no pain as justice + nedina

no pain as justice

@NED JOHNSON ☆ MINA VALERIOUS

gifs by (c) butcherdom et (c) eternal sunshine

Mina poussa la porte de la salle de boxe avec une détermination qui trahissait les émotions bouillonnant en elle. L'odeur familière du cuir et de la sueur lui assaillit les narines, mais elle l'accueillit comme une vieille amie. Cela faisait quelques mois qu’elle venait ici, chaque coup de poing frappant comme une libération, un exorcisme des fantômes qui la hantaient depuis la mort de Richard. Son père. Ce monstre au visage souriant qui avait façonné tant de ses blessures. Elle inspira profondément, essayant d’oublier l’image de son sourire narquois. Ses doigts serrèrent les gants de boxe qu'elle tenait, puis elle balaya la salle du regard, cherchant instinctivement une présence particulière. Ned. Elle le vit près du sac de frappe, les bras croisés, un sourire en coin trahissant cette assurance tranquille qui lui collait à la peau. La cinquantaine passée, mais avec l’allure robuste d’un homme bien plus jeune, Ned dégageait une virilité brute qui la faisait frémir. Pas seulement par son physique imposant — large carrure, barbe poivre et sel soigneusement négligée — mais par cette chaleur, cette solidité qu'il émanait sans effort.

“Salut, le dinosaure,” lança-t-elle en s’approchant, masquant mal le sourire qui se dessinait sur ses lèvres. En retard, comme d’habitude, mais Mina avait finalement fait son apparition. Elle n’allait tout de même pas laisser Ned s’entraîner seul -ou juste avec quelqu’un d’autre qu’elle. Il n’était plus à prouver que la Valerious avait toujours eu un faible pour les gens cassés, ceux qui traînaient des bagages trop lourds pour qu’on puisse les porter à deux. Ned faisait partie de cette catégorie. Mais entre eux, il y avait cet écart qui les maintenait sur le fil, un fil fait de piques et de sous-entendus jamais poussés trop loin. Mina ne s’était pas inscrite à la boxe pour ses beaux yeux, qu’on se le dise, mais la recommandation du brun n’était pas tombée dans l’oreille d’une sourde lorsqu’elle lui avait partagé son besoin de se défouler suite au décès de son père durant l’été. Pas noyée par les responsabilités des autres approchants de la trentaine comme elle, il lui était facile de trouver une à deux heures par semaine dans son agenda de socialite pour une séance de sport supplémentaire -une addiction supplémentaire pour la jeune femme qui ressentait le besoin de se dépenser en permanence. Au final, elle avait trouvé dans ce rituel et cette pratique un excellent refuge. Entre les murs décrépits, à l’écho des coups frappant les sacs de sable, elle trouvait une forme de catharsis. Tout ce qu’elle n’avait jamais dit à son père, toutes les rancœurs emmagasinées depuis des années, semblaient s’échapper à chaque mouvement, chaque uppercut. Ce n’était sans doute pas aussi efficace qu’une véritable thérapie, mais la personne qui lui ferait mettre un pied chez le psy n’était pas encore née.

Elle enfila ses gants, se concentrant sur les lacets, tentant de chasser ces pensées qui la dérangeaient plus qu’elle ne voulait l’admettre. “J’espère que t’as pas l’intention de frapper comme une mouche aujourd’hui,” taquinait-elle. Les bras de Mina pouvaient servir de cure-dents à Ned tandis qu’un seul de ses bras faisait la circonférence des deux jambes de la jeune femme. S’ils s’affrontaient sur le ring, il y avait fort à parier qu’elle ne tiendrait pas dix secondes du premier round, qu’importe toute la rage qu’elle pouvait y mettre. Parfois, elle se demandait comment ça serait, un KO dans les règles de l’art. Un coup si fort que sa tête éteindrait toutes les lumières. Elle songeait que ce serait peut-être le seul moyen pour elle d’avoir enfin la paix vis-à-vis de ce cerveau qui allait trop vite tout le temps, contre ses angoisses, contre ses pensées qui hurlaient contre les parois de son crâne. Et c’était tentant.

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@NED JOHNSON ☆ MINA VALERIOUS

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Cela faisait pas mal d’années que tu étais inscrit à la salle de boxe. Pas pour faire des cours collectifs mais simplement utiliser les sacs de frappe à ta guise. De temps en temps tu pouvais t’entrainer avec quelques personnes mais c’était assez rare. Cela devait bien faire une dizaine d’années que tu étais abonné à la salle, ayant un assez bon niveau en boxe. Lorsque tu ne frappais pas les sacs de frappe, tu utilisais la salle pour t’echauffer. Avant et après ta séance. Il fallait dire que t’inscrire à la salle t’avais bien endurci et cela se remarquait au niveau de ton corps. En dehors de la boxe tu essayais de courir avant d’aller au boulot le matin aux aurores. La boxe et la course étaient deux activités que tu faisais de façon assez intensives. Tu savais que tu devais te reposer de temps en temps mais ces repos restaient assez rares.

Tu passais à la même heure à la salle de sport. Souvent les mêmes jours. Malgré ton travail aux horaires assez variés dépendant s’il y avait beaucoup de boulot au commissariat, tu pouvais y passer deux fois par semaine. Bien que tu souhaiterais rajouter un jour de plus. Mais tu avais peur de tomber dans la dépendance. Depuis dix années maintenant, tu avais réussi à ne pas tomber dans l’excès. Dix ans à tenir, ce n’était pas aujourd’hui que tu allais basculer.
Après avoir déposé ton sac dans les vestiaires et ayant pris ce qu’il fallait : bouteille d’eau, serviette, bandes et gangs de boxe, protège dents, tu te dirigeais vers la salle. Rapide coup d'œil. Il n’y avait pas beaucoup de monde aujourd’hui. Cinq personnes tout au plus. T’avais pas envie d’faire la causette. Après tout tu venais surtout pour boxer et rien d’autre. T’étais pas là pour te faire des potes. Tu restais une bonne heure et demie et tu rentrais chez toi. Et ça depuis suffisamment longtemps pour que ça ne change. Une fois tes bandes mises de manière croisée, tu commenças par un échauffement d’environ une dizaine de minutes. Tu te rappelait la première fois que tu avais passé le pas de la porte de la salle de boxe et que tu avais commencé à boxer.  Ta façon d’enrouler tes bandes était irrégulière et tu avais tout de suite commencé à frapper dans les sacs de frappe avec tes gants. Un habitué des lieux t'avait alors donné des conseils, te disant que l’échauffement était important avant de commencer à frapper et permettait d’éviter les blessures. Tout comme pour la course à pied et le sport en général.  

Une fois ton échauffement terminé, tu enfilais tes gants de boxe et te plaça devant un sac de frappe. Les autres étaient occupés à finir leur échauffement ou à combattre sur le ring. Après quelques minutes d’exercices de puissance et d’endurance, tu fis une pause pour enlever tes gants, boire une gorgée d’eau et éponger la sueur. Puis tu te plaças devant le sac de frappe, les bras croisés, un sourire en coin. Tu te demandais bien quel exercice tu pourrais faire ensuite. Tu entendis alors une voix familière et des bruits de pas s’approcher. Tu te tournas vers la voix. Mina. Cela ne faisait pas longtemps qu’elle s’était inscrite à la salle. Tu l’avais un peu poussé il fallait avouer, après qu’elle t’ait parlé de la mort de son père. Tu la connaissais depuis pourtant peu de temps mais son besoin de parler était ressorti. Tu ne sais toujours pas pourquoi c’était tombé sur toi. Un gars ayant la moitié d’un siècle, torturé et un peu trop porté sur la boisson depuis la mort de ta femme. Tu l’avais écouté parler sans lui donner de réponse. T’avais jamais été une personne qui savait remonter le moral des autres. Tu voyais qu’elle avait une rage enfoui en elle qu’elle souhaitait faire resurgir. Alors tu lui avais proposé de s’inscrire à la salle. Ton sourire toujours en coin, tu répondis à sa remarque. “Dinosaure peut être mais bien conservé”. Tu aimais bien cette gamine malgré le fait qu’elle soit beaucoup plus jeune que toi. Elle ne se laissait jamais faire et avait un mauvais caractère. Elle avait changé depuis la toute première fois que tu l’avais rencontrée il y a douze années.

En la voyant enfiler ses gants de boxe rapidement tu secouas la tête. Elle te rappelai toi à tes débuts. Tu remarquais alors qu’elle n’avait pas mis ses bandes, ce qui te fis froncer les sourcils. Elle ne paraissait pas remarquer ton mécontentement et continua en faisant une remarque. “Jamais tu sais bien.” Une fois les gants de Mina mis, tu te tournas complètement vers elle, les bras croisés. “ça fait déjà quelques mois que t’es là mais t’en fais toujours qu’à ta tête.”. Quelques secondes de silence puis tu reprends. “Où sont tes bandes ?”. Or de question qu’elle commence à boxer avant de les avoir mises. Tu en avais déjà fait les frais une fois et pas deux.

@Ned Johnson

Mina leva les yeux au ciel en étouffant un sourire ; au lieu de cela, elle feignait l’agacement avec un soupir exagéré. Ned et son obsession pour la technique, toujours prêt à la ramener à l’ordre. Elle pouvait sentir son regard insistant qui pesait sur elle, et cette familiarité lui réchauffait un peu le cœur malgré elle. Elle savait bien qu’il n’en démordrait pas tant qu’elle n’aurait pas ses bandes correctement enroulées. Avec sa patience taquine, il lui avait souvent rappelé l’importance des détails, ces petites précautions qui, à ses yeux, semblaient être le seul rempart contre une chute précipitée. Un peu comme si ce vieux loup de mer avait tout vu, tout vécu, et pouvait deviner chaque faux pas à l'avance. Mais en vérité, cette attention la touchait, même si elle n’aurait jamais osé l’admettre. Elle croisa ses bras, appuyant ses poings gantés contre ses hanches. « Mes bandes ? » Elle haussa un sourcil, prenant un air faussement innocent. « Voyons, Ned, t’es pas un peu trop protecteur ? Si je me blesse, tu pourras au moins me porter jusqu'à l’infirmerie. T'aimerais pas ça ? » Les cils battaient vivement avec cette théâtralité bien à elle. Puis elle enfonça ses mains dans son sac pour en sortir les fameuses bandes. Ned la fixait, l’air sévère, bras toujours croisés, comme s’il n’allait pas céder. Ce regard à l’autorité naturelle lui rappela, malgré elle, ceux de son père. Pourtant, le feu de l’inquiétude dans les yeux de Ned n’avait rien à voir avec l’austérité de Richard. Richard lui aurait fait comprendre à coups de remarques acerbes qu’elle ne valait pas grand-chose si elle ne prenait même pas soin de suivre le B.A.BA. « T’en fais pas, j’oublie pas les bases, papy, » elle ajouta en haussant les sourcils, les coins de sa bouche trahissant un amusement non dissimulé.

Avec un soin qu’elle prenait rarement pour elle-même, Mina commença à enrouler les bandes. À chaque tour de tissu, elle sentait la tension monter, la discipline de l’exercice l’obligeant à recentrer ses pensées, à calmer les tempêtes intérieures. Ce que Ned voyait comme un acte simple de protection était pour elle un rituel de préparation, une manière de contenir sa rage. Elle enroulait, serrait, enroulait encore, comme pour enfermer les souvenirs indésirables sous ces couches de tissu autour de ses poignets. Elle n’avait pas oublié le jour où Ned l’avait, pour la première fois, invitée ici. Elle avait été surprise, puis touchée, malgré elle. La simple idée qu’il ait compris ce dont elle avait besoin — un endroit où déverser cette colère profonde et invisible — l’avait émue d’une manière qu’elle n’osait pas exprimer. C’était comme s’il l’avait vue, elle et ses fêlures, là où tant d’autres n’avaient fait que détourner le regard. Finalement prête, elle releva la tête vers lui et approcha, un éclat provocateur dans le regard, les mains levées devant elle en signe de triomphe. « Voilà, content ? » lança-t-elle avec un clin d’œil provocateur.

« Allez, t’as tout intérêt à bien t’accrocher. Sinon, je te mets K.O., » ajouta-t-elle en se plaçant face au sac de frappe. Elle lança un premier coup sur le sac, son poing s’enfonçant dans la toile avec une précision presque brutale. Puis un autre, et encore un. Dans sa tête, les souvenirs défilaient comme des ombres qu’elle cherchait à repousser. L’image de son père. Les cris. Ses propres échecs. Elle frappait comme si elle avait des comptes à régler, et c’était le cas. Après une série de coups de poing plus violents qu’elle ne l’aurait cru possible, elle se recula, essoufflée, épuisée, mais avec cette lueur de soulagement dans le regard. Les fantômes s’éloignaient peu à peu, laissant la place à un silence bienvenu. Elle esquissait un sourire mêlant satisfaction et soulagement, d’une authenticité rare qui perçait le masque de cette demoiselle indéchiffrable. « Tu penses à quelqu'un quand tu frappes, parfois ? » demanda Mina avant de prendre une rasade d'eau de sa gourde. Elle songeait que c'était le cas de tout le monde, que certains l'admettent ou non. Et ce qui l'intéressait, bien sûr, était l'identité, le visage que son imagination projetait devant lui pour en faire la cible factice de coups qu'il n'oserait pas porter hors de ces murs.

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@NED JOHNSON ☆ MINA VALERIOUS

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“Où sont tes bandes ?”
Tu ne savais pas combien de fois tu la rappelai à l’ordre. Tu avais arrêté de compter. Cela faisait déjà quelques mois que Mina venait à la salle de boxe mais tu continuais encore et toujours de lui faire des commentaires. Tu te dis qu'à un moment elle allait bien pouvoir retenir tes conseils. Tu l'observais, les bras croisés. Tu n'allais pas la laisser commencer tant qu'elle n'avait pas mit ses bandes. La sécurité avant tout. Mina répéta tes dernières paroles et semblait s'en amuser. Tu le voyais bien avec ses paroles prononcées. Cela ne te faisait pas rire du tout. Tu ne lui réponds pas. Peut être que t'es un peu trop protecteur oui. Mais tu n'as pas envie que des personnes se blessent à cause de toi. Tu voyais bien que Mina n'en faisait qu'à ça tête. Après tout c'était dans son caractère. Mais tous ces conseils que tu lui avais donné depuis ces quelques mois, elle les avaient acceptés non sans quelques commentaires. Cela t'importai peu du moment qu'elle les prenaient au sérieux. Mina continua en te disant qu'elle n'avait pas oublié les bases. Tu verras bien la prochaine fois. De toute façon elle n'était pas obligé de boxer en ta compagnie. Si elle souhaitait boxer sans prendre en compte la sécurité, c'était son problème. Tu ne serai pas là pour lui remonter les bretelles.

Tu la vois alors commencer à enrouler une première bande à sa main droite. Tu remarques alors qu'elle fait plusieurs tours que ce n'est pas parfait et assez inégal mais ça ferait l'affaire. Elle fait de même pour l'autre main. Inégal comme toutes les autres fois. Du moment que ses phalanges étaient bien protégées, c'était le principal. La jeune femme s'approcha tout en levant ses mains devant elle pour te montrer le résultat. "ça pourrait être mieux mais on fera avec". Il faudrait vraiment que tu lui montres comment bien les mettre. Mais pas aujourd'hui. Tu sais bien qu'aujourd'hui elle a besoin d'extérioriser. De laisser sa rage ressortir. Cette rage qu'elle ne pouvait ressortir qu'à certains moment et dans un lieu spécifique. Tu ne lui proposerai jamais d'aller voir un spécialiste. Tu sais très bien comment elle réagirai. Et c'était pas son genre d'en parler. De parler de ses problèmes à des inconnus. Certaines personnes se tournent vers les sports de combats pour se libérer de leurs maux plutôt que la parole. Un commentaire de sa part mais tu ne réagis pas. Tu veux voir si sa technique était bien la bonne pour travailler la puissance des coups. Tu vois bien qu'elle frappe beaucoup trop fort, trop rapidement. Elle est immobile, se concentrant simplement sur le sac de frappe. Tu sais très bien qui elle imagine en frappant dans le sac de toile. Après quelques minutes d'entraînement, celle-ci recula, essoufflée et épuisée. Tu sais bien qu'aujourd'hui elle a voulu faire ressortir toute sa rage qu'elle avait emmagasiner depuis quelques temps. Mais tu fronces les sourcils en remarquant qu'elle a perdu de sa technique et oublié des conseils de débutants. Tu as bien vu qu'elle utilisait toute sa force trop rapidement. Une respiration presque inexistante et un corps statique. Tu ne prends pas compte à la jeune femme qui a retiré ses gants quelques instants le temps de boire une gorgée d'eau mais tu as bien entendu sa question. Tu pourrais très bien lui répondre, aussi facilement qu'elle t'avais parlé d'elle et de son père décédé. Lui faire part de toute cette rage que tu gardais en toi. Concernant ta relation conflictuelle avec ta fille qui existait depuis tellement d'années. Sur la haine que tu ressens en arrêtant ces délinquants. Des années que tu les interrogeaient avec tes collègues. Des années sans passer à l'acte. Il suffirait d'une fois, d'un jour, pour que tu réagisses différemment de d'habitude. Tu redoutais ce moment qui pouvais arriver n'importe quand. En ce moment tu voyais ces personnes que tu arrêtais pratiquement toutes les semaines. Faisant de petits ou grands délits.

Un sourire en coin de ta part. "Parce qu'il faut forcément penser à quelqu'un pour frapper ?" Un silence puis ta réponse. "Non personne.". Tu as toujours été doué pour mentir. Une fois ces mots dits, tu te plaças devant le sac de frappe à ton tour même si tu avais fais quelques exercices avant l'arrivée de Mina. Il fallait vraiment que tu lui montres comment faire. Tu ne pensais à rien, laissant le vide dans ton esprit. Tu sais très bien comment ça se passait quand ton esprit se laissait envahir par les différents problèmes rencontrés dans la semaine. Puis tu commenças par des coups simples, augmentant la puissance petit à petit. Tu n'oubliais pas de respirer pour éviter d'être épuisé à la fin de ton exercice. En n'oubliant pas la mobilité. Après quelques minutes d'échauffement, tu t'arrêtas. Comparé à la jeune femme, tu n'étais ni essoufflé ni épuisé prêt à passer à la suite. Tu enlevas tes gants pour boire une rapide gorgée d'eau. "Prête pour la suite ou tu veux arrêter pour aujourd'hui ?". Tu serai déçu si elle te répondait qu'elle souhaitait arrêter là. T'avais envie de voir ce qu'elle pouvait montrer sur le ring. Tu savais qu'il lui restait encore un peu de colère en elle à faire ressortir. Un geste de la tête en direction du ring qui est libre. "Si tu te sent encore en forme ça te dit de me montrer ce que tu sais faire avec un vrai combat ?"