénarios est encore le dernier qu’il envisage de son côté. « J'ai... » Il y a définitivement quelque chose, et son ventre reste en alerte tandis qu’en parallèle le temps s’arrête. La voix de sa petite amie reste en suspens dans le couloir, où Carl se déplace désormais d’un pas lent et distrait. Pourquoi est-ce que cela semble être si difficile à dire ? Et pourquoi est-ce qu’il appréhende maintenant officiellement la suite ? « J'ai été malade, Carl... » Ces mots n’ont pas encore cheminé jusqu’à son esprit que déjà, le sol semble se dérober sous ses pieds. Carl a comme l’impression de tomber de dix-huit étages à l’intérieur de lui-même, cette annonce terrassant tout ce que l’on peut imaginer et même bien plus encore, car dans aucun monde il n’aurait pu être préparé à ce genre de vérité. Son teint est livide, ses yeux figés et son corps pétrifié. « Je ne suis plus malade, mais je dois faire régulièrement des contrôles... » Tout ça c’est bien beau mais Carl, lui, ne retient qu’une seule chose : Adèle a été malade et dès lors, cette terrible nouvelle tourne et retourne en boucle dans sa tête. « J'aurais préféré que tu l'apprennes différemment... » Lui aussi, assurément, car cet endroit conjugué au reste ne fait que rendre le tout impossible à assimiler. Dans son monde, Adèle était jusqu’ici en parfaite santé et ce sont ses plus profondes convictions qui se fissurent, laissant entrevoir de la noirceur dans le ciel bleu de leur relation car ce secret le dévaste, c’est bien peu de le dire. « Malade. » il répète, tel un robot. Gravement malade même, il le suppose et cette idée est insupportable, à l’image d’un mot que le garçon ne parvient à prononcer ni de vive voix, ni dans son esprit. « Tu as eu un.. » foutu cancer, qu’Adèle n’a elle-même pas osé nommer ainsi et c’est sans doute préférable, dans le fond. « Ça veut dire que ça peut revenir. » Que la possibilité d’une rechute existe, n’est-ce pas après tout le genre de chose qui parfois arrive ? Peut-on vraiment guérir d’une telle maladie, ou ne vit-on pas avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête pour le restant de ses jours ? Plus Carl y pense, et plus la peur l’envahit et le tétanise. « Si tu fais des contrôles alors.. ça veut dire que c'est pas vraiment fini. Qu'il y a un risque. » Et si… il parvenait à la rendre de nouveau malade elle aussi ? Sa mère l’a bien été par sa faute, c’est en tout cas l’idée avec laquelle Carl a grandi et s’est construit alors même si ses pensées n’ont ni queue ni tête, il ne lui faut déjà plus grand-chose pour se persuader d’en être capable malgré lui. « Oh non. Non, non, non. » Jusque là complètement raide, le garçon commence à s’agiter et se tient notamment la tête, cette dernière lui signifiant que ce trop-plein d’émotions lui vaudra sous peu une nouvelle crise. C’est terrifiant, tellement que ses mains en tremblent et ses yeux se posent un peu partout, de peur d’abîmer Adèle s’il venait à l’observer un peu trop longtemps. « C'est grave. C'est super grave. » Ce genre de maladie l’est forcément toujours et tout ça, c’est finalement trop pour lui. Trop soudain. Trop grave. Trop effrayant. Il n’a pas seulement peur Carl, il est terrorisé et Adèle n’a pas souvent eu l’occasion de le voir dans un tel état. Tremblant et agité, fébrile au possible. Et à peine ses derniers mots prononcés Carl opère un mouvement de recul, incapable d'accueillir cette nouvelle bien trop lourde pour lui avec la perspective que celle-ci amène – celle d'un avenir incertain, d'une maladie qui fera à présent partie du paysage et d'une petite amie qui lui a caché son état de santé durant des mois, sans qu'il ne comprenne pourquoi. Tout ça éveille surtout en lui un nouveau genre de peur : celle de la perdre, de la voir tout bonnement disparaître.

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☾ closest to heaven
And you can't fight the tears that ain't coming or the moment of truth in your lies when everything feels like the movies.Yeah, you bleed just to know, you're alive. And I don't want the world to see me 'Cause I don't think that they'd understand. When everything's made to be broken I just want you to know who I am










sweet:

Adèle Shephard
le soleil après la pluie
Adèle Shephard
le soleil après la pluie


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
vingt-cinq ans
Date de naissance  :
26/12/1999
Surnom(s)  :
Addie souvent.
Polaroid :
(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Bde258168d741fe59a2e528ee0854b5eabba2507
Statut  :
il est le risque que je veux prendre...
Orientation sexuelle :
hétérosexuelle
Métier  :
agente immobilière depuis 2021, et bénévole au refuge animalier depuis ses seize ans.
Adresse  :
elle vit en colocation avec Carl & Chelsea - et l'entente avec cette dernière est bien plus difficile qu'elle ne l'aurait imaginé. Keefe, le petit frère de Carl est venu compléter le tableau.
Les petits détails  :
pétillante, entière, elle n'aime pas la solitude et parle beaucoup trop - elle a trois frères dont un décédé depuis 2022 - ses parents ont eu un accident de voiture quand elle était petite - elle fait du bénévolat pour le refuge animalier de Bristol - elle adore la période de Noël et la Saint Valentin - elle a eu un cancer et des soins de 2019 à 2021 - elle est sportive, et ne parvient jamais à rester en place -
Pronoms du perso  :
elle
Warnings  :
maladie (cancer) - décès (parents+frère) - déception amoureuse - voyages humanitaires (suite à des catastrophes naturelles) - course automobile
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Intervention pnj  :
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Concernant l'ordre, j'essaye de ne pas trop abuser mais je ne sais pas faire dans l'ordre de réponse, il peut m'arriver de faire passer avant un lien important pour mon personnage ou un de mes PL, quand bien même j'essaye de me soigner et de ne pas en abuser.

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 «  si seulement, j’avais su te le dire, si seulement, j’avais su t’en parler... »  coeur  @Carl Flanagan & Adèle Shephard.


TW cancer, maladie coeur


Adèle se retrouve face à son petit ami à qui elle n'a jamais parlé de sa maladie, parce qu'Adèle n'en parle presque jamais, encore profondément meurtrie et vulnérable de cette période de sa vie. Et elle pensait naïvement que jamais, Carl tomberait sur elle de cette façon aussi stupide. Qu'est-ce qu'elle va bien pouvoir lui dire désormais, paniquée à l'idée qu'il déverrouille cette partie d'elle que très peu de monde connaissent. Elle ne sait pas si un jour, elle aura le droit au bonheur, sans jugement et comprend mieux que personne l'isolement des malades. Carl cherche des explications là où Adèle aimerait qu'il cesse ses questions. Finalement rebondir sur ses examens lui semble être le plus judicieux, pour repousser au mieux le moment qu'elle redoute tant. « Disons que.. je t'en parlerai une prochaine fois, là je crois que c’est pas trop l’endroit. » Elle fait une moue, mais il ne lui laisse pas tellement le choix que d'accepter et il finit par la rassurer devant son regard qui dit tout son contraire, « mais t’en fais pas. » Ce n'est pas une option, Adèle s'inquiétera toujours pour lui avant de s'inquiéter pour les autres et elle-même. Il est celui dont elle veut son bonheur quand bien même cela signifie aussi lui cacher certaines choses d'elle - notamment cette maladie. Combien de temps cela aurait pu durer si il n'était pas tombé sur elle par hasard aujourd'hui ? Sans doute toute une vie ou presque, pour la Shephard elle n'avait aucune raison de lui en parler, aucune raison de l'effrayer ou qu'il s'inquiète sans cesse pour elle. C'est bien ce qu'elle a toujours détesté, Adèle, qu'on la regarde avec pitié. Et elle ne supporterait pas ça de son petit ami, c'est certain. Même si elle entend déjà Cody lui dire qu'elle ne devrait jamais avoir ce genre de secret pour l'homme qu'elle aime - ça se voit surtout que Cody n'est pas à sa place et n'a pas vécu avec cette épée de Damoclès au-dessus de sa tête. « Comme tu voudras, mais tu sais que je serai là quand tu le voudras. » Elle insiste sur ses mots, léger sourire aux lèvres. Carl fait partie des plus précieuses choses qu'elle a aujourd'hui dans sa vie et elle espère ne pas le perdre dans tout ce combat qu'elle ne parvient plus à maîtriser. Elle avait eu l'impression pourtant d'avoir toutes les cartes en main pour son bonheur et perd une carte après une carte, que lui restera t'il prochainement ?

Le regard de Carl se pose sur cette porte et sur ce service, Adèle blêmit, elle est certaine qu'il saura le voir assez rapidement et qu'elle devrait cesser de se battre inutilement pour cacher cette partie importante de sa vie. La vérité, c'est qu'Adèle est désormais plus seule que jamais avec cette maladie et elle n'aime pas inquiéter ses proches, inutilement, voilà la raison qui l'a pousse systématiquement a refusé que Cody l'accompagne. Il en fait selon elle déjà suffisamment pour lui épargner aussi ses contrôles. « Comment ça personne ?  » Carl pose beaucoup trop de questions et Adèle perd pied. Il n'a jamais été question de lui mentir, voilà sans aucun doute à la raison pour laquelle elle lui avoue enfin avoir été malade. Mais si elle tente aussitôt de le rassurer, le Flanagan ne l'entend pas de cette oreille et le coeur d'Adèle ne cesse de battre contre sa poitrine à une vitesse démesurée. Elle a l'impression qu'il va même sortir de sa poitrine tant, il s'abat avec violence et se déchaîne au fur et à mesure que Carl l'observe et cherche des réponses là où les questions restent en suspens. « Malade  qu'il répète à son tour comme si l'info avait du mal à monter jusqu'à son cerveau. Tu as eu un..  » Adèle passe aussitôt sa main contre sa tête, se tenant fermement contre le mur comme s'il lui était possible de tomber par terre. Carl n'ose pas dire le mot, et trahir ainsi les paroles de son interlocutrice, Adèle blêmit aussitôt devant les paroles en suspens du jeune homme. Elle a même l'impression que sa respiration devient moins facile et qu'elle va finir par suffoquer devant lui. Si elle s'attendait à ça, elle ne serait évidemment jamais venue jusqu'ici, mais sentant le piège qui se referme sur elle, Adèle a bien du mal à réaliser ce qui se passe sous ses yeux et surtout la tempête qui s'abat à l'intérieur d'elle, enfouie désormais depuis bien trop longtemps. Elle cherche désespérément une issue. « S'il te plaît, arrête Carl... » Elle ferme les yeux un instant, un court instant, mais elle a l'impression que ça dure une éternité, et lorsqu'elle les réouvre, Carl n'a pas bougé d'un centimètre, il se retrouve exactement au même endroit, elle ne parvient même pas à identifier s'il respire encore, si il est encore avec elle. Ou si son cerveau s'est envolé ailleurs, loin de cette vérité dérangeante. « Ça veut dire que ça peut revenir.  » Son coeur se resserre, pourquoi il lui fait revivre ça ? Pourquoi il lui fait autant de mal quand elle demande qu'une chose : qu'on arrête de lui parler de cette maladie. Elle a surtout l'impression que son identité propre est celle de sa maladie alors qu'elle a toujours voulu être plus, et qu'on se souvient d'elle pour sa bonne humeur, sa taquinerie ou sa douceur. Pas pour son cancer, pas pour la chimio qu'elle a dû entreprendre. « Si tu fais des contrôles alors.. ça veut dire que c'est pas vraiment fini. Qu'il y a un risque. » Adèle reste silencieuse, chaque mot de Carl lui devient de plus en plus douloureux, et elle finira par s'effondrer si il ne parvient pas à se taire quelques minutes.  « J'ai mal... » Elle chuchote bien plus qu'elle n'ose plus le toucher, encore moins le regarder de peur qu'il lise en elle ses craintes. De peur qu'il se rende compte qu'elle n'est plus celle qu'il a aimée. Qu'il aime encore ? Elle ignore ses sentiments à cet instant et elle a tellement mal au coeur. De le perdre. « Oh non. Non, non, non. » Carl s'agite dans tous les sens. Renfermant son visage entre ses mains. Elle a peur Adèle en le voyant, elle a peur de ce qu'elle voit et de ce qu'il pourrait faire. Elle ignore ce qui se passe dans sa tête. « C'est grave. C'est super grave. » Adèle n'ose plus porter son regard sur son petit ami, elle ne peut même plus retenir ses larmes, encore bien touchée par cette période et le comportement de Carl n'aide pas à lui redonner confiance. Elle aimerait se rapprocher de lui, lui dire que les choses iront bien désormais, que tout ça est déjà loin d'elle. Que tous les deux, ils pourront tout surmonter. Elle aimerait y croire mais elle n'y croit pas. Elle est déboussolée, perdue. Elle aimerait trouver les mots pour le rassurer, lui, lorsqu'elle même doute de tout. Bien sûr que sa maladie peut revenir. Bien sûr que rien n'est vraiment terminé. Sa main vient essuyer sa larme, elle commence à avoir froid dans ce couloir et surtout elle commence à avoir mal partout. Au coeur, au bide. Elle a l'impression de se revoir cinq ans plutôt. Elle a l'impression de revoir cette petite jeunette de vingt-ans, qui croyait qu'elle avait toute la vie devant elle. Elle a l'impression de devoir continuer de se battre contre les gens, contre ceux qui ne comprennent rien de sa maladie et regrette à cet instant d'être tombé sur Carl. Elle a peur, elle a peur de le perdre. Bien plus qu'elle a peur pour sa maladie mais tout l'empêchera de le rattraper. Il ne veut plus d'elle et les pas de Carl qui s'éloignent d'elle le lui prouve à chaque seconde. Son coeur bat avec bien trop d'intensité, ses oreilles bourdonnent. Elle a l'impression que son corps n'allait pas arriver à la tenir longtemps et elle se sent seule. Plus seule que jamais. La réaction de Carl lui donne envie de hurler, de pleurer. Lui donne même l'envie de partir. Loin, surtout très loin de lui. Et pourtant, quand elle l'observe reculer d'un pas puis d'un autre et se refermer sur lui-même, elle aimerait tant appuyer sur 'reset' et tout recommencer du début, « ne m'lâche pas s'il te plaît... » Ce sera insuffisant mais elle l'implore quand même, totalement désabusée. C'est pourtant ce que sa maladie fera. Elle finira seule, et si la solitude l'effraie, elle ferait mieux de s'y habituer.

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Carl Flanagan
STAFF l'agonie des utopies
Carl Flanagan
STAFF l'agonie des utopies


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
23 années d'errance et de désillusions.
Date de naissance  :
04/01/2001
Surnom(s)  :
Carlito ou le weirdo sur les réseaux mais juste, épargnez-lui Carlyle.
Polaroid :
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Statut  :
il n'a plus à rougir de regarder Adèle avec les yeux en coeur ni à contenir son envie de l'embrasser car il peut enfin le dire : oui, il a une petite amie (pincez-le très fort, il croit encore rêver)
Orientation sexuelle :
les filles, c'est joli les filles, et c'est encore mieux quand il en rencontre une qui veut bien de lui.
Métier  :
valet de chambre plutôt maladroit au prestigieux Waldorf Hotel, il vient de reprendre ses études pour entamer un Bachelor en Mathématiques d'une durée de 3 ans – respire Carl, ça va aller.
Adresse  :
#41 Old Temple Street (BCC), la colocation s'éternise avec Adèle, Chelsea et son frère Keefe.
Les petits détails  :
irlandais à l'accent imperceptible ☆ famille disloquée dont il est le chat noir : père déserteur, mère mélancolique depuis sa naissance remariée avec une brute et frère victime d'un accident par sa faute (il parait) ☆ prêt à tout pour exister dans la vie de son père ☆ prisonnier du one-itis pendant des années, il tente d'en sortir à grand coup de thérapie ☆ une sombre réputation lui colle à la peau depuis que ses pratiques de stalker ont été dévoilées à la télévision ☆ victime de maltraitance infantile de ses 9 à 18 ans ☆ zéro confiance en lui et une paranoïa de tous les instants, rempli de doutes et de contradictions.
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
cruauté animale.
Warnings  :
maltraitance infantile, cyberstalking, autodépréciation & self-body shaming, psychothérapie, abandon, troubles obsessionnels, cyberharcèlement, prostitution (client), mention d'agression physique.
Code couleur rp  :
seagreen ; mediumseagreen
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
(08) nova #1willow #1keefe #1coloc #3kieran #1mina #1 (event)adèle #15adèle #16 (event)

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flanagans : keefe #1 & kieran #1 ☆ can we work it out ? can we be a family ? i promise i'll be better, mommy i'll do anything, daddy please don't leave. i ran away today, ran from the noise, ran away. don't wanna go back to that place, but don't have no choice, no way. it ain't easy growin up in world war III.

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Fv4d
caele #15 & #16 ☆ and if somebody hurts you, i wanna fight, but my hand's been broken one too many times. so i'll use my voice i'll be so fucking rude, words, they always win but i know i'll lose. and i'd sing a song that'd be just ours, but i sang 'em all to another heart. and i wanna cry, i wanna learn to love, but all my tears have been used up. ☆ 124561314

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calsea #6 ☆ it must have been cold there in my shadow to never have sunlight on your face. you were content to let me shine, that's your way, you always walked a step behind. did you ever know that you're my hero, and everything i would like to be? i can fly higher than an eagle cause you are the wind beneath my wings.

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carlina #1 ☆ i didn't want to be the one to forget, i thought of everything i'd never regret. a little time with you is all that i get, that's all we need because it's all we can take. and we will never be alone again, 'cause it doesn't happen every day. kinda counted on you being a friend, can i give it up or give it away ?

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willow #1 ☆ oh, who is she? a misty memory, a haunting face, is she a lost embrace? a mystery, oh, who is she? I call her name across an endless plain, she'll answer me where ever she may be. immortal she, return to me.

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nova #1 ☆ so no one told you life was gonna be this way, your job's a joke, you're broke, your love life's doa. it's like you're always stuck in second gear, when it hasn't been your day, your week, your month or even your year. but i'll be there for you, 'cause you're there for me too.

Préliens attendus  :
sujets futurs : desmond

préliens à venir
psychologue clinicien(ne)
› house of secrets (télé-réalité) ‹

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naomi ☆ running fast through a fairy tale, dark woods, starless night. feel cold air in my lungs, full moon, you follow me. pierce me like an arrow, beneath the blanket of night, longing for flight. when u fall into me it feels so sweet, like dreaming. press yourself into me, let me feel your breathing.

Sujets terminés  :
(2024) adèle #13chelsea #6cody #1adèle #14

(nostalgie) adèle #1adèle #2adèle #4adèle #5adèle #6

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... Mk1s

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Disponibilité rp  :
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Préférences rp  :
mes réponses tournent autour de 800-1500 mots en moyenne, tout comme il m'arrive de faire beaucoup plus. je suis généreuse mais je m'adapte aussi à mes partenaires ☆ j'écris à la troisième personne du singulier et au présent ☆ dialogues en français principalement ☆ je ne m'impose pas d'ordre de réponse et privilégie mes intrigues importantes, ce qui ne m'empêche de répondre à tout le monde dans des délais équivalents ☆ je me laisse volontiers tenter par les rp flashbacks et les univers alternatifs, n'hésitez donc pas à m'en proposer ♡
Genre irl  :
Féminin
Faceclaim  :
fionn whitehead.
Multicomptes  :
eddie yang (ft. lee know) & mickey reeves (ft. abel tesfaye)
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@homemade (avatar) & @pickers (gifs), @bleeding-light (gif caele), @keroppigifs (gif willow) VAW. (dessin)
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☾ si seulement j'avais su te le dire,
si seulement j'avais su t'en parler...

@Adèle Shephard ☆ CARL FLANAGAN
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tw: maladie, cancer

Si Carl hoche doucement la tête et esquisse un sourire pour assurer à sa petite amie qu’il sait pouvoir compter sur elle pour ce sujet ou bien un autre, ce n’est que pour mieux repousser le moment de lui parler de ce qui l’avait conduit dans cet hôpital près de deux ans en arrière. Un épisode dont le garçon n’est pas franchement fier, incertain quant à ce qu’Adèle pourrait penser du pétrin dans lequel il s’était mis, et qu’il n’évoque aussi jamais pour ne pas laisser à Henrick l’occasion de venir plus encore le hanter. Rêver de lui et revivre la scène dans ses cauchemars est bien assez, alors Carl ne sait pas encore quels mots il posera sur cette période de sa vie lorsque le sujet viendra. Adèle a le droit de savoir qu’il a parfois fait de mauvaises rencontres et qu’il s’est aussi attaché à la mauvaise fille par le passé mais chaque chose en son temps, se dit-il. Laisser pour l’heure ses anciennes blessures de côté lui permet de décider du moment et du lieu où il pourra en parler, car leurs retrouvailles imprévues dans cet hôpital ne doivent pas le forcer à évoquer ce regrettable épisode de son passé. Elles ne devraient d’ailleurs pas non plus forcer Adèle à aborder un sujet qu’elle a jusqu’ici pris soin d’éviter mais elle semble y voir l’occasion ou jamais de s’ouvrir à lui. Après la révélation sur son frère, Carl ne voit pas bien quel morceau de sa vie il pourrait encore ignorer et c’est certainement le fait de croire que plus rien ne peut le surprendre qui le fait tomber de si haut, ensuite. Lorsque la Shephard laisse entendre que ses venues dans cet hôpital ne concernent personne d’autre qu’elle-même, et qu’elle y a un temps figuré en tant que patiente – l’instant précis où Carl fait un blocage, et refuse d’assimiler qu’elle a effectivement été malade. Le mot est pourtant là, à flotter tout autour de lui comme une nouvelle idée fixe et dès lors, le garçon ne parvient plus à la regarder sans être pris d’une angoisse infinie. Il s’imagine le pire, cette rechute qu’Adèle doit être la première à redouter depuis des années et dont il souligne maladroitement la possibilité, comme si ce n’était pas la pire chose à faire et à dire. Elle n’a pas besoin d’entendre ça, pas besoin qu’on lui rappelle que ces choses-là peuvent revenir, mais Carl n’est pour le moment pas capable de prendre le moindre recul sur ses mots. Il secoue la tête, tente de chasser toutes ces pensées de son esprit et surtout celle d’une Adèle mal en point, qu’il ne pourrait ni aider ni guérir. L’art et la manière de se torturer et de se figurer le plus sombre des avenirs. Pas ça. Cette maladie qu’il n’a jamais côtoyé d’aussi près et qui désormais tiendra une place dans leur couple, c’est du moins ce qu’il s’imagine. Pas elle. Sa personne préférée sur cette terre, cette fille qu’il aime aujourd’hui plus que sa propre vie et qu’il ne supporterait pas de voir souffrir. Ou pire. « S'il te plaît, arrête Carl... » Il voudrait arrêter, il le voudrait vraiment mais cette annonce le foudroie à un point que l’on peut à peine imaginer car son monde s’effondre, lui qui n’aurait jamais pu croire qu’Adèle avait affronté tout ça de son côté. Il ne connaît pas le quotidien d’un malade mais il le devine, et Carl y gagne aussitôt de nouvelles angoisses. Cet univers lui fait peur, lui qui n’a jamais pu regarder la maladie en face.

Et puis, Adèle a toujours été le rayon de soleil de leur couple et la moitié la plus solide, c’est lui qui cumule les problèmes et qui a encore un long travail à effectuer sur lui-même. Elle est son pilier, sa béquille et sa bouée les jours où il pourrait se noyer alors que Carl doute d’avoir les épaules pour être ce même pilier en retour, et pour l’aider à aller mieux si tout ceci le terrifie. Il ne sait même pas s’il parviendrait à l’accompagner lors de ses prochains contrôles, en aurait-il seulement le courage ? Ce serait pourtant bien son rôle, mais Carl ne se sent pas de côtoyer la maladie et la mort entre les murs de cet hôpital. « J'ai mal... » Face à lui, Adèle se fragilise et les mots du garçon tout comme son attitude ne doivent vraiment pas arranger les choses. Croiser son regard s’avère bien trop difficile, rester auprès d’elle lui donne l’impression de pouvoir la briser avec sa maladresse alors Carl s’éloigne sans même le vouloir, car tout ceci le confronte à une réalité insoutenable. Il ne veut pas avoir peur pour elle en permanence, il n’en a pas la force et ne sait officiellement plus comment aborder la suite. Après tout Carl porte malheur aux autres, cette idée ne le quittera jamais et le persuade qu’à ses côtés, Adèle ne restera peut-être pas longtemps en bonne santé. « Je.. je peux pas. » souffle-t-il, ses pieds reculant un peu plus tandis que son regard se perd dans le vide devant lui. S’il rejette dès maintenant cette maladie et tout ce qu’on lui associe, est-ce qu’il a une chance d’empêcher celle-ci d’exister et de revenir ? Mais s’il le fait, n’est-ce pas aussi Adèle qu’il rejette finalement ? Son amour pour elle devrait être le plus fort et le conduire sans attendre dans ses bras mais sa peur de la perdre, elle, paralyse ses mouvements en dehors de ses jambes creusant à chaque instant ce fossé entre eux. C’est parce qu’il l’aime plus que tout que l’idée qu’il puisse lui arriver quelque chose menace de le détruire, car il sait qu’il ne s’en remettrait pas. Adèle va bien aujourd’hui… mais demain ? La vérité, c’est qu’il n’en sait rien. « Ne m'lâche pas s'il te plaît... » Ce n’est pas ce qu’il veut, mais c’est pourtant ce qu’il fait. Carl la laisse seule, alignant de son côté les pas en arrière pour ne pas être aspiré par ce monstre de cancer qui l’effraie et lui ôte tout discernement. Maladie, maladie, maladie, il ne peut s’empêcher d’y penser et d’en imaginer les effets sur elle, ce qui atomise son cœur et le tétanise pour de bon. Non, il ne peut pas affronter ça. Non, il ne peut pas accepter l’idée qu’elle pourrait un jour s’envoler ou perdre toute sa lumière comme il a vu sa maman s’éteindre. Coupable de l’aimer à un point où imaginer sa vie sans elle lui ferait perdre la tête, mais coupable aussi de la pire réaction qu’il pouvait offrir à sa petite amie. La peur, elle, reste sa pire ennemie.


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☾ closest to heaven
And you can't fight the tears that ain't coming or the moment of truth in your lies when everything feels like the movies.Yeah, you bleed just to know, you're alive. And I don't want the world to see me 'Cause I don't think that they'd understand. When everything's made to be broken I just want you to know who I am










sweet:

Adèle Shephard
le soleil après la pluie
Adèle Shephard
le soleil après la pluie


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
vingt-cinq ans
Date de naissance  :
26/12/1999
Surnom(s)  :
Addie souvent.
Polaroid :
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Statut  :
il est le risque que je veux prendre...
Orientation sexuelle :
hétérosexuelle
Métier  :
agente immobilière depuis 2021, et bénévole au refuge animalier depuis ses seize ans.
Adresse  :
elle vit en colocation avec Carl & Chelsea - et l'entente avec cette dernière est bien plus difficile qu'elle ne l'aurait imaginé. Keefe, le petit frère de Carl est venu compléter le tableau.
Les petits détails  :
pétillante, entière, elle n'aime pas la solitude et parle beaucoup trop - elle a trois frères dont un décédé depuis 2022 - ses parents ont eu un accident de voiture quand elle était petite - elle fait du bénévolat pour le refuge animalier de Bristol - elle adore la période de Noël et la Saint Valentin - elle a eu un cancer et des soins de 2019 à 2021 - elle est sportive, et ne parvient jamais à rester en place -
Pronoms du perso  :
elle
Warnings  :
maladie (cancer) - décès (parents+frère) - déception amoureuse - voyages humanitaires (suite à des catastrophes naturelles) - course automobile
Code couleur rp  :
Addie ne sait pas se taire en #9E1E05
Intervention pnj  :
oui
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CAELE
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SHEPHARD
11213

(Caele #14) si seulement j'avais su te le dire, si seulement j'avais su t'en parler... 65ef60a7bb932233cf67b6c264fd3440a75ec6e2
TIM
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(8/6) Caleb #2Coloc #3Yael #1Tim #1Cody #13Carl #15Asso #1Laurie #1

(EVENT 5/5) Bowie #1Carl #16Tessa #1Mary Gail #1Psalm #1

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Sujets terminés  :
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Concernant l'ordre, j'essaye de ne pas trop abuser mais je ne sais pas faire dans l'ordre de réponse, il peut m'arriver de faire passer avant un lien important pour mon personnage ou un de mes PL, quand bien même j'essaye de me soigner et de ne pas en abuser.

Genre irl  :
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Faceclaim  :
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 «  si seulement, j’avais su te le dire, si seulement, j’avais su t’en parler... »  coeur  @Carl Flanagan & Adèle Shephard.


TW cancer, maladie coeur

Les choses demeurent aujourd'hui compliquées à suivre, tant Adèle n'avait pas senti le vent tourner. Jamais elle ne s'était dit qu'elle allait tomber sur son petit ami dans un lieu pareil et aurait sans doute dû continuer de lui cacher cette vérité, si elle avait su la tournure des choses. Ce n'est pourtant pas quelque chose d'anodin, qu'on cache à une personne qu'on aime - mais si la personne en face d'elle l'aime aussi, pourquoi les choses ne seraient pas aussi simples ? La vérité est qu'elle ignore complètement le passif de son petit ami, et même si elle serait, sans aucun doute, apte à comprendre et à l'épauler, elle ignore autant ses craintes et ses blessures que ce qu'elle a subi il y a cinq ans entre ses murs. Les doutes, ses pleurs. La différence avec Adèle, c'est que Carl pourrait avoir le choix que d'accepter ou non cette maladie, mais n'est-ce désormais pas trop tard si il veut faire partie de son monde ? Marchant quelques pas dans le couloir, auprès de celui pour lequel son coeur bat avec fougue, elle est soudainement prise d'une angoisse quand Carl lui pose un peu trop de questions intimiste, et elle a même l'impression qu'elle ne parvient plus vraiment à prendre sa respiration normalement, elle cherche néanmoins un geste de sa part, un mot ou ne serait-ce qu'un regard attendrissant sans trouver aucun des trois en guise de réponse dans ses yeux. Et puis l'arrêt de tout mouvement et peut-être même de sa respiration. C'est brutal. Le temps s'est arrêté pendant une fraction de seconde, suffisamment pour que les choses autour d'elles n'ont plus d'importance. Le seul qui compte à cet instant est devant elle, immobile et incapable d'aligner deux mots. La seule chose qui devrait compter pour lui, c'est elle, mais là encore Carl répond au abonné absent et ça lui procure des picotements un peu partout, autant qu'un besoin de s'évader loin. De retrouver son frangin. Il est sans doute le seul qui pourra la décevoir sans qu'elle ne lui en tienne rigueur. Elle a envie autant de pleurer que d'être forte. Parfait contraste qui la représente si bien. Forte et fragile à la fois. Le temps devient long, le sol se dérobe sous ses pieds alors qu'Adèle tente de minimiser la chose si bien qu'elle ne dupera évidemment pas aussi facilement Carl. Combien de temps, encore, restera t'elle figée sur place devant un Flanagan qui se renferme sur lui ? Si Adèle ne bouge pas, qu'elle ne cherche ni à fuir ni à rompre cette distance, c'est uniquement parce qu'elle veut laisser à Carl le temps de tout assimiler. Peut-être a t'il juste besoin d'un peu de temps supplémentaire pour recevoir ce qu'elle vient de dire et qu'il finira lui-même par la prendre dans ses bras et lui dire tout bas combien il sera toujours là pour elle. Dans les bons moments comme dans les pires. Et dans le terme "pire" Adèle est plutôt bien placé pour en connaître la parfaite définition. Elle est optimiste Adèle, la peur n'a jamais entravé ses pensées, et elle a sans aucun doute connu pire, alors quand bien même l'appréhension est jamais loin, elle ne souhaite pas le brusquer. Mais la réaction de Carl est douloureuse. Elle l'observe, impuissante, sans oser de son côté bouger, ou parler. Le coeur d'Adèle se fend au fur et à mesure que les secondes passent. La distance s'empare d'eux et le silence est violent. Il la rejette. Il ne veut plus d'elle, et il ne parvient pas à voir sa détresse dans son regard. Elle ne réalise pas encore ce qui se passe entre eux et quel genre de fissure profonde se créer. Elle aimerait être plus forte, oser rompre la distance. Lui promettre que tout ça n'est que derrière elle, mais sa présence ici, menace cette vérité au plus profond d'elle et elle se résigne à ce qu'un son sorte de ses lèvres tandis que ses yeux n'osent désormais plus affronter l'Irlandais. Son coeur s'emballe, son ventre est noué. Et elle a cette mauvaise impression que ses jambes ne pourront plus la porter très longtemps, plus la conduire jusqu'à lui. Les jambes de Carl l'éloignent l'un de l'autre et Adèle se rend compte trop tard que les choses ne seront jamais un long fleuve tranquille. Adèle aura toujours cette épée de Damoclès au-dessus de la tête, entravant simplement ses propres choix et ses relations avec les autres. Et celle-ci avec l'étudiant est sans doute la pire de toute : cette sentence est injuste. Elle a déjà vu trop de monde partir et elle ne réalise pas encore que Carl pourrait bien faire partie de ceux-là si elle ne réagit pas. Si elle ne se bat pas. Mais les mots qui suivront la déstabilisent plus qu'elle ne l'admettre jamais. « Je.. je peux pas.  » Il a fini de s'agiter, mais il ne pose plus son regard sur elle. Tout comme il ne cherche plus aucun contact, Adèle est devenue une étrangère, un vulgaire déchet dont Carl tente de se débarrasser de la pire des façons. Et la claque est suffisamment puissante pour qu'elle fasse elle aussi, marche arrière. La jambe gauche recule d'un pas sans flancher. Retiens-moi. Adèle ne parvient plus à le regarder, à présent certaine qu'il ne saura plus la retenir, c'est celle de droite qui recule, le coeur au bord du précipice. Dis quelque chose Carl. Mais les pas de la Shephard ne cessent de s'éloigner à mesure que Carl évite de la regarder, s'éloignant aussi de la pire des façons, et lorsqu'elle est suffisamment loin, Adèle lui tourne le dos, silencieuse, alors que les larmes lui montent aux yeux. Avant de disparaître au bout du couloir, accélérant le pas, préférant partir avant qu'il ne parte, lui.

pls
FIN

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