(confidence is being okay being bad, not being okay being good.)

prénom(s) : Giselle, prénom qui est le sien mais dont elle ne fait quasiment jamais usage, se présentant invariablement comme étant Gigi. nom de famille : Meadows. Nom retrouvé des suites de son divorce mais auquel elle n'avait jamais entièrement renoncé. Cela fait partie intégrante de son identité, quand bien même elle fait figure d'ovni également au sein de sa famille. âge : trente-deux ans. Une trentenaire dynamique qu'on murmure encore bien loin de l'âge de raison. origines & lieu de naissance : on peut remonter d'une, deux, trois générations (et plus encore), on ne trouve rien d'autres dans ses veines que l'Angleterre. Fille de Bristol, elle y a vu le jour et continue à y couler ses années, ses mois, ses semaines, tout en saisissant chaque occasion présentée à elle de s’envoler vers une autre destination. statut civil ou amoureux : Divorcée, mère d'un petit Lucas âgé de deux ans. Un mariage dont elle porte l'échec. Elle n'était pas faite pour ça. emploi ou études : Elle n'a jamais été scolaire. Trop peu sérieuse, trop volcanique. Elle était même franchement mauvaise, enchaînant les remontrances de la part du corps enseignant. Ses pensées filaient irrévocablement, l’emportant bien au-delà des murs ennuyeux des salles de classe. Gigi est une artiste. Son talent réside dans ses mains habiles et dans son imagination débordante. Pleine d’élan, solaire et enthousiaste, elle fourmille d'idées et jouit du talent suffisant pour leur donner vie. Quand elle se lance dans un nouveau projet, elle peut s'enfermer des heures dans son atelier sans faire la moindre pause. C'est dans ses oeuvres et tout le processus créatif qui les entourent que réside son vrai grand amour. orientation sexuelle : hétérosexuelle, préférence assumée pour la gente masculine quand bien même il lui est arrivé de tenter des choses avec des femmes étant plus jeune, à titre d'expérience. aspiration choisie : if I can dream (créativité et liberté). faceclaim : Olivia Cooke.

Ton personnage a choisi une aspiration, autrement dit un souhait à long terme ou un but à poursuivre : que peux-tu nous dire sur ce qui l'anime ? Pourquoi cette aspiration et pas une autre, en quoi iel se retrouve dans celle-ci et en quoi cela influe aujourd'hui sur sa vie ?

Au risque de tout foutre en l’air, au risque de finir isolée et malheureuse comme la pluie, Gigi s’accroche à sa liberté. Elle ruine les choses, elle ruine les gens, mais avant ça, elle irradie et les arrose de sa lumière. Feu follet, enthousiaste et délurée, elle s’enflamme, elle brûle, elle chatoie. Elle court après le bonheur, elle court tout le temps. Soit à droite, soit à gauche, mais toujours en mouvement. Elle a soif de plein de choses sans pouvoir toutes les nommer précisément. Le monde est trop grand et Gigi s’étend dans tous les sens. Elle n’a pas envie d’être retenue. Quand bien même il le faudrait, quand bien même quelqu’un voudrait s’y essayer, elle est trop bornée pour ça, ne se laisse pas enfermer. Énergique, presque animale quand elle se met en pétard, c’est le chaos à l’intérieur, ça se consume. Tantôt très drôle, tantôt très conne. Pleine de couleurs quoi qu’il en soit. On aime, ou bien on aime vraiment pas.

infos en vrac

[1] Fille de libraire, elle n’en a jamais possédé le profil. Reprendre le commerce familial, c’était la vocation de sa sœur. Vilain petit canard, c’est ce qu’elle a toujours été, Gigi, dans sa famille. Elle n’a jamais aimé lire, l'ennui la gagnant fatalement au bout de deux pages. Elle n’a jamais apprécié le silence non plus, lui préférant l’animation. Elle a toujours eut la bougeotte et a toujours dérangé tout le monde se faisant, causant trop de bazar. Trop différente de sa mère et de sa sœur, toutes deux quasiment le reflet l’une de l’autre, elle s’est toujours mieux entendue avec son père. Non pas qu’elle se retrouve davantage en lui. Comme sa femme et sa fille aînée, Andrew Meadows est un homme discret, réservé, mais il n’a jamais donné l’impression à Gigi de dépareiller, de constituer une source de problème. Ma petite boule de feu. Il l’appelle ainsi depuis l’enfance et ça n’a jamais sonné comme une critique dans sa bouche. Au contraire, en fait. Il a été son soutien dès le tout début, leurs conflits étant rares là où ceux opposant Gigi à sa mère et/ou sa sœur ont toujours été légion. [2] A l’école, elle était populaire. La gamine que tout le monde s’arrache. Volubile, fougueuse, intéressante. Les autres gravitaient autour d’elle, voulaient faire partie de sa bande, une bande qui n’en finissait plus de s’élargir. Et si ses camarades adhéraient à sa personnalité, le corps enseignant était loin de partager leur enthousiasme. Ils l’auraient voulu plus comme sa sœur. Plus sage, plus travailleuse, plus disciplinée. Ils ne sont jamais parvenus à instiller ça en elle, à lui donner envie de marcher dans les pas de son aînée. Si ses propres parents ne parvenaient pas à ce résultat, ce n’était pas une poignée de professeurs qui allaient faire des miracles. Elle a enchaîné tout du long de sa scolarité les notes au mieux passable et les sanctions. Pour autant, elle ne rechignait pas à se rendre à l’école. Elle y allait pour retrouver ses amis, pour être témoin de l’adhésion et l’approbation de ses camarades. Elle adorait ça et ce sentiment ne s’est pas évanoui à l’entrée au collège, puis au lycée. Elle a perdu quelques amies, s’en est fait de moins en moins, préférant les garçons aux filles. Moins prise de tête, moins langues de vipère. Elle était plus à sa place parmi eux, testant des limites, floutant volontiers les lignes entre l’amitié et le tout autre chose. [3] A défaut de partager l’amour des livres qui se transmet de générations en générations dans sa famille, son truc à elle c’est l’art. Elle touche à tout dans ce domaine, s’essaie volontiers depuis l’enfance à tous les moyens de s’exprimer dont elle dispose par ce biais. Très habile de ses mains, elle excelle dans l’art de donner forme, vie, à ses idées et a toujours été du genre à aller de projets en projets, ne s’accordant pas de répit en ce sens. Elle peint, elle dessine, elle sculpte, elle photographie (entre autres) et même si elle ne pratique plus quotidiennement, elle a aussi fait des années durant de la danse et du théâtre. Une façon de maîtriser la flamme qui brûle en elle et d’en faire quelque chose de beau, de productif, quelque chose qui ne puisse être sali, moqué, ou critiqué. L’art est universel et elle adore l’idée de produire quelque chose qui puisse faire naître une émotion en quelqu’un, que l’émotion en question soit positive, négative, ou plus contrastée. L’important c’est de ressentir, de ne pas se heurter à de l’indifférence. Ses œuvres sont tantôt saturées de couleurs, tantôt remplies d’ombres. Quoiqu’il en soit et peu importe la tournure prise par ses créations, sa touche est impactante et reconnaissable par quiconque s’y connaît et/ou y porte un minimum d’intérêt. [4] Elle ne s’est jamais pensée taillée pour l’amour, celui avec un grand A, qu’on trouve dans ces fameux romans qu’elle n’a pas lu et qui encombrait les étagères de sa grande sœur. Elle connaît l’attirance, la séduction. Elle sait plaire, elle est déterminée et excelle dans l’art d’obtenir ce qu’elle veut, mais elle ne s’est jamais imaginé vouloir plus que des histoires de passage, de brèves errances ne menaçant à aucun moment sa liberté. Des années durant, elle s’est rassasiée de relations volages. Depuis le lycée, les autres filles murmuraient dans son dos, mauvaises, la traitant de fille facile, au mieux, l’arrosant d’insultes et autres grossièretés au pire. Ce genre de choses, Gigi s’est toujours efforcé de montrer que ça lui passait au-dessus de la tête. Ça n’a jamais été vraiment le cas, mais c’est une bonne menteuse et elle a la tête dure. Si elle ne veut pas vous montrer qu’elle a mal, alors vous ne vous en apercevrez pas. Ça lui convenait d’être la fille légère, libre, qui butine. Elle se destinait à rien d’autre avant de faire la connaissance de Reed. [5] Reed ne pourrait que difficilement être plus mal assorti à Gigi. Il ne ressemble pas aux autres gars qu’elle a connus avant lui, à ceux qui atterrissaient avant lui dans son lit. C’est peut-être pour ça qu’il lui a plu. Il a surgit un peu de nulle part. Elle n’avait pas prévu qu’il réveille ça en elle, qu’il l’amène à envisager de se poser, ou du moins d’essayer. Peut-être qu’elle avait envie d’une aventure d’un autre genre, d’une expérience. Peut-être qu’elle aurait dû se donner la peine de plus y réfléchir. Ça n’a jamais été sa spécialité, toutefois, d’attribuer beaucoup de temps à la réflexion avant de faire le grand plongeon. Dans le cas de Reed elle aurait dû se montrer plus avisée. Elle aurait dû écouter sa soeur (qu’elle n’a jamais écouté sur aucun sujet) quand cette dernière, choquée après sa rencontre avec Reed, lui a annoncé de but en blanc qu’elle ne pouvait pas être avec un homme comme lui. Qu’elle allait le briser. Qu’il ne méritait pas ça et que Gigi, elle, ne le méritait pas. De bien dures paroles qui ont été fatalement suivies d’une embrouille entre sœurs. Elle s’est sentie piquée, Gigi, ce jour-là. Sa sœur avait touché un point sensible. Bien sûr qu’elle ne méritait pas Reed. Bien sûr qu’il était destiné à quelqu’un d’autre, quelqu’un qui soit davantage comme lui, qui ne lui fasse jamais de mal. Non pas qu’elle ait anticipé la douleur qu’elle allait lui causer. Elle n’a pas ça en elle. Blesser pour blesser. Mais elle n’a pas en elle non plus de reculer quand elle le devrait. La vérité c’est qu’elle aimait être aimée de Reed. Et elle l’aimait aussi. Et un peu plus d’un an après leur divorce, elle aime le fait qu’il lui trouve encore des excuses, même si elle n’en a aucune pour ce qu’elle lui a fait subir, pour ce qu’elle leur impose encore, à lui et à leur fils. Et elle aime toujours que Reed l'ait choisi elle, qu’il ait vu quelque chose en elle, même si ça n’en valait pas la peine.  [6] Devenir maman, ce n’était pas prévu. Elle n’y avait jamais songé que brièvement. Mais rétrospectivement, si elle devait porter un enfant un jour, ça aurait été celui de Reed, forcément. La grossesse s’est passée sans encombre. Reed était aux petits soins pour elle et elle poursuivait ses projets, continuant à s’enfermer des heures durant dans son atelier, alors que son ventre s’arrondissait. Peu à peu l’idée s’est inscrite en elle. Un être humain grandissait en elle. Une petite personne bien réelle, munie (avec un peu de chance) de dix petits doigts et dix petits orteils. Un petit garçon qu’elle allait rencontrer un jour, qui l’appellerait maman, qui ferait à jamais partie de sa vie, qui deviendrait plus tard un homme. Un enfant qui porterait en lui un peu d’elle et un peu de Reed. Avant même que Lucas vienne au monde, elle y songeait. Elle espérait fort, très fort, que son fils tienne plus de son père. Elle avait hâte de voir son visage, d’y entrevoir peut-être des bouts du sien, mais pour ce qui était du caractère, de tout ce qui fait vraiment d’une personne ce qu’elle est, elle voulait que son fils soit un mini Reed. Qu’il ait toutes ses qualités à lui, qu’il n’ait pas ses défauts, ses tares à elle. Elle le souhaite toujours, maintenant qu’il est là ce petit bonhomme, qu’il est bien réel, bien entier sous ses yeux. [7] Gigi n’est pas une bonne personne. C’est ce que la petite voix dans sa tête répète à longueur de journée. Elle n’est pas monstrueuse, elle n’est pas une fichue sorcière de conte de fées, arrachée à un livre et envoyée dans le monde des humains pour y semer l’horreur et le chaos. Gigi n’est pas cruelle, mais Gigi n’est pas quelqu’un de bien. Une bonne personne n’aurait pas fait ce qu’elle a fait. Une bonne personne n’aurait pas éprouvé ce sentiment de mal-être après avoir mis au monde un petit garçon parfaitement parfait. Une bonne personne n’aurait pas fait éclater son mariage de la plus cruelle des manières. Qu’importe qu’elle ait « libéré » Reed par ce biais. C’est une excuse merdique. Qu’importe que ses insécurités l’ait amenée à croire qu’elle n’avait pas en elle d’être une bonne femme, ou d’être une bonne maman. Il n’y a que Reed, vraiment, pour lui trouver des circonstances atténuantes, et même lui ne doit pas vraiment y croire. La vérité c’est que Gigi se choisit toujours. Gigi demeure cette fille qui file avec le vent, même quand un petit garçon l’attend, attend sa maman. Elle n’est pas digne de confiance et elle ne mérite pas la moitié de ce qu’elle a. Elle est mieux dans son monde artistique car ses projets n’exigent rien d’elle, rien, du moins, qu’elle ne se sente pas pleinement capable de donner. [8] Elle est toujours entourée, même si elle ne le mérite pas. Elle voit toujours son petit garçon alors même qu’elle n’en finit pas de partir, de le laisser, pour mieux revenir, incertaine, coincée dans un entre-deux. Elle a oublié de grandir, de prendre du plomb dans la tête. Elle ne voit plus sa sœur, car plus que jamais elles sont presque incapables d’entamer une discussion sans se sauter à la gorge. Avec sa mère ce n’est pas mieux et même son père, son pilier, son soutien, semble ne savoir que dire ou faire quand elle est devant lui. Ça fait mal, mais elle accueille cette douleur. Elle la mérite. Elle mériterait plus de peine. Elle mériterait la colère de Reed et des larmes meurtrières roulant sur les joues de son fils quand il pose ses grands yeux sur elle. Ça viendra. Il grandira et il saura qu’il a été enfanté par une égoïste. Et faite qu’il soit comme Reed. Facile à aimer. Non pas que ce soit un problème pour elle. Elle est facile à aimer, Gigi, même si elle est aussi facile à détester. Ce qu’elle souhaite à son fils c’est d’être capable de recevoir de l’amour et de le rendre de la plus pure des façons. Qu’il soit meilleur qu’elle. Non qu’il puisse être franchement pire. [9] Assurance venteuse. Elle est toute en énergie, Gigi. Elle prend de la place, elle domine toutes les conversations auxquelles elle prend part. Brûlante, vivante, intimidante aussi, mais toujours intéressante. Elle donne l’impression d’avoir le monde à ses pieds, de savoir précisément où elle va et où elle veut aller. Ses proches ne sont pas dupes, surtout les gens qu’elle a déçu, qui se sont vus offrir le privilège de lire en travers des lignes. Le truc avec Gigi c’est qu'elle n'a jamais eu le sentiment d’être vraiment à sa place. Alors qu’elle fait de grands pas, se tient bien droite et regarde toutes les personnes qu’elle croise dans les yeux, dans le fond c’est aussi une carapace. Comme une pancarte juchée en permanence au-dessus de sa tête annonçant qu’elle est là, qu’elle ne va nulle part, qu’il faut composer avec elle. Et c’est vrai qu’on a pas d’autres choix que de faire avec, elle compris. Elle est piégée en elle-même. Elle sait qu’elle a du travail à faire sur elle. Elle sait qu’elle doit le faire. Elle a peur de l’avenir. Elle a peur qu’un jour ça ne s'arrête. Que la carapace se fissure, se lézardant jusqu’à la laisser à nue, incertaine, difficile, insupportable. La solitude l’effraie. C’est pour ça qu’elle s’accroche égoïstement à Reed et à leur fils en revenant toujours, même si elle n’en finit pas de merder. Si elle était vraiment juste envers eux, elle partirait. Ça, ce serait un vrai cadeau. Lucas est petit. Trop petit encore pour garder de vrais souvenirs d’elle. Et Reed ne peut qu’être aimé. Il y aura toujours quelqu'un pour tomber raide dingue de lui. Elle a toute confiance en lui pour élever leur fils, seul ou accompagné d'une autre. Il y arriverait sans elle. Il y arrive déjà. Alors elle devrait les laisser, tous les deux, pour de bon. Elle pourrait s’essayer à l’écriture d’une lettre d’adieu. Elle y songe quand le sommeil se dérobe, quand ses pensées sont trop bruyantes pour lui accorder le repos. Mais elle a peur. Elle a peur des regrets qui couvent déjà sous la surface alors qu'elle n'est même pas vraiment partie, pas définitivement. Elle a peur de regarder un jour en arrière et de se rendre compte qu’il n’y a plus rien ni personne. [9] Rechute récente. Faut croire qu’elle est vraiment l’égoïste qu’elle pense être. Ce n’était pas juste, c’était une erreur. Sur le moment, ça n’en avait pas l’air. C’était bon, vraiment bon. Retrouver l’étreinte de Reed. Mettre son cerveau en pause, se demander à quoi son ex-mari pense puis faire un gros effort pour ne plus penser à rien. Non que ce soit facile. Non que cela fonctionne. L’être humain ne marche pas ainsi, ne peut pas juste laisser sa tête au placard. Elle aimerait bien, Gigi, elle voudrait un interrupteur, non pas que ce soit elle qui en ait le plus besoin. C’est elle le poison, c’est elle le chaos. Une plaie, un cauchemar. Non, elle n’a vraiment rien d’un cadeau.

pour prolonger un peu

elle aime son fils, prendre l’avion, goûter de nouveaux cocktails, essayer de nouvelles choses, les thriller (les films), tout ce qui est improvisé, qui résulte d’une impulsion, les tortues en peluche, le café arrosé d’une énorme rasade de lait, les sandwichs à la dinde, la plage, rencontrer de nouvelles personnes, son atelier.

elle n'aime pas se sentir acculée, les romans, se coucher tôt, les jours de pluie, regarder du sport à la télé, la routine, les asperges, l’informatique, conduire, qu'on essaie de lui dire quoi faire, les délais trop serrés.

elle est amusante, délurée, créative, pétillante, indépendante, égoïste, impulsive, passionnée, sociable, séductrice, espiègle, charismatique, bordélique, perspicace, futée, adroite, chaleureuse, bornée, colérique, au point d’en devenir violente dans les mots utilisés et capable, même d’une certaine cruauté.

en pagaille
Elle adore les chiens, a grandit dans une maison qui a toujours eut son lot de compagnons canins. Elle ne peut pas en prendre aujourd’hui, toutefois. Trop de contraintes et elle ne pense pas qu’à elle au point de prendre un animal sans pouvoir lui accorder toute l’attention qu’il mérite. [//] Elle aime mettre la musique à fond quand elle travaille dans son atelier. Cela l'aide à se concentrer, à écarter de ses pensées tout ce qui n'a pas sa place dans le processus de création. [//] Elle est nulle en informatique. Il suffit qu'elle presse une malheureuse touche pour que ça parte en vrille. Du coup, elle évite. [//] Elle n'est pas particulièrement dépensière ou matérialiste. Le gros de ses économies elle le réserve à ses voyages. Elle n'est pas du genre à faire des journées shopping interminables et ne s'encombre pas de grand chose. [//] C'est une conductrice abominable. Le fait qu'elle ait seulement son permis tiens du miracle, limite. Elle a un peu trop tendance à croire que la route est à elle et forcément parfois, ça pèche. [//] C'est une fêtarde, une bonne vivante qui a plaisir à foncer dans le tas, à aller où ses désirs et ses pulsions la guident. Malgré ça et en dépit son tempérament fonceur et impulsif, elle est étonnement raisonnable dans d'autres aspect de sa vie. Elle n'est entre autre pas du genre à abuser de l'alcool, ce qui n'est pas sans trouver racine dans un traumatisme de son adolescence dont personne n'est au courant, si ce n'est sa soeur.

Lily (elle)
prénom : Lily. âge : vingt-neuf ans. pays : France. fréquence de connexion : cinq jours sur sept. comment as-tu découvert Get Together ? via le top obsession. type de personnage : prélien de @reed donnelly. multicomptes : personne, Gigi sera mon premier bébé ici.    crédits : olliviacooke . tumblr, usergirlfailure . tumblr. un petit mot pour terminer ? des bisous.