-35%
Le deal à ne pas rater :
Philips Hue Kit de démarrage : 3 Ampoules Hue E27 White + Pont de ...
64.99 € 99.99 €
Voir le deal

(harli #01) where are the days of summer

2 participants
Harlan Jeffries
STAFF le père de substitution
Harlan Jeffries


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
43 ans, et la barbe qui grisonne plus vite que les cheveux
Date de naissance  :
19/08/1981
Surnom(s)  :
il n'aime pas cela, et fera la sourde oreille si vous tentez de lui en trouver un
Polaroid :
gif@margotskarsgard
Statut  :
divorcé depuis 10 ans, la suite n'a été que désillusions et actes manqués
Métier  :
professeur de relations internationales et responsable de la filière droit & sciences sociales de l'université de Bristol. C'est également un intervenant régulier de l'émission Question Time, diffusée chaque jeudi sur BBC One
Adresse  :
une maison de Clifton située au #324 Pembroke Road, investie par ses deux chiens et dans laquelle Selim a une chambre rien qu'à lui
Les petits détails  :
rugby enthusiast, entraineur des 8-11 ans d'une équipe locale › une dépression (pas toujours) en sommeil › amateur de plantes vertes & de tapis anciens › musulman converti › un cancer en 2014, deux tentatives de suicide en 2016 › vélo & rando stan › en couple puis marié de 2004 à 2014 › bon niveau de farsi (persan) appris au contact de sa famille de coeur, français déplorable malgré un frère vivant à Paris › prendre un risque d'abord, réfléchir ensuite › troque régulièrement la voiture contre la moto › "ancien" fumeur
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
gaslighting, violences verbales, cancer et fin de vie (ce ne sont pas des no go, mais j'aimerais être consultée en amont)
Warnings  :
dépression & pensées suicidaires, stérilité, abandon parental, workaholism, maladie (cancer), pratique religieuse (islam)
Code couleur rp  :
#CD5C5C (indianred)
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
(2/5, tranquille émile)


(harli #01) where are the days of summer 0c4db0aa3d0f831490f4bc1bb9fea2c1efaea9a6
aliyah 01 › let it go, met it roll right off your shoulder, don't you know ? the hardest part is over, let it in, let your clarity define you, in the end we will only just remember how it feels

(harli #01) where are the days of summer E01683310e8dc302a26e70e068b2d52539843c7c
reed 01 › we drew up a landscape, we climbed down a ladder carved out a memory to follow the pattern, and now on a clear glass wall i can see our faith, you know it's never too late

Sujets terminés  :
(harli #01) where are the days of summer 4021ad1ee0b0124b239792bcb6d9677b6f82bd9d
jeffries › so if no one else believes in you i'm completely yours, and i've got so much faith in you. no matter what this life puts in front of you, you can save this world, i've got so much faith in you

(harli #01) where are the days of summer Tumblr_oln4l8lU8F1sl1n5fo5_400
joarlan › i hope you still feel small when you stand beside the ocean, whenever one door closes i hope one more opens, promise me that you'll give faith a fighting chance, and if you get the chance to sing it out and dance, i hope you dance

Messages  :
146
Pounds  :
400
Date d'inscription  :
25/08/2024
Disponibilité rp  :
disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
500-1500 mots de moyenne, troisième personne, français & anglais, je réponds majoritairement dans l'ordre chronologique sauf besoin exceptionnel, je suis ouverte aux flashbacks et aux univers alternatifs mais ces derniers ne seront pas une priorité dans mon ordre de réponse.
Genre irl  :
Féminin
Faceclaim  :
Dominic Cooper
Multicomptes  :
Anwar, le bébé lion
Crédits  :
avatar @xaloa / sign @pando / userbar @ladyfame / aliyah @katesgifsrp, reed @sappheire, jeffires @martykirkby, joarlan @narcissamacaulays
IRL

https://gettogether.forumactif.com/t162-harlan-don-t-be-too-hard-on-my-emotionshttps://gettogether.forumactif.com/t359-harlan-restless-heart-syndromehttps://gettogether.forumactif.com/t269-harlan-jeffries-instagram-personnel

where are the days of summer
Remember a time when the summer'd never end, the whole world was waiting for me and my best friend. We'd sneak out, 'n mess around, made up silly tunes, we sat by the bonfire staring at the moon. Where are the days of summer ? On top of the world unstoppable, where are the days of wonders ? When nothing's impossible. ★★
gifs @katesgifsrp & @harleystuff


09/2024 avon community farm (environs)

La rentrée des classes avait été pluvieuse, faisant mentir la phrase avec laquelle la ville de Bristol se vendait aux touristes comme “l’une des villes les plus ensoleillée du Royaume-Uni” ; c’était du moins ce que prétendait sa page wikipedia, et wikipedia ne mentait jamais (ou si peu). En ce samedi matin de début septembre, c’était un soleil timide que la valse des nuages cachait par intermittence, laissant planer le doute quant à s’il fallait plutôt chausser les bottes de pluie ou prévoir les lunettes de soleil. Les plus malins savaient pour leur part qu’il fallait toujours avoir les deux dans le coffre de sa voiture, car rien n’était plus capricieux qu’une journée de mi-saison dans le comté d’Avon. Et de fait, un certain nombre de malins s’étaient donnés rendez-vous à la ferme communautaire pour remplir leur bac à légumes de façon ludique, les lunettes de soleil alternant d’un visiteur à l’autre entre le bout du nez et le sommet du front, tandis qu’une majorité avaient opté pour les bottes en caoutchouc permettant de déambuler entre les rangées de salades et de carottes sans se soucier des flaques de boue. Et à ce sujet …

« BOUM ! »
« T’as triché, on avait dit à trois ! »
« Un, deux … »« Trois ! »

De concert, les deux enfants avaient écrasé leurs bottes dans la prochaine flaque de gadoue à se présenter sur leur chemin, et si pendant un instant arracher eux-mêmes les bottes de radis de la terre avait semblé les divertir, jouer à celui dont les vêtements seraient les plus sales à la fin de l’excursion semblait désormais bien plus palpitant. Leurs paniers garnis de légumes à la main, les deux adultes qui suivaient ne pouvaient quant à eux que songer de façon bien plus terre à terre à la lessive qui suivrait, et même à la manière dont ils allaient empêcher que la banquette de la voiture elle aussi ne se retrouve couverte de terre lorsqu’il faudrait y grimper pour repartir … Encore que, depuis qu’il possédait deux gros chiens, Harlan avait cessé de courir après l’illusion qu’il pourrait garder sa voiture propre. « Y’a des moments où avoir le rôle de l’adulte raisonnable, c’est pas fun. Genre … Là. Parce que je vais être honnête, une partie de moi irait bien sauter dans les flaques avec eux. » Mais qui alors s’assurerait que ses courgettes et ses artichauts ne finiraient pas réduits en bouillie au fond de son panier ? « Mais ça doit être un truc de rugbyman, aimer finir couvert de boue. » s’en était-il finalement amusé, à demi-persuadé cependant que cela puisse constituer une excuse une fois dépassé l’âge de raison.

Il avait fallu à Harlan plus de courage qu’il ne l’aurait imaginé pour oser proposer à Aliyah qu’elle et sa fille se joignent à la désormais habituelle sortie bi-mensuelle à la ferme communautaire, Selim jamais aussi enclin à manger des légumes que lorsqu’il était allé les récolter lui-même. La proposition avait été faite en tout bien tout honneur, qu’on se le dise, et malgré tout cela n’avait pas empêché Harlan d’ordinaire si à l’aise de retourner la proposition mille fois dans sa tête avant que ne vienne le moment de la formuler à voix-haute, le lundi alors qu’ils attendaient leurs garnements respectifs à la sortie de leur premier jour de classe. Et comme souvent (toujours) avec l’universitaire, les hésitations ne duraient que le temps d’être mis devant le fait accompli, après quoi il redevenait lui-même : souriant, et naturellement à l’aise avec les autres. « J’ai cru comprendre que vous aviez pris un chat ? » avait-il finalement repris, son regard quittant un instant les enfants pour aller se poser sur Aliyah. « C’est chouette. Ça égaye une maison, un animal. » Peut-être avait-il entendu Lola en parler un peu plus tôt, ou bien était-ce une information qui avait transité entre les enfants pour remonter jusqu’à ses oreilles un soir de la semaine – peu importe. Il avait entendu d’autres choses à vrai dire, mais moins réjouissantes, aussi se gardait-il bien de tout commentaire à ce sujet.

_________________
Oh, if you're hearin' this I must have made it through, Oh, when the clouds above open up through my window I'll see the sky's still blue. ★★


Aliyah Reeves
STAFF le livre des solutions
Aliyah Reeves


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
33 ans
Date de naissance  :
07/04/1991
Surnom(s)  :
Ali
Polaroid :
A venir
Statut  :
Mariée, mais séparée.
Orientation sexuelle :
Hétérosexuelle
Métier  :
Secrétaire au cabinet vétérinaire de Tessa Mulligan
Adresse  :
113 Richmond street, Totterdown ; un petit appartement douillet dans lequel elle élève sa fille avec l'aide régulière de sa cousine.
Les petits détails  :
Violoniste de talent et excellente guitariste › Elle gère avec deux amis un petit orchestre de musique de chambre › Elle chante dans les bars › Rien n'est plus important pour elle que la famille › Altruiste, elle préfère s'occuper des autres au lieu de s'occuper d'elle - elle est amoureuse des animaux pour leur innocence › Elle aime inconditionnellement son prochain. Elle pardonne toujours. › Lire est presque une seconde nature pour elle › Elle a du tempérament derrière son immense douceur.
Pronoms du perso  :
elle
Triggers  :
Suicide - le reste, on peut en discuter.
Warnings  :
Conflits familiaux - mention de drogue - divorce - abandon de foyer - syndrome du sauveur et de l'infirmière
Code couleur rp  :
Chocolate
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
(harli #01) where are the days of summer 9065b3236987bd33d0dbfb853f98cddc7488e067
Alives › Last night I heard the screaming. Loud voices behind the wall. Another sleepness night for me. It won't do no good to call the police. Always come late if they come at all.
(harli #01) where are the days of summer 1b870749150fa5de4ef9b4d3ac5937252101b678
Harli › We started over coffee, we started out as friends. It's funny how from simple things, the best things begin. My favorite line was « Can I call you sometime ? » It's all you had to say.
(harli #01) where are the days of summer 47cad80a06f552ae6724965c078f940999af3ffb
James › Picture yourself on a train in a station with plasticine porters with looking glass ties, suddenly someone is there at the turnstile, the boy with Kaleidoscope eyes.

5+1/5TessaJamesHarlan › Mickey › BowieEli

Messages  :
692
Pounds  :
1280
Date d'inscription  :
25/07/2024
Disponibilité rp  :
disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
Je peux écrire aussi bien à la 3e qu'à la 1e personne qui est de loin ma préférée. Je n'aime ni écrire ni lire un post écrit à la seconde. Je suis plutôt rapide (à moins d'être en présence réduite et, niveau longueur, je m'adapte assez facilement à mon partenaire. Cela étant, au plus on m'en donne, au plus je peux donner. J'essaie néanmoins de me limiter pour ne mettre personne mal à l'aise. Aussi, je te préviens, futur partenaire, je ne t'obligerai jamais à écrire aussi long ou aussi court que moi (selon le cas.).
Genre irl  :
Féminin
Faceclaim  :
Adria Arjona
Multicomptes  :
Terry Mulligan (ATJ)
Crédits  :
raspberry-panda (avatar) + franckeggel (gif profil) + (sign) + Medusa (A. Tesflay) + Beldam (J. Quinn) + Harley (D. Cooper) + Ladyfame (UB-Sign)
IRL

https://gettogether.forumactif.com/t127-aliyah-ecclesiaste-3-1-12#bottom

where are the days of summer
Remember a time when the summer'd never end, the whole world was waiting for me and my best friend. We'd sneak out, 'n mess around, made up silly tunes, we sat by the bonfire staring at the moon. Where are the days of summer ? On top of the world unstoppable, where are the days of wonders ? When nothing's impossible. ★★
gifs @katesgifsrp & @harleystuff


Depuis qu’elle a intégré mon impuissance face au départ de son père, Lola s’éteint. Elle sourit peu, ne dessine plus, s’installe dans le divan à mes côtés au lieu de jouer dans sa chambre ou au salon. En quête d’affection, elle se blottit alors contre moi, le regard vide fixant la télévision sans suivre le programme. Dès lors, ses fous-rires avec Selim tandis qu’ils sautent à pieds joints dans les flaques d’eau boueuses, ils colmatent les fissures de mon cœur. Il menaçait de se briser : cette balade à la ferme est donc tombée à point nommé autant pour elle que pour moi. La compagnie d’Harlan m’est agréable. Il dégage une aura de force et de stabilité qui suggère la solidité du roc, celle qui ne dépend pas de l’inné, mais de l’acquis. Je les reconnais, les victimes du mauvais sort. J’en côtoie beaucoup. Ma mère prétend qu’elles sont happées par ma bienveillance. Moi, je crois que le sort a tant pitié de moi qu’il a posé sur ma route une âme capable de m’aider. ça fait du bien d’ailleurs. C’est rassurant d’être sollicitée par un érudit qui n’oublie jamais de prendre de mes nouvelles avec sincérité. Harlan, il ne me demande pas comment je vais par politesse. Il appuie sa question d’une oeillade chaleureuse qui contraste avec le noir de ses yeux et, moi, trop bête pour profiter de cette occasion d’accoucher de mes tracas, je feins le bonheur. Que répondre de toute façon ? Que ma vie n’est qu’angoisses et sacrifices ?Que deviendrais-je alors ? Une pauvre fille qui aura fait des choix douteux ? Une espèce de ratée immergée jusqu’au cou dans la fange des clichés ? Je n’ai pas envie d’être l’objet de sa compassion. Pas envie non plus d’hésiter lorsqu'il m’adresse un message ou une invitation qui ravirait la mère et l’enfant. N’ai-je pas grand besoin d’une oreille attentive à mes côtés quoique j’en fasse peu de cas. Je me tais par prudence, c’est vrai, mais savoir qu’il serait prêt à m’écouter si j’étais plus franche, c’est énorme pour moi. C’est presque surprenant finalement. Me pencherais-je sur une explication cohérente pour justifier mes silences que j’admettrais qu’il me plaît, beaucoup. Je concèderais au déni quelques jours de congé. Au lieu de ça, j’entretiens des conversation érigées sur l’autel du spontané.  ”Bah, rien nous oblige à être raisonnable, à part eux.” ai-je rétorqué, attendrie par son constat et, peut-être, un rien trop terre-à-terre. ”Je ne sais pas toi, mais je deviens vite une “has been” à ses yeux quand j’essaie de nourrir notre complicité de cette façon-là.” Autrement dit, et le cas échéant, si je barbotais dans la même mare. ”Paraît que c’est plus de mon âge. Tu situes ?” ai-je ricané, amusée par un souvenir et par l’aveu. ”Mais, ça me démange aussi. Et je n’ai jamais fait de rugby. De la danse classique quand j’étais enfant. Mais, c’est pas vraiment la même ambiance. Tu en as fait longtemps ?” J’ai jeté un coup d’oeil dans sa direction quand le sien ne quitte pas les mômes. Dieu ce qu’elle est touchante sa vigilance et je baisse la garde. ”Tu tiens l’info de Selim, je suppose.” Et, le gamin, de Lola, assurément. ”En réalité, on me l’a confié. Son père. Il lui a offert en cadeau et…” J’ai soupiré, désarçonnée par mon émotion et par l’indélicatesse d’un mensonge si je m’y risquais. ”Et ça lui fait du bien qu’il soit avec nous. Je présume que tu sais aussi qu’elle n’a plus de nouvelles de son père.” A quoi bon cultiver des secrets de polichinelle ? ”Et moi non plus d’ailleurs et c’est pesant au quotidien. Je ne sais pas où il est, ce qu’il fait et je ne sais plus quoi lui répondre.” J’ai soulevé les épaules et tenté un sourire, mais il est trop emprunté pour que mes traits rayonnent. ”Ta proposition est tombée à pic, du coup. Elle était contente de passer du temps avec Selim. Elle a besoin de se changer les idées et je ne sais plus quoi inventer. Merci, Harlan.” ai-je confessé, une main délicate posée sur son avant-bras quelques secondes durant.

_________________

Je suis optimiste !
"Je suis optimiste parce que je trouve le monde féroce, injuste, indifférent. Je suis optimiste parce que j’estime la vie trop courte, limitée, douloureuse. Je suis optimiste parce que je remarque que tout équilibre est fragile, provisoire. Je suis optimiste parce que je ne crois pas au progrès. Je suis optimiste parce que je crains que le pire n’arrive et que je ferai tout pour l’éviter. Je suis optimiste parce que c’est la seule proposition intelligente que l’absurde m’inspire. Je suis optimiste parce que c’est l’unique action cohérente que le désespoir me souffle.”E.E.S
Pics by (c) ... & (c) ...


(harli #01) where are the days of summer TDY28qkq_o(harli #01) where are the days of summer S5VHcUxI_o
(harli #01) where are the days of summer XYzXTEOi_o
(harli #01) where are the days of summer HHmHNblq_o
(harli #01) where are the days of summer 7byQgcfR_o
(harli #01) where are the days of summer 1LQJueKC_o