CHELSEA ＝ Maybe you've been waiting to be told

prénom : Chelsea, un prénom qui n'a pas été choisi au hasard puisqu'il signifie port de mer. nom de famille : Cavanagh, un nom dont on devine la provenance lorsqu'on le prononce. âge : 23 ans (née le 27 juillet 2001) origines & lieu de naissance : Anglaise aux origines écossaises, elle est née à Oxford, mais c'est dans le patelin au nom interminable Bourton-on-the-Water que s'écoulèrent ses 13 premières années. statut civil ou amoureux : Éternelle célibataire, qui commence à guérir de son obsession amoureuse envers son meilleur ami grâce à des thérapies. emploi ou études : Étudiante en quatrième année de photographie, elle rêve de devenir photographe reporter. En attendant elle jongle entre ses études et ses deux boulots : elle est hôtesse d'accueil de la piscine du clinquant hôtel Waldorf et assistante dans une galerie d'art. orientation sexuelle : Boys boys boys, même s'il n'y en a qu'un qui lui a fait tourné la tête, elle est persuadée que les filles ne l'intéresseront jamais.  aspiration choisie : Créativité & liberté. faceclaim : Sadie Sink.

Ton personnage a choisi une aspiration, autrement dit un souhait à long terme ou un but à poursuivre : que peux-tu nous dire sur ce qui l'anime ? Pourquoi cette aspiration et pas une autre, en quoi iel se retrouve dans celle-ci et en quoi cela influe aujourd'hui sur sa vie ?

Posséder des échappatoires a toujours été essentiel à Chelsea, parce que cela lui a permis de nombreuses fois d'oublier qu'il lui manquait des choses ; un père biologique ou au moins l'identité de celui-ci, une mère présente, la sérénité, une bande d'amis... Celui qui ne l'a jamais quitté est le dessin, quand les autres arrêtaient de le pratiquer une fois qu'ils avaient atteint un certain âge, elle ne cessait de se perfectionner, de capturer des souvenirs à coups de crayons, avant de pouvoir le faire avec un objectif, comme pouvait le faire le grand-père qui l'a élevé. Habiter de nombreuses années dans un petit village où il ne se passait rien et où elle était scrutée, a considérablement nourri son envie de dévorer le monde, de découvrir ce qu'il pouvait se passer en dehors des frontières, cela l'a amené à poursuivre une certaine quête de liberté. La rousse a développé un rêve qui peut à la fois allier cet objectif et sa créativité ; celui de devenir journaliste reporter, elle n'est donc pas prête de quitter son appareil photo et d'immortaliser tout ce qu'elle considère digne d'intérêt. Chelsea est persuadée qu'un jour, elle pourra mettre en lumière d'autres cultures et dénoncer des injustices, en attendant elle étudie la photographie pour être hors pair dans le domaine, continue de dessiner pour ne pas perdre la main dans cet art qu'elle affectionne tout autant.  

Unique, c'est ce qu'elle veut être au maximum, elle ne supporterait pas d'être une vulgaire copie. Chelsea a apprit au fil des années qu'être différente n'était pas une faiblesse, mais un atout. Elle ne se prive donc pas d'être celle qu'elle est vraiment, mis à part au travail, son sarcasme n'y étant pas vraiment le bienvenue.※ Inaccessible, elle souffrirait du syndrome de la bitch resting face ou ne sourirait peut-être tout simplement pas suffisamment aux yeux des abrutis qui lui dictent l'attitude qu'elle devrait avoir dans l'espace public. Elle n'en est pas gênée, au contraire elle préfère choisir soigneusement ceux qui rentreront dans son cercle, plutôt que d'attirer n'importe qui. ※ Indépendante, elle n'aime pas paraître comme une petite chose fragile qui a besoin de l'aide des autres, elle préféra donc garder ses problèmes pour elle plutôt que de les partager. Certaines personnes diront qu'il s'agit d'une fierté mal placée, elle répondra qu'il s'agit plutôt d'une certaine force d'esprit qu'on ne devrait pas lui reprocher. ※ Susceptible, elle digère mal la critique et les contradictions, parce qu'elle aime beaucoup trop avoir le dernier mot. Il faut prendre un certain nombre de pincettes pour ne pas la braquer et être victime de sa rancune. ※Généreuse, elle est prête à donner énormément à ceux qu'elle aime, quitte à faire des sacrifices. Elle prétend ne rien attendre en retour, mais dans le fond elle adore recevoir de la reconnaissance, être admirée lui permet de se sentir réellement aimée. ※ Désordonnée, elle pense à beaucoup de choses, tout le temps, en plus d'avoir une mauvaise notion du temps lorsqu'elle met trop de cœur à l'ouvrage. Cela fait d'elle une demoiselle plutôt bordélique et désorganisée, mais ses colocataires peuvent s'estimer heureux qu'elle ne soit pas une grande matérialiste. 

[1] Conçue de façon atypique, Chelsea fait partie des 0,3% de personnes nées grâce à une fécondation in vitro. Il s'agit d'une particularité dont elle ne se vante pas, alors qu'elle est habituellement quelqu'un qui adore se démarquer. Enfant, elle s'inventait un père beaucoup trop parfait pour être réel. [2] Le centre d'attention, c'était ce que sa mère et elle étaient dans son petit village natal, peuplé de résidents un peu trop rangés pour normaliser l'existence d'une mère célibataire. Elles pourraient figurer dans le Guinness des records en tant que personnes cumulant le plus de rumeurs à leur sujet, rien que ça. [3] Un peu trop perchée sur la lune selon les nombreux adultes qui ont cherché à l'analyser, elle n'a pas trop souffert d'être épiée durant les premières années de sa vie. Bercée de jolies histoires, elle fut nourrie d'idées toutes aussi farfelues les unes que les autres, comme celle d'être une princesse perdue que l'on ne reconnaissait pas ou d'être l'enfant caché d'un prestigieux espion... [4] L'école aurait pu être sa bête noire, parce qu'elle fut longtemps victime de harcèlement scolaire, tout était bon à être raillé chez elle. Son nom de famille qui était volontairement écorché, sa rousseur, son prétendu caractère de cochon, ses goûts. Elle trouva un moyen de prendre sa revanche en partant à la conquête du titre de la meilleure élève, qu'elle décrochera. [5] Chelsea cherchait également d'être la fierté de Brianna Cavanagh, sa mère dont elle était l'unique enfant. Elle était une prestigieuse chercheuse en laboratoire qui fut déclarée surdouée lors de son enfance, elle avait donc envie d'être à sa hauteur. Cependant rien ne suffisait pour captiver suffisamment son attention, elle restait principalement obsédée par ses recherches. [6] Le travail rendait sa génitrice captive, parce qu'elle cherchait au maximum à augmenter l'espérance de vie de son père, Raghnall Cavanagh, celui que Chelsea considère comme l'homme le plus important de sa vie. Cloîtré chez lui, il était désigné d'office pour la garder en cas de besoin, pour son plus grand plaisir il participa grandement à son éducation, si ce n'est plus que sa propre mère. [7] Il lui a transmit sa passion pour la photographie, elle a essayé de la lui faire vivre par procuration en prenant un maximum de photos d'endroits qui lui étaient inconnus. Les émotions qu'elle arrivait à lui procurer avec ses clichés lui donnèrent l'impression qu'elle avait sûrement trouvé son talent grâce à lui, qu'elle décida de mettre à l'épreuve en choisissant des études dans ce domaine. [8] Elle a connu une sorte de renaissance sur la fin de ses 12 ans, même si elle a refusé de l'admettre en lui disant qu'on la " contrainte à déménager " (alors qu'elle clamait haut et fort détester sa ville d'origine), pour le confort de la famille de celui qui est devenu son beau-père. Chelsea a s'est rapidement habituée de passer d'un village où tout le monde la connaissait, à une grande commune comme Bristol où elle eut la possibilité de se façonner une nouvelle identité. L'étiquette de weirdo qui lui collait à la peau n'était pas forcément très loin, mais elle se sentit traitée de manière plus positive depuis qu'elle respectait un " schéma familial classique ". [9] Elle se considère malgré tout encore comme une fille unique dans sa tête, parce qu'elle ne s'entend pas avec le compagnon de sa mère, qu'elle trouve rigide, ni avec la fille de celui-ci qui semble venir d'un autre monde. Chelsea l'a appelé " papa " en public durant le lycée pour faire bonne figure, mais elle ne le fait plus à l'heure actuelle. [10] Afin de ne plus subir cette cohabitation, elle commença à travailler dans un parc aquatique, dans lequel elle enfilait   le déguisement d'une mascotte " parce que cela lui allait comme un gant au vu de sa petite taille", une offense qu'elle accepta parce qu'elle n'était pas mécontente de garder son anonymat. Elle fit sa première colocation à 20 ans et changea de travail par la suite. [11] Depuis qu'elle ne vit plus avec sa mère, elle se sent plus libre d'entreprendre des recherches pour retrouver son père biologique. Chelsea pense qu'il est grand temps qu'elle connaisse cette partie inconnue de son histoire et de son patrimoine génétique, que son père cesse de n'être qu'un gros point d'interrogation. 

[1] Véritable papillon de nuit, elle vit lorsque l'obscurité règne sur le monde. Elle aime la quiétude des heures tardives, flâner dans des rues désertes éclairées par les néons des enseignes. Elle se réfugie au gré de ses envies dans des endroits fermant tardivement, plus particulièrement dans une salle offrant une grande variété de jeux vidéos de toutes les époques. [2] Pas une seule cigarette, elle s'était jurée qu'elle n'y toucherait jamais et pourtant, elle fume depuis le lycée. Le responsable tout désigné est Desmond, celui dont elle est amoureuse, qui a eu la brillante idée de lui proposer de partager sa clope. Elle a donc envoyé valser ses convictions pour paraître cool auprès de lui, avant de tomber dans cette vilaine addiction. En plus d'être un véritable remède contre le stress, le tabac lui a permis de s'insérer socialement plus facilement, elle n'arrive donc plus à se convaincre de sa toxicité. [3] En marge de sa génération, elle ne comprend pas tout cet intérêt pour TikTok, ses tendances débiles, les chansons sans sens, ni pour les modes vestimentaires. Les crop-tops, jeans déchirés ne feront jamais partie de sa garde-robe, elle préfère largement les pièces uniques qu'elle peut dénicher en friperies. Elle n'aime pas étaler sa vie, elle reste relativement secrète et ne se trouve que sur Instagram, où elle poste majoritairement ses photographies et ses dessins. [4] Chelsea est détentrice d'un permis bateau depuis ses 19 ans, elle s'est rapidement inscrite à une formation lorsqu'elle sut que le voilier de son grand-père risquait d'être mis en vente, elle a utilisé son premier salaire pour cela contre l'avis de sa mère. Elle fait de son mieux pour naviguer au une fois par semaine minimum avec lui à son bord dans ce navire nommé Wayfarer. [5] Peu de personnes soupçonnent que ce petit bout de femme à la crinière de feu sait se battre, c'est une des rares choses positives que son beau-père lui a apporté. Apprendre la self défense lui a donné l'envie d'aller encore plus loin, en se mettant au judo pour le plaisir de mettre au tapis des têtes à claques. [6] Chelsea nourrit une passion peu commune, celle du cosplay qu'elle a put pratiquer avec l'aide de sa grand-mère couturière. Elle fait de son mieux pour apprendre la couture et se débrouiller toute seule, mais elle en trouve rarement le temps.

BOURTON-IN-THE-WATER 2013 La vie est belle, lorsque Chelsea entendait cette phrase sortir de la bouche de sa grand-mère, elle se demandait comment elle arrivait à le penser sincèrement, encore plus en partageant le quotidien de son mari malade. Il ne se passait pas une seule journée sans qu’elle ne pense à Raghnall, combien de temps allait il encore vivre ? De nombreuses années selon sa mère, qu’elle avait entendu dire au téléphone qu’elle avait peut-être trouvé un bon traitement. Elle ne lui en avait pas demandé la confirmation, parce qu’elle savait que Brianna détestait savoir qu’on l’écoutait dans son dos, mais aussi parce que la chercheuse n’aimait pas s’avancer hâtivement devant sa famille, qui comptait beaucoup trop sur son travail. La rouquine avait merveilleusement bien dormi et la journée s’annonçait ensoleillée, un soleil qui était plus que le bienvenu après une semaine passée sous la pluie. Elle ne se souciait plus de savoir s’il allait faire ressortir ses tâches de rousseur ou non, parce qu’un garçon mignon lui avait dit qu’elles étaient jolies lors d’une colonie de vacances, ces paroles avaient drôlement plus de valeur quand elles ne provenaient pas que de sa famille. L’adolescente s’observa dans son miroir avant de quitter sa chambre, qu’il était bon de commencer à s’accepter, elle n’allait peut-être plus embêter sa mère pour se teindre en blonde, finalement. Chelsea fut attirée par la délicieuse odeur se dégageant de la cuisine, sa mère avait préparé du chocolat chaud et avait ramené des pâtisseries, ce qu’elle faisait rarement, il s’agissait d’une bonne preuve qu’elle avait quelque chose à célébrer. Commencer cette nouvelle journée sur une note sucrée n’était pas pour lui déplaire, elle savoura sa boisson chaude et se prépara pour être à l’heure en cours. Elle fut déposée à plusieurs mètres de son école comme à chaque fois, parce qu’elle n’aimait pas paraître pour une file à maman. Elle marcha lentement en direction de la bâtisse scolaire et s’arrêta soudainement, quand elle sentit tous les regards d’un même groupe se braquer sur elle. Chelsea percevait déjà leurs rires, mais elle ne s’attendait pas à ce que l’une des écolières ne s’approche d’elle. « Quitte à te concevoir dans un laboratoire, ta mère aurait pu faire l’effort de supprimer les gênes responsables de ta couleur de cheveux tu n’as vraiment pas de chance. » Les sourcils de la rousse se froncèrent, comment pouvaient-elle être au courant ? Elle réfléchit l’espace de quelques secondes et comprit que la seule camarade de classe en détention de son secret, avait dû le dévoiler. « Bouge. » Qu’elle lui ordonna sans plus attendre, avant de lui rentrer dedans pour se frayer un chemin plus rapidement. Elle avait reconnu une silhouette féminine près de l’entrée, qui n’était nulle autre que celle de Addison Bruckner, la traîtresse. Chelsea posa une main sur son épaule pour l’interpeller, une fois que celle-ci lui fit face, la main de la Canavagh partit à toute vitesse à la rencontre de sa joue. La claque avait retenti, tout le monde s’était mit à les regarder. Le premier acte de violence de Chelsea avait eu un trop grand nombre de témoins pour qu’il n’échappe à la vigilance d’un professeur, qui lui somma immédiatement de la suivre. Elle n’avait pas d’autre choix que d’obtempérer, elle accepta donc de se retrouver entre les quatre murs du bureau du directeur, qui réussit à avoir sa mère dès le premier appel shit. 
 
Une demi-heure, ils avaient passé trente longues minutes à lui faire la morale, à excuser le comportement de cette petite peste. Chelsea avait récolté deux jours d’exclusion, une sanction sévère pour une élève modèle, qui avait pour but de marquer les esprits. Elle fut ramenée dans sa maison, dont la porte claqua violemment une fois que sa mère rentra après elle. « Qu’est-ce qui a pu te passer par la tête, Chelsea ? » La question était elle vraiment sérieuse ? Comment pouvait elle faire pour passer à côté de l’évidence ? Elle ne l’acceptait peut-être tout simplement pas. « Tout le monde va être au courant maintenant, j’ai le droit d’être en colère. » Qu’elle répliqua, convaincue d’avoir une suffisamment bonne raison de s’être emportée. « Et alors ?! » Brianna ne se souciait pas des messes basses de ses voisins, elle ne se préoccupait plus de ce que l’on pensait de son célibat depuis bien longtemps. « Peut-être que c’est une bonne chose, peut-être que les rumeurs vont cesser comme ça. » Chelsea lui rit au nez, elle pensait au contraire que cela n’allait que les amplifier, en plus de la faire considérer encore plus comme une anomalie. « Elles ne s’arrêteront pas, elles ne s’arrêteront jamais. » Le pessimisme n’était pas quelque chose que sa mère supportait, elle avait essayé de lui inculquer qu’il y avait toujours de l’espoir, même dans les moments les plus sombres, mais elle avait échoué. « Et puis pourquoi tu n’as pas fait comme tout le monde hein ? Tu ne pouvais pas te trouver un homme ? » Ce discours, Brianna l’avait beaucoup trop entendu et ne pensait pas que sa fille le prononcerait à son âge. « Ce n’est pas si simple que cela Chelsea, l’amour ne se trouve pas en claquant des doigts, tu le sauras quand tu seras plus grande, pour le moment tu ne connais rien à la vie. » Le visage de la jeune Cavanagh rougit, venait-elle d’invalider toutes les peines qu’elle avait traversées ? Des contrariétés qu’elle avait principalement connues à cause de cette absence de père ? « Tu t’en fiches de moi en fait. » La chercheuse en laboratoire fut attristée de l’entendre, elle voyait que sa fille le pensait réellement. « Ce n’est pas vrai. » Chelsea devint tremblotante. « Si tu t’en fiches de moi et de mon bonheur, tu ne penses qu’à toi, qu’à toi et à ton travail. Tu n’as même pas vu comment j’ai pu être malheureuse à l’école. » La rouquine secoua sa tête. « Et pire encore tu ne passes pas assez de temps avec papi, alors tu le rends malheureux aussi alors qu’il pourrait partir du jour au lendemain. » Raghnall essayait toujours de lui faire oublier cette vérité, de vanter que le génie de Brianna pourrait le sauver, mais elle n’était pas dupe, ses chances de survies étaient minces. « Tu dépasses les bornes Chelsea. Tu es en bonne santé, tu as un toit sur la tête, je ne refuse jamais de t’offrir les cadeaux que tu veux et tu trouves le moyen d’être aussi ingrate ? » Brianna s’était efforcée de ne pas la gifler, pour ne pas reproduire ce qu’elle lui avait reproché plus tôt, elle posa sa main sur son front. Elle devait la congédier avant de commettre l’irréparable, elle le savait bien.  « File dans ta chambre. » Chelsea s’approcha de l’escalier dans le but de lui obéir, mais elle ne comptait pas la quitter en lui laissant le dernier mot. « JE TE DÉTESTE. » Elle monta à toute vitesse les marches avant de s’enfermer bruyamment dans sa prison.

Ecstatic Ruby (elle)
prénom : Ruby. âge : 30 balais. pays : France. fréquence de connexion : Régulière. comment as-tu découvert Get Together ? Par le saint esprit type de personnage : Inventé. multicomptes : Halston Hagreeves (ft Felicity Jones). crédits : Moi-même un petit mot pour terminer ? La star débarque