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Zoya Lewis
les liaisons dangereuses
Zoya Lewis


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
32 étés, elle est née le 20 août 1992
Date de naissance  :
20/08/1992
Surnom(s)  :
Zo', Zozo, Lewis
Polaroid :
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Statut  :
Célibataire, c'est seule qu'elle élève sa fille et c'est peut-être mieux ainsi.
Orientation sexuelle :
Bisexuelle
Métier  :
Photographe à son compte, elle a signé depuis septembre 2022 un contrat avec la maison Weatherton, devenant une des photographes officielles.
Adresse  :
#64 corn street, Old City
Les petits détails  :
Originaire de Bristol ♡ A trois frères ♡ Passionnée par la photographie mais aussi la peinture et la cuisine ♡ Les voyages sont sa raison d'être ♡ A 25 ans, on lui annonce qu'elle ne pourra pas avoir d'enfants ♡ A 28 ans, elle tombe enceinte après une histoire d'un soir ♡ Sa fille nait en février 2021, Chloe, qu'elle élève seule (par choix) ♡ Vous ne trouverez jamais un caractère aussi sain que celui de Zoya (uhm).
Pronoms du perso  :
elle
Warnings  :
abandon d'enfant; tentative de suicide; décès; stérilité; addiction
Code couleur rp  :
Elle est - toujours- aussi chiante en #cc6699
Liens & sujets  :
Les rps en coursBirdieCalebBowieDexterTerry.

incoming... Cameron - Mickey.

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LEWIS ♡ The family. We are a strange little band of characters trudging through life sharing diseases and toothpaste, coveting one another’s desserts, hiding shampoo, borrowing money, locking each other out of our rooms and trying to figure out the common thread that bound us all together.

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CALEBOYA ♡ if you ever find yourself stuck in the middle of the sea, i'll sail the world to find you, if you ever find yourself lost in the dark and you can't see, i'll be the light to guide you.♡ 4

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LEEVES ♡ Even though you break my heart, i know what we are, our love's too young, even though you break my heart, my love, i'ma need you. Show me your broken heart and all your scars, i'll take you as you are, show me your broken parts to know your flaws, i'll take you as you are.

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BIRDOYA ♡ we laugh at the dumbest jokes, put up with each others worst moods, go along with the craziest ideas , that's what make us the most amazing friends. ♡ 16

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TERRY

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Je rp à la troisième personne et au présent et je fais entre 400 et 1000 mots (voire plus, car ça m'arrive - souvent - de glisser). Je fais en sorte de répondre dans l'ordre de mes réponses mais il m'arrive de déroger à cette règle, surtout quand je veux faire avancer ma chrono en priorité (mais j'en abuse pas)
Genre irl  :
Féminin
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Phoebe Tonkin
Crédits  :
@showmeyouricon (avatar); @nairobi (gif profil)
IRL



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@caleb anderson ☆ Zoya Lewis
gifs by (c) thaywrites et (c)butterflyressources


2017
Appartement de Zoya

tw : dépression, mention de tentative de suicide


Elle n’oubliera jamais l’image de son corps inerte au sol. Elle n’oubliera jamais cette image comme elle n’oubliera jamais le sentiment qui l’a envahi en découvrant le corps presque sans vie de son cousin. En y repensant, son palpitant s’accélère et c’est une grande inspiration qu’elle doit prendre pour retrouver contenance. Cette histoire est désormais derrière lui. Caleb va mieux, il a eu le temps de guérir et aujourd’hui est un grand jour, son cousin sortant enfin de l’hôpital pour reprendre le cours de sa vie. C’est ce à quoi elle s’accroche, c’est ce qu’elle se dit, occultant le fait que tout n’est pas si simple. mais elle veut y croire, parce qu’elle est déterminée à l’aider à surmonter cette mauvaise passe et c’est pour cette raison qu’elle a tout mis en œuvre pour l’accueillir convenablement chez elle. Parce qu’elle refuse de le laisser seul, au moins les premiers jours de sa sortie. Elle lui a demandé, en prenant sur elle pour ne pas le supplier afin de ne pas le brusquer mais sûrement que son regard et son air inquiet ont parlé pour elle alors que Caleb s’est finalement résigné à accepter. Elle sait que ce n’est pas son genre d’accepter qu’on s’occupe de lui - c’est plutôt l’inverse quand on y pense, il est le spécialiste en la matière et ça, Zoya est la mieux passée pour le savoir quand il a toujours répondu présent pour elle. Aujourd’hui, les rôles s’inversent, c’est elle qui va pouvoir veiller sur lui et voilà d’ailleurs que trois coups résonnent dans l’entrée de son appartement, lui signalant qu’il vient d’arriver.

Zoya se précipite à la porte pour aller lui ouvrir, s’armant de son plus grand sourire pour l’accueillir  “Caleb!” qu’elle s’exclame dès qu’elle voit son minois apparaître. Une certaine émotion la subjugue quand elle ne peut cacher son bonheur de le retrouver là et, attrapant son petit sac qu’il tient dans sa main, elle ajoute “Je t’en prie, entre”. Elle se retient très fort de lui sauter au cou, de le serrer fortement dans ses bras - parce que le but n’est pas de lui rappeler toute l’inquiétude qu’il a pu lui créer après son geste et qu’elle sait aussi qu’il n’est pas friand de ce genre de contact - préférant, à la place, jouer les hôtes irréprochables en l’incitant à la suivre jusqu’à la pièce principale “Je te laisse ma chambre pour ces quelques jours, je veux que tu te sentes comme chez toi et que tu fasses comme si tu y étais” Elle dépose son sac sur le canapé avant de pouvoir le monter dans sa chambre et, sans interrompre et lui laisser la possibilité de réagir “J’ai aussi rempli le frigo et je vais te préparer tous tes plats préférés. Puis je me suis dit que si tu te sentais, on pourrait aussi en profiter pour cuisiner ensemble” C’est après tout sa passion et elle espère qu’il renouera avec celle-ci pour réussir à aller de l’avant “Tu veux boire quelque chose? Tu as faim peut-être?” Ça y est. Elle se tait, un silence s’installe alors qu’elle retrouve enfin le regard de son cousin. Et finalement, les larmes déferlent sur ses joues “Je suis si heureuse de t’avoir ici avec moi, Cal’”. Elle s’était promis de ne pas faillir, c’est définitivement raté.

_________________
but they're watching me, judging me, making me feel so used, can't you see that all i wanna do is get a little wild, get a little high, kiss a hundred boys and not feel like i'm tied to them. if you wanna judge me, then go and load the gun, i've done nothing wrong, i'm young. s. smith + @aeairiel.

Caleb Anderson
le cœur en peluche
Caleb Anderson
le cœur en peluche

En ligne

PERSO
Présence  :
en présence réduite
Âge  :
trente-cinq ans
Date de naissance  :
20/04/1989
Surnom(s)  :
Chef en cuisine, papa par ses enfants et chéri ou bébé par sa femme.
Polaroid :
(Caleboya #4) Welcome back home Cbc55f695af88668cadd4107c5f41fec431213f7
Statut  :
Marié à son premier amour, la femme de sa vie et papa investi de trois enfants qu'il aime plus que tout au monde.
Orientation sexuelle :
N'a d'yeux que pour sa femme
Métier  :
Chef étoilé et patron de l'Interlude restaurant de gastronomie française à Clifton
Adresse  :
Quartier Clifton, une jolie maison située au 569 Hanbury Road
Les petits détails  :
grand romantique › ambitieux perfectionniste et très exigeant avec lui-même › parle couramment le français et a un bon niveau en italien › a passé un huit mois en France, et quatre en Italie › a eu un accident de voiture durant lequel il a perdu sa femme de l'époque, Victoria › s'est battu contre une dépression pendant deux ans › control freak › consulte toujours un psychologue › diagnostiqué avec une tachycardie › grand passionné de lecture › un vrai papa poule, il est capable de tout pour ses enfants et sa femme.
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
ptsd
Warnings  :
troubles anxieux, deuil, mort, dépression, tentative de suicide
Code couleur rp  :
Caleb donne de l'amour et de la tendresse en #879ecd
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
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CALEX - Every now and then, the stars align. Boy and girl meet by the great design, could it be that you and me are the lucky ones ? Everybody told me love was blind then I saw your face and you blew my mind. Finally, you and me are the lucky ones this time.
Calex 103 - Calex 104(fb Juin 2019)

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CALEBOYA - You lose your way, just take my hand. You're lost at sea, then I'll command your boat to me again. Don't look too far, right where you are, that's where I am. I'm your man

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HARSON - I'll shed a tear for you. Open your eyes, I'm by your side, I'm never leaving you. Darkness to light stay through the night.


Nate #1
Caleboya #4 (fb)
Birdie #1 (fb)
HH #9
Joseph #1
Adèle #2
River #1

Préliens attendus  :
Pré-liens libres:
Famille Anderson
L'Interlude

Sujets terminés  :
Calex #102(fb Mai 2019)
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25/08/2024
Disponibilité rp  :
pas disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
nombre de mots : je m'adapte totalement à mon partenaire, mais toujours avec un minimum de 600 mots
style d'écriture : principalement à la deuxième personne du singulier, mais je peux également m'adapter, je sais que ce style ne plait pas à tout le monde.

Genre irl  :
Féminin
Faceclaim  :
Penn Badgley
Crédits  :
(avatar) ecstaticruby (polaroid ) rileykeouhg ; (crackships) edif-crackship ; (ubs) ladyfame ;
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Zoya & Caleb
welcome back home


2017
Appartement de Zoya

tw : dépression, mention de tentative de suicide

Le moment est enfin arrivé, et lorsque les médecins t’ont enfin donné leur accord pour quitter l’hôpital tu as fait au plus vite. Presque un mois et demi passé ici à attendre, tourner en rond, ou encore à essayer de combattre toutes ces idées les plus sombres qui t’envahissent l’esprit. Aujourd’hui, tu peux enfin sortir de l’hôpital mais ça ne veut pas dire pour autant que tu en as terminé et encore moins que tu es complètement guéri. Bien au contraire, tu ne le sais pas encore mais le chemin vers la guérison va être long, Caleb, et je pense qu’il est même tout à fait correct d’avancer une chose : la blessure ne sera jamais entièrement cicatrisée. Perdre sa femme change une personne, une vie toute entière et comme tu le dis souvent il y a une partie de toi qui est décédée avec Victoria. Une partie qu’elle a embarquée avec elle et que tu ne pourras plus jamais récupérer. Ce n’est pas vraiment la dépression qui parle pour toi c’est réel. Tu ne seras plus jamais le même que tu étais il y a six mois de ça. Il y a un peu plus d’un mois tu arrivais ici en n’ayant absolument aucune envie de continuer et de t’en sortir, et aujourd’hui alors que tu remercies l’équipe soignante, tu quittes l’hôpital avec un tout autre état d’esprit. Tu as envie de te battre. Tu as envie de t’en sortir et c’est finalement le principal, non ?

La première chose que tu fais en quittant l’établissement c’est sortir ton ordonnance pour aller chercher tes médicaments, profitant pour t’arrêter et te prendre un paquet de cigarettes sur le chemin. Tu sors de l’hôpital certes, mais tu ne rentres pas chez toi, c’est Zoya qui a insisté pour t’accueillir quelques jours chez elle et si tu n’étais pas franchement emballé par l’idée de base tu lui dois bien ça, non ? Après tout sans elle, tu ne serais plus en vie aujourd’hui alors c’est avec un bouquet de fleurs pour elle que tu toques à sa porte. “Caleb!” tu lui souris doucement et alors qu’elle se saisit de ton sac rempli de tes affaires, tu lui tends le bouquet de fleurs en lui murmurant « Pour toi. » Surtout pour la remercier de t’accueillir chez elle, bien que ce soit plus pour la rassurer qu’autre chose. Si le psychiatre pensait que tu présentais encore le moindre risque de passage à l’acte, il ne t’aurait pas laissé sortir. “Je te laisse ma chambre pour ces quelques jours, je veux que tu te sentes comme chez toi et que tu fasses comme si tu y étais” tes sourcils se froncent légèrement tandis que tu entres dans la pièce principale et avant même que tu puisses protester, Zoya enchaîne “J’ai aussi rempli le frigo et je vais te préparer tous tes plats préférés. Puis je me suis dit que si tu te sentais, on pourrait aussi en profiter pour cuisiner ensemble” Tes yeux brillent presque lorsque tu l’entends mentionner la possibilité que vous cuisiniez ensemble. Tu te tournes vers ta cousine et encore une fois, avant que tu ne puisses dire quoique ce soit “Tu veux boire quelque chose? Tu as faim peut-être?” Tu attends quelques secondes, persuadé qu’elle trouverait autre chose à dire pour combler le silence mais non. Pas cette fois. Mais les larmes que tu vois glisser le long de ses joues brisent ton cœur pourtant déjà bien abîmé. Alors c’est d’abord sans un mot que tu t’approches de ta cousine pour la prendre dans tes bras et c’est assez rare que tu le fasses pour que ce soit souligné. “Je suis si heureuse de t’avoir ici avec moi, Cal” Tu ne lui dis pas que tu vas bien, ça serait un mensonge. Mais en revanche tu peux la rassurer autrement, et cette accolade en est la preuve.  « Ça va aller, ne t’en fais pas pour moi. » que tu lui dis doucement tout en desserrant ton étreinte.  « Par contre ne me laisse pas ton lit, je peux dormir dans le canapé ça sera très bien. » Tu lui assures, bien que tu connaisses assez Zoya pour savoir que tu as peu de chance de parvenir à lui faire changer d’avis.  « Je viens de passer un mois et demi à manger de la nourriture atroce à l’hôpital, tu ne peux pas imaginer à quel point je rêve d’un bon repas. » La nourriture de l’hôpital n’a jamais eu bonne réputation, mais encore moins lorsqu’il s’agit d’un chef cuisinier.  « On peut déjà cuisiner un truc ensemble si tu veux. J’en meurs d’envie. J’ai pas mis les pieds dans une cuisine depuis…longtemps. » Trop longtemps même, et au moins quand tu cuisines ton esprit est occupé et t’empêche de trop penser à Victoria.



© nightgaunt


@Zoya Lewis tears

_________________

What if someone had asked Picasso not to be sad ? Never known who he was or the man he'd become there would be no blue period. Let me run with the wolves, let me do what I'll do, let me show you how sadness can turn into happiness I can turn blue into something beautiful, beautiful like you.


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2017
Appartement de Zoya

tw : dépression, mention de tentative de suicide


C’est impensable pour elle de laisser Caleb seul chez lui après ce qu’il s’est passé. Bien sûr, elle se doute que jamais les médecins ne lui auraient donné l’autorisation de sortir s’il n’était pas apte à vivre seul, mais, après la scène qu’elle ne parviendra sans doute jamais à oublier, Zoya refuse de le savoir seul. Elle sait que l’accueillir chez elle n’est l’histoire que de quelques jours et, au final, ce n’est que repousser un peu plus le moment où il finira par réellement l’être. Mais, d’abord, peut-être a-t-elle tout simplement besoin de le voir de ses propres yeux avant d’accepter de le laisser partir – et même lorsqu’il retournera chez lui, la jeune femme compte bien lui rendre visite le plus de fois que possible. « Pour toi. » Et si elle n’a eu que d’yeux pour son minois et ce sac qu’elle lui prend immédiatement des mains, Zoya n’a pas fait attention à ce bouquet de fleurs qu’il lui tend à présent et dont elle s’empare un peu l’air étonné « Ce n’était pas nécessaire, tu le sais » Parce que, tout ça, elle ne le fait pas pour obtenir une quelconque récompense ou reconnaissance de sa part. Elle le fait parce qu’elle l’aime et qu’il n’est pas seulement son cousin quand elle l’a toujours considéré comme n’importe lequel de ses frères, avec qui les rapports ont toujours été des plus simples. « Merci, Caleb » finit-t-elle par dire après avoir humé le bouquet, celui-ci orné de ses fleurs favorites.

Ce geste de sa part, qui pourrait être vu comme des plus banals, ne l’est pas pour elle dans pareilles circonstances dont sa gorge se noue encore plus. Et pour éviter de lâcher quelques larmes dont il n’a sûrement pas besoin, Zoya vient à s’activer dans la pièce à vivre dans laquelle ils se trouvent désormais, se transformant en un véritable moulin à parole afin de laisser aucune chance à son émotivité de s’exprimer. Du moins, elle essaye, fortement, alors qu’elle propose à Caleb de cuisiner ensemble, qu’elle s’inquiète de savoir s’il a faim ou même soif et que, finalement, elle se résigne à recroiser son regard après qu’elle ait déposé le bouquet dans un vase. Elle craque, laissant ses larmes perler le long de ses joues, elle s’en veut mais ne peut faire semblant quand elle est heureuse de le voir en vie après avoir cru, pendant quelques minutes qui lui ont paru être une éternité, l’avoir perdu. C’est dans ses bras qu’il la prend instantanément, lui qui pourtant n’est pas connu pour être tactile et à l’aise avec le contact physique avec les autres. Elle se laisse toutefois aller au contact, ses mains venant se poser dans son dos alors que le haut de son front vient à se poser sur son épaule. L’étreinte ne dure qu’un court instant et lorsqu’il se recule, elle tente de reprendre le dessus.  « Ça va aller, ne t’en fais pas pour moi. » « Désolé, tu n’as pas besoin de ça » qu’elle fait en essuyant ses larmes d’un revers de main. « Tu… tu me le promets ? » qu’elle lui demande d’une plus petite voix, son regard venant à trouver le sien. Elle a besoin de l’entendre, être certaine que plus jamais il n’attentera à sa vie et que si jamais il sent qu’il flanche, cette fois, il viendra la trouver « Je serai toujours là pour toi, Caleb » Il le sait mais elle lui répétera encore et encore. « Par contre ne me laisse pas ton lit, je peux dormir dans le canapé ça sera très bien. » « C’est pas discutable ça ! » Zoya s’y attendait qu’il émette une objection à cela et une chose est sûre, elle ne reviendra pas sur sa décision « Je t’ai même laissé mon doudou fétiche » Et il le connaît bien pour avoir toujours été celui qu’il lui a ramassé un nombre incalculable de fois quand ils étaient enfant – bien souvent parce qu’elle se mettait en colère et l’envoyait valser. Elle sourit d’ailleurs à cette dernière précision avant d’ajouter « Il y tient et tu sais que tu ne peux rien lui refuser ». En somme, interdiction là aussi de la contredire et de refuser la compagnie de ce vieil ours en peluche.  « Je viens de passer un mois et demi à manger de la nourriture atroce à l’hôpital, tu ne peux pas imaginer à quel point je rêve d’un bon repas. » Il ne lui en faut pas plus alors pour comprendre que son cousin a besoin d’un succulent repas et c’est un défi qu’elle est plus que prête à relever. « On peut déjà cuisiner un truc ensemble si tu veux. J’en meurs d’envie. J’ai pas mis les pieds dans une cuisine depuis…longtemps. » Tout ce qu’il voudra qu’elle aimerait lui répondre spontanément mais, à la place, elle vient à contourner le comptoir pour se saisir de deux tabliers « Alors, aux fourneaux, Chef ». Un sourire se dessine à nouveau sur ses lèvres, plus qu’heureuse de pouvoir partager un tel moment avec lui alors qu’elle lui tend un des tabliers pour qu’il l’enfile à son tour « J’ai de tout dans mon frigo » qu’elle fait en se dirigeant vers celui-ci et en l’ouvrant « Je suis passée au marché du quartier ce matin et j’ai pris tout plein de légumes, des fruits également, j’ai quelques fromages frais » Bref, son réfrigérateur n’a jamais été aussi plein à craquer car elle n’a su faire de choix, à penser à tout plein de mets qui pourraient lui faire plaisir. « De quoi as-tu envie ? » qu’elle finit par lui demander en se retournant vers lui.

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Zoya & Caleb
welcome back home


2017
Appartement de Zoya

tw : dépression, mention de tentative de suicide

La sortie de l’hôpital, au final, tu l’appréhendais beaucoup. Sûrement même bien plus que tu n’acceptes de le dire à voix haute, alors bien que l’idée de retrouver ton petit cocon te plaisait, ne pas te retrouver entièrement seul dès la sortie était finalement la meilleure des options. Passer quelques jours chez Zoya a un petit côté rassurant, bien que tu n’aies plus d’idées noires et que tu critiques non sans mal le passage à l’acte qui t’a poussé à l’hospitalisation tu as peur de te retrouver seul. Seul avec tes pensées. Seul dans cet appartement que vous aviez choisi ta défunte femme et toi-même. Alors le bouquet de fleurs que tu tends à Zoya avant d’entrer chez elle a plusieurs significations : merci de m’avoir sauvé la vie, merci de m’accueillir chez toi durant quelques jours, merci d’être là pour moi. Tout ça en un bouquet, oui, et tu as envie de croire qu’elle le comprendra sans que tu n’aies à le formuler. « Ce n’était pas nécessaire, tu le sais » Tu acquiesces d’un signe de tête.  « Je sais. » Tu lui assures. Tu sais bien que Zoya n’attendait aucun cadeau de ta part, mais ça te semble être le minimum. Et tu lui dois beaucoup, maintenant.

Zoya parle, encore et encore, alors que vous pénétrez dans la pièce de vie. Sûrement un moyen pour elle de gérer ses émotions. La dernière fois qu’elle t’a vu en dehors des murs de l’hôpital, tu étais entre la vie et la mort, parce que tu avais essayé d’en finir. Alors si ta cousine ressent une petite pointe d’angoisse à l’idée de t’avoir chez elle, tu ne peux que la comprendre. Mais les petites larmes qui perlent de long de ses joues te brisent le cœur, parce que tu sais être responsable de celles-ci. Plus ou moins. Pas volontairement. Tu lui laisses le temps dont elle a besoin, et bien que tu finisses par desserrer ton étreinte tu ne la quittes pas des yeux, lui montrant ainsi toute ta sincérité. « Désolé, tu n’as pas besoin de ça » Tu secoues la tête sans attendre lui montrant ainsi qu’elle n’a clairement pas besoin de s’excuser. « Tu… tu me le promets ? » Ton regard ne se détache pas du sien tandis que tu viens te pincer les lèvres. En réalité, tu ne peux pas le promettre. Toi non plus tu n’en sais rien, tu n’es pas vraiment guéri. La dépression est une maladie dont tu n’es pas le maître. Ce n’est pas toi qui décide des up and down, ils s’imposent à toi, et c’est à toi de faire avec. « Avec les médicaments que je dois prendre et les séances avec les psy, si je ne vais pas mieux avec ça, je ne sais pas ce qui va pouvoir m’aider. »  C’est sur le ton de l’humour que tu lui réponds mais c’est une bonne chose et la preuve que tu as enfin retrouvé ton sens de l’humour. Mais si les mots ne sont pas prononcés des plus sérieusement tu penses pourtant sincèrement tout ce que tu viens de lui dire. Mais tu ne lui fais aucune promesse, tu n’en es pas capable. « Je serai toujours là pour toi, Caleb » « Je sais. » Tu lui réponds au tac-au-tac. « J’ai beaucoup de chance de t’avoir dans ma vie. » tu continues, un petit sourire qui vient étirer des lippes lorsque tu lui fais cette confession. « C’est pas discutable ça ! Je t’ai même laissé mon doudou fétiche » Tu te doutais qu’elle n’accepterait pas de te laisser le canapé pour retourner dans sa chambre, si tu peux avoir un petit côté têtu ce n’est rien en comparaison de celui de ta cousine. « Il y tient et tu sais que tu ne peux rien lui refuser » Oh oui tu le connais assez pour savoir que tu ne peux rien lui refuser. À ce doudou mais aussi à Zoya, elle est bien plus forte que toi de toute façon elle ne cédera pas. « J’ai toujours su qu’il m’aimait plus qu’il ne t’aimait toi... » Des mots que tu lui murmures, encore et toujours dans le seul et unique but de faire rire Zoya afin de lui montrer que tu vas bien. Tu ne veux pas qu’elle continue à s’inquiéter pour toi. Et la première étape pour calmer vos maux : cuisiner. Rien de très étonnant quand on vous connaît tous les deux. « Alors, aux fourneaux, Chef » Tu attrapes le tablier tout en la suivant de l’autre côté du comptoir. « J’ai de tout dans mon frigo Je suis passée au marché du quartier ce matin et j’ai pris tout plein de légumes, des fruits également, j’ai quelques fromages frais » Une fois le tablier enfilé tu te laves les mains tout en profitant de jeter un coup d’œil dans son réfrigérateur plein à craquer. Tu ne sais pas s’il est toujours comme ça ou bien si Zoya a fait le plein spécialement pour ta venue, mais dans tous les cas, ton appétit commence déjà à s’ouvrir. « De quoi as-tu envie ? » Tu te laisses encore un petit moment pour analyser son frigo et son placard ​​« On peut se faire des pâtes bolognaises ? » Doutant qu’elle refuse, tu attrapes tout ce dont vous allez avoir besoin dans son frigo. « Coupe les carottes, je m’occupe de l’oignon et du céleri. » Avant ton hospitalisation tu ne cuisinais plus vraiment. Tu ne prenais plus aucun plaisir à manger alors te voir t’extasier à l’idée de cuisiner et manger un bon plat est bien la preuve que le plus dur est derrière toi. « Zoya ? » Tout en coupant l’oignon, tu tournes la tête brièvement vers ta cousine et lorsque son regard croise le sien, tu enchaînes. « Je suis vraiment désolé pour… » Pour tout ça, désolé que ce soit toi qui m'aie retrouvé. Cette fois, tu détournes le regard pour reprendre la coupe de l’oignon. « Je crois qu’il va falloir que je déménage, je ne peux pas rester dans cet appartement. J’ai l’impression qu’elle est partout. » Tu crois ? Non tu le sais. Tu en es sûr. Tu dois déménager, et changer une grande partie des meubles que Victoria avait choisis avec soin. Pour vous. Mais aujourd’hui tu es seul.
 

© nightgaunt


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Zoya Lewis
les liaisons dangereuses
Zoya Lewis


PERSO
Présence  :
présent(e)
Âge  :
32 étés, elle est née le 20 août 1992
Date de naissance  :
20/08/1992
Surnom(s)  :
Zo', Zozo, Lewis
Polaroid :
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Statut  :
Célibataire, c'est seule qu'elle élève sa fille et c'est peut-être mieux ainsi.
Orientation sexuelle :
Bisexuelle
Métier  :
Photographe à son compte, elle a signé depuis septembre 2022 un contrat avec la maison Weatherton, devenant une des photographes officielles.
Adresse  :
#64 corn street, Old City
Les petits détails  :
Originaire de Bristol ♡ A trois frères ♡ Passionnée par la photographie mais aussi la peinture et la cuisine ♡ Les voyages sont sa raison d'être ♡ A 25 ans, on lui annonce qu'elle ne pourra pas avoir d'enfants ♡ A 28 ans, elle tombe enceinte après une histoire d'un soir ♡ Sa fille nait en février 2021, Chloe, qu'elle élève seule (par choix) ♡ Vous ne trouverez jamais un caractère aussi sain que celui de Zoya (uhm).
Pronoms du perso  :
elle
Warnings  :
abandon d'enfant; tentative de suicide; décès; stérilité; addiction
Code couleur rp  :
Elle est - toujours- aussi chiante en #cc6699
Liens & sujets  :
Les rps en coursBirdieCalebBowieDexterTerry.

incoming... Cameron - Mickey.

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LEWIS ♡ The family. We are a strange little band of characters trudging through life sharing diseases and toothpaste, coveting one another’s desserts, hiding shampoo, borrowing money, locking each other out of our rooms and trying to figure out the common thread that bound us all together.

(Caleboya #4) Welcome back home K7p2
CALEBOYA ♡ if you ever find yourself stuck in the middle of the sea, i'll sail the world to find you, if you ever find yourself lost in the dark and you can't see, i'll be the light to guide you.♡ 4

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LEEVES ♡ Even though you break my heart, i know what we are, our love's too young, even though you break my heart, my love, i'ma need you. Show me your broken heart and all your scars, i'll take you as you are, show me your broken parts to know your flaws, i'll take you as you are.

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BOWIE

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TERRY

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25/08/2024
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disponible pour de nouveaux sujets
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Je rp à la troisième personne et au présent et je fais entre 400 et 1000 mots (voire plus, car ça m'arrive - souvent - de glisser). Je fais en sorte de répondre dans l'ordre de mes réponses mais il m'arrive de déroger à cette règle, surtout quand je veux faire avancer ma chrono en priorité (mais j'en abuse pas)
Genre irl  :
Féminin
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2017
Appartement de Zoya

tw : dépression, mention de tentative de suicide


« Je sais. » C’est muni d’un des plus beaux bouquets de fleurs qu’on a sûrement pu lui offrir jusqu’à présent que son cousin se présente à sa porte et si elle n’a aucun doute quant aux raisons qui le poussent à lui en offrir, elle estime qu’il n’a en rien à lui apporter un quelconque cadeau pour la remercier de tout ce qu’elle a pu faire pour lui. Elle a conscience qu’elle lui a sauvé la vie, dieu seul sait ce qui se serait passé si elle était arrivée deux minutes plus tard – elle ne préfère d’ailleurs pas l’imaginer – mais elle ne cherche en rien à ce qu’on lui adresse une médaille pour ça. Il est quelqu’un à qui de nombreuses personnes, elle en première ligne, tient comme à leurs prunelles de leurs yeux et jamais elle n’aurait accepté le fait de le perdre si elle n’avait pas débarqué chez lui comme elle l’a fait. Ce pressentiment qui l’a traversé ce jour-là, inquiète de ne plus avoir de réponses de Caleb, lui qui n’a jamais ignoré un seul de ses messages ni tarder à répondre, elle ne l’oubliera jamais. Cette angoisse qui l’a saisi jusqu’au plus profond de son être face à ce silence insoutenable, l’a tétanisée au point qu’encore aujourd’hui, en y repensant, elle se retrouve dans le même état de léthargie et sent encore ses jambes faiblir sous son poids.

Mais c’est un épisode qu’elle se doit de laisser derrière elle, encore plus pour Caleb. Elle s’en veut alors de perdre pied, de se laisser submerger par l’émotion, s’en excuse mais a toutefois besoin d’entendre de la bouche de son cousin une promesse qu’elle ne voit pas être trop prématurée pour qu’il puisse lui donner avec persuasion « Avec les médicaments que je dois prendre et les séances avec les psy, si je ne vais pas mieux avec ça, je ne sais pas ce qui va pouvoir m’aider. ». Il use d’auto-dérision et si cela pourrait faire sourire, il n’en est rien pour la brune qui reste de marbre. Quelques secondes à peine, durant lesquelles elle fixe son cousin sans rien dire, attendant des mots qui ne viendront pas. Elle soupire, baissant son regard et acquiesçant simplement, comme une enfant qui n’a pas totalement obtenu ce qu’elle souhaitait. Mais elle doit aussi se rendre compte que tout n’est pas aussi facile et si lui, ne voit pas que la guérison lui tend les bras et qu’il finira par aller mieux, elle le fera pour deux. Relevant le regard, avec conviction, elle prononce alors « Tu iras mieux ». Il n’y pas de doute possible, elle refuse et une autre issue n’est pas envisageable parce qu’elle sera là pour y veiller. « Je sais (…) J’ai beaucoup de chance de t’avoir dans ma vie. » Elle ignore si c’est de la chance ou pas et s’il a tenté l’humour tout à l’heure, c’est à son tour d’en user maintenant, en profitant pour reprendre contenance par la même occasion « C’est indéniable, tous ceux qui m’ont dans leur vie sont chanceux » qu’elle fait d’un air légèrement désinvolte, passant une main dans ses cheveux pour les envoyer en arrière, avant de laisser échapper un petit rire amusé alors, qu’en parallèle, son regard est rempli de tendresse pour son cousin. Et cette douceur qu’elle lui donne sans limite se traduit jusqu’à sa propre chambre qu’elle lui laisse, une décision indiscutable comme son doudou fétiche qu’elle lui laisse en compagnie  « J’ai toujours su qu’il m’aimait plus qu’il ne t’aimait toi... » Aie, qu’est-ce qu’il n’a pas dit « COMMENT OSES-TU ?! » ses yeux sortiraient presque de ses orbites et on pourrait presque voir de la fumée sortir de ses oreilles, si seulement cela était possible. Elle veut bien être gentille et attentionnée pour lui mais son ours en peluche n’aime qu’elle. « Il te tolère, à la limite, il t’aime bien, un peu. Mais t’aimer plus que moi ? Ça jamais ! » Voilà qui change soudainement, Caleb ayant le plaisir – ou non – de retrouver l’indétrônable, l’irremplaçable et surtout l’immature Zoya. Et si elle affiche une mine boudeuse pendant quelques secondes, celle-ci se dissipe vite après qu’elle lui ait tiré la langue et lui ai offert un sourire amusé.

« On peut se faire des pâtes bolognaises ? » Il a faim et surtout, Caleb a envie de cuisiner. Et rien ne peut faire plus plaisir à Zoya que de voir son cousin revêtir son tablier de chef cuisinier, celui qui lui redonne toutes ses couleurs. C’est un grand sourire qui prend place sur ses lèvres alors qu’elle le regarde en train de prendre déjà les ingrédients nécessaires dans le frigo. « Coupe les carottes, je m’occupe de l’oignon et du céleri. » Son regard toujours porté sur son cousin, sourire toujours aussi grand sur ses lippes, Zoya s’exécute sans broncher, se saisissant des carottes et d’un couteau. Ce n’est pas d’elle, habituellement, elle fait entendre son mécontentement parce qu’elle déteste qu’on lui donne des ordres. Mais là, celui-là, elle est heureuse de l’entendre et donc, elle ne rechigne pas, appréciant d’ailleurs le silence qui vient s’installer entre eux. Il est apaisant alors que seul le bruit de leur couteau respectif ricochant sur la planche à découper en bois résonne dans l’appartement. « Zoya ? » « Oui ? » fait-t-elle en poursuivant sa découpe sans quitter des yeux ce qu’elle fait « Je suis vraiment désolé pour… » Cette fois, elle s’interrompt dans ses gestes, retournant son regard sur son cousin « Tu n’as pas à t’excuser, Cal’ » Parce qu’elle sait. Elle sait ce qu’il a traversé, cette terrible épreuve face à laquelle elle-même ignore comment elle aurait pu réagir. Elle ne lui en tient pas rigueur, elle ne lui en veut pas et elle ne ressent aucune colère contre lui. Il va bien, c’est tout ce qui lui importe. Il fuit son regard mais, elle, conserve le sien sur lui alors qu’il continue de découper ses légumes « Je crois qu’il va falloir que je déménage, je ne peux pas rester dans cet appartement. J’ai l’impression qu’elle est partout. » Son cœur se serre en entendant Caleb évoquer Victoria, même s’il ne la nomme pas. Elle acquiesce, même s’il ne le voit pas, toujours focalisé sur ses gestes et, pour ne pas le brusquer non et ne pas le bloquer dans cette confession qu’il lui livre, elle reprend aussi sa découpe, lui évitant ainsi de subir son regard plus longtemps sur lui. « Tu sais, c’est aussi pour ça que je t’ai demandé de venir passer quelques jours chez moi. Et si tu le souhaites, tu peux rester jusqu’à ce que tu trouves un nouvel appartement » c’est avec prudence qu’elle évoque l’idée, poursuivant après une courte pause « Je pense que c’est une bonne idée, que c’est même… nécessaire. Pour ton bien. Et je pense que … c’est ce qu’elle aurait voulu ». Elle se risque, mais elle est persuadée aussi que Victoria préférerait le voir aller de l’avant plutôt que de se terrer dans un passé qu’il ne peut, malheureusement, pas changer. « Et tu peux compter sur moi pour t’aider, tu le sais. On peut même commencer à regarder après le repas ». Elle est prête à tout pour lui, et si cela implique d’éplucher toutes les annonces du marché de l’immobilier pendant des heures, du jour comme de la nuit, pour lui trouver son nouvel havre de paix, elle le fera, sans l’once d’une hésitation.

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but they're watching me, judging me, making me feel so used, can't you see that all i wanna do is get a little wild, get a little high, kiss a hundred boys and not feel like i'm tied to them. if you wanna judge me, then go and load the gun, i've done nothing wrong, i'm young. s. smith + @aeairiel.

Caleb Anderson
le cœur en peluche
Caleb Anderson
le cœur en peluche

En ligne

PERSO
Présence  :
en présence réduite
Âge  :
trente-cinq ans
Date de naissance  :
20/04/1989
Surnom(s)  :
Chef en cuisine, papa par ses enfants et chéri ou bébé par sa femme.
Polaroid :
(Caleboya #4) Welcome back home Cbc55f695af88668cadd4107c5f41fec431213f7
Statut  :
Marié à son premier amour, la femme de sa vie et papa investi de trois enfants qu'il aime plus que tout au monde.
Orientation sexuelle :
N'a d'yeux que pour sa femme
Métier  :
Chef étoilé et patron de l'Interlude restaurant de gastronomie française à Clifton
Adresse  :
Quartier Clifton, une jolie maison située au 569 Hanbury Road
Les petits détails  :
grand romantique › ambitieux perfectionniste et très exigeant avec lui-même › parle couramment le français et a un bon niveau en italien › a passé un huit mois en France, et quatre en Italie › a eu un accident de voiture durant lequel il a perdu sa femme de l'époque, Victoria › s'est battu contre une dépression pendant deux ans › control freak › consulte toujours un psychologue › diagnostiqué avec une tachycardie › grand passionné de lecture › un vrai papa poule, il est capable de tout pour ses enfants et sa femme.
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
ptsd
Warnings  :
troubles anxieux, deuil, mort, dépression, tentative de suicide
Code couleur rp  :
Caleb donne de l'amour et de la tendresse en #879ecd
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
(Caleboya #4) Welcome back home Shuy
CALEX - Every now and then, the stars align. Boy and girl meet by the great design, could it be that you and me are the lucky ones ? Everybody told me love was blind then I saw your face and you blew my mind. Finally, you and me are the lucky ones this time.
Calex 103 - Calex 104(fb Juin 2019)

(Caleboya #4) Welcome back home Vagl
CALEBOYA - You lose your way, just take my hand. You're lost at sea, then I'll command your boat to me again. Don't look too far, right where you are, that's where I am. I'm your man

(Caleboya #4) Welcome back home A760b2054085c26222200da303a68d3d475c9358
HARSON - I'll shed a tear for you. Open your eyes, I'm by your side, I'm never leaving you. Darkness to light stay through the night.


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Caleboya #4 (fb)
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HH #9
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Adèle #2
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25/08/2024
Disponibilité rp  :
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Préférences rp  :
nombre de mots : je m'adapte totalement à mon partenaire, mais toujours avec un minimum de 600 mots
style d'écriture : principalement à la deuxième personne du singulier, mais je peux également m'adapter, je sais que ce style ne plait pas à tout le monde.

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Féminin
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Zoya & Caleb
welcome back home


2017
Appartement de Zoya

tw : dépression, mention de tentative de suicide

Tu te sens redevable auprès de Zoya, après tout si tu es debout dans le séjour de son appartement aujourd’hui c’est seulement grâce à elle. Tu lui dois ta vie, mais si ta cousine semble avoir besoin d’entendre que maintenant tout ira bien pour toi, tu préfères ne pas lui mentir car au final, tu n’en sais rien. La dépression est une maladie sur laquelle tu n’as pas le moindre contrôle, si tu le pouvais tu ferais tout pour être guéri dès aujourd’hui mais ce n’est pas si facile, malheureusement. C’est du temps dont tu vas avoir besoin. Du temps et aussi des traitements que tu dois prendre tous les jours mais aussi d’une vraie psychothérapie que tu as déjà commencé à l’hôpital. Le chemin vers la guérison sera long, mais tu finiras par y parvenir même si pour le moment tu as peut-être beaucoup de mal à y croire.  « Tu iras mieux » Tu l’espères, mais c’est avec un simple petit sourire à son égard que tu lui réponds. « C’est indéniable, tous ceux qui m’ont dans leur vie sont chanceux » Ses mots couplés à son attitude ont au moins le mérite de t’arracher un rire sincère – et cela fait sûrement des mois que Zoya n’a pas entendu ce son ressortir de la barrière de tes lippes. « Tu as attrapé la grosse tête depuis la dernière fois, tu feras attention, je ne suis pas sûr que tu puisses passer les portes de ton appartement. » tu lui réponds presque au tac-au-tac. Mais oui. Tu sais que c’était de l’humour. Sûrement avec un petit fond de vérité mais de l’humour principalement. Comme lorsque tu prétends que son fameux doudou préféré puisse avoir une préférence pour toi, tu savais que ça la ferait réagir et sa réaction ne te déçoit pas. « COMMENT OSES-TU ?! »  Zoya a toujours eu tendance à en faire un peu trop. Comme là, actuellement. Tu la regardes en te pinçant les lèvres t’empêchant ainsi d’éclater de rire, surtout que ton intuition te dit qu’elle n’en a pas fini là. « Il te tolère, à la limite, il t’aime bien, un peu. Mais t’aimer plus que moi ? Ça jamais ! »  Bien sûr. Ton regard est amusé et si la moue boudeuse de ta cousine ne dure que quelques secondes tu l’imites par la suite en lui tirant toi aussi la langue. « Sois pas jalouse, Lewis, je lui demanderais d’être plus sympa avec toi. » Encore et toujours, enfoncer le couteau dans la plaie pour continuer de l’embêter. Ça a toujours été une de tes plus grandes passions.

Voilà plusieurs mois que tu n’avais pas réellement été pris par une réelle envie de cuisiner et il en va de même pour l’envie de manger. Celle-ci, tu l’as retrouvée durant ton hospitalisation sûrement en partie grâce aux médicaments que tu prends encore aujourd’hui. Ça faisait longtemps que tu n’avais pas cuisiné avec Zoya, et retrouver cette complicité et ce plaisir de cette activité à ses côtés te réchauffe le cœur. Mais ça te rappelle aussi que tu lui dois en moins des excuses. Et des remerciements. « Tu n’as pas à t’excuser, Cal’ » Bien sûr que si tu dois t’excuser, et c’est tout d’abord en secouant la tête de haut en bas que tu lui réponds. Elle l’a sûrement vu puisque tu sens son regard dans ta direction alors que le tien, tu le conserve sur l’oignon. « Si, bien sûr que si. Je ne voulais pas que tu aies à vivre ça. » Complètement inconscient, tu ne te souviens de rien. Mais tu oses bien imaginer que ta cousine aurait aimé ne pas vivre une chose pareille. Ça peut être traumatique. C’est ce dont tu te doutes en tout cas, et jamais tu n’aurais voulu devenir un boulet pour tes proches. « Tu sais, c’est aussi pour ça que je t’ai demandé de venir passer quelques jours chez moi. Et si tu le souhaites, tu peux rester jusqu’à ce que tu trouves un nouvel appartement » Rien de ce qu’elle ne te dit ne t’étonne. Que ce soit la partie où elle t’avoue y avoir pensé d’elle-même, ou bien lorsqu’elle te propose de rester chez elle jusqu’à ce que tu trouves un nouveau logement. Toujours en restant concentré sur la découpe de l’oignon, tu secoues tout de même la tête de gauche à droite. « C’est gentil, mais je pense qu’il va falloir que je rentre à un moment donné. » Tu lui réponds tout en haussant les épaules. « Je pense que c’est une bonne idée, que c’est même… nécessaire. Pour ton bien. Et je pense que … c’est ce qu’elle aurait voulu » Oh ça tu le sais. Tu l’as toujours su, d’ailleurs mais si seulement c’était si simple que ça. Victoria était une jeune femme pleine de vie, alors tu sais bien qu’elle n’aurait pas aimé te voir te morfondre ainsi dans le passé. « Et tu peux compter sur moi pour t’aider, tu le sais. On peut même commencer à regarder après le repas » Cette fois tu souris doucement tout en te tournant légèrement pour la regarder. « On pourra faire ça oui. » Faire ça à deux sera sûrement plus rapide que seul, pas vrai ? « Merci. » Cette fois les mots sont presque murmurés avant que tu ne viennes terminer la découpe de l’oignon. Et puisque l’instant semble propice aux confessions, tu enchaînes. « Je peux te dire quelque chose ? » que tu lui demandes en jetant un coup d’œil rapide dans sa direction. « Mais tu es la première personne à qui j’en parle et je ne veux pas que tout le monde le sache. Alors promets-moi de n’en parler à personne. » Enfin techniquement, tu en as parlé au psychiatre et à la psychologue à l’hôpital. Cette fois tu poses le couteau tu la planche à découper pour réellement regarder Zoya. « Elle était enceinte. » Un quart de secondes de pause et tu enchaînes. « Victoria. » comme si Zoya avait besoin que tu le précises. « Enceinte de deux mois. Ça faisait quelques mois qu’on avait décidé d’essayer. On attendait la fin du premier trimestre pour en parler à tout le monde. » Mais la vie en a décidé autrement pour vous. Les larmes te montent aux yeux alors tu détournes bien vite le regard éloignant les oignons de toi – comme si tes yeux embués de larmes étaient leur faute et non pas liés à ce que tu viens tout juste d’annoncer à ta cousine.


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