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You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽

2 participants
Jonathan Barrow
le parfum d'interdit
Jonathan Barrow
le parfum d'interdit


PERSO
Âge  :
34 ans
Date de naissance  :
22/02/1990
Surnom(s)  :
John, ou Jake.
Polaroid :
You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ A858c44ccebafe1150db61be6cc8b4af5d446c33
Statut  :
Marié depuis quelques années à Barbara, ton cœur vacille entre le devoir conjugal, cette apparence maintenue, et la passion qui te consume en secret dans les bras de ton meilleur ami.
Orientation sexuelle :
Tu es homosexuel, mais tu préférerais que personne n’en sache jamais rien.
Métier  :
Pilote de chasse à la Royal Air Force
Adresse  :
101, Linden Road - Redland
Les petits détails  :
You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ 20b6c05af0ac545a2dcb6646ca53ee3ce3a6fa55

─ ∙ what do you want from me? ∙ ─

You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ 94a8ae9c2bf6d89e748d4ddceafc8511ac3ce782

Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
violences sexuelles
Warnings  :
homophobie ; adultère
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ 5toz

Oli Meilleur ami, le rire léger et facile, confidences, services rendu ; amant, secret étouffé entre les murs, draps froissés par la culpabilité et l'interdit.

You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ 8aa239615d1ad34c9d35cdb34218a78c2bc663bd

Barbie Mariage arrangé, factice ; illusion craquelée par le temps, poussière de souvenirs heureux.

[RP] Joliver #2 | Joliver #3 (Event) | Jonara #1

Préliens attendus  :

Sujets terminés  :
Joliver #1
Messages  :
100
Pounds  :
1200
Date d'inscription  :
02/10/2024
Disponibilité rp  :
disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
Je m'adapte énormément à mes partenaires ; je rp à la deuxième personne du singulier ; je réponds par ordre chronologique (date la plus ancienne à la plus récente) mais il m'arrive de privilégier certaines hypes du moment.
Genre irl  :
Masculin
Faceclaim  :
Miles Teller
Crédits  :
@ranochjart (avatar) @ranochja (crackship) @Awonaa (signature)
IRL

https://gettogether.forumactif.com/t1033-john-the-ways-in-which-you-talk-to-me-have-me-wishin-i-were-gonehttps://gettogether.forumactif.com/t1056-john-dark-star-crashes-pouring-it-s-light-into-asheshttps://gettogether.forumactif.com/t1177-jonathan-barrow




You've got my head spinning, no kidding


❝ I'm headed straight for the floor
The alcohol served its tour
And it's headed straight for my skin
Leaving me daft and dim

Bien sûr, il pleut. C’est souvent le cas, à Bristol. A cela, rien d’étonnant mais tu as été obligé de prendre le volant de ta voiture pour ne pas finir trempé de la tête aux pieds - et tu n’es pas dans une comédie romantique (non). Si tu vas le retrouver, c’est parce qu’il est ton meilleur ami, qu’il t’a manqué (comme un ami) et que vous avez bien le droit de vous voir autour d’un verre pour célébrer son retour. Un verre à son appartement. Un verre qui se soldera sans doute par un baiser. Un baiser qui vous conduira probablement sur les draps de son lit. Cette pensée t’arrache un frisson ; et tu t’en veux un peu, de frissonner à cette idée. Tu te contenteras de lui dire bonsoir, de le féliciter, et c’est tout. En serrant la mâchoire, tu fais taire tes pensées alors que ton cœur, lui, s’agite au fond de ta poitrine, tambourine contre ta cage thoracique, te rend presque malade. Au feu rouge, tu prends une profonde inspiration et te détends d’un sourire. Tu es juste impatient de le revoir, rien de plus. A cela, rien d’anormal, comme la pluie qui tombe sur la ville alors que la nuit approche à peine.

❝I'm Mr. Loverman
And I miss my lover, man
I'm Mr. Loverman
Oh, and I miss my lover

D’un geste tu éteins la radio et reprends ta route jusqu’à l’appartement d’Oli qui habite dans un quartier différent du tien. Un endroit qui, d’ailleurs, lui correspond et correspond à ses ambitions. Tu te gares en bas de l’immeuble (tu n’as rien à cacher, après tout) et sors du véhicule. Les fines gouttes d’eau s’écrasent aussitôt sur ton visage et tu cours te mettre à l’abri sous le porche de l'entrée. Tu passes une main rapide dans tes cheveux qui n’ont pas eu le temps d’être trop touchés et regardes l’heure sur ton téléphone. Normalement, il devrait être rentré. Son dernier message date du moment où il est sorti de l’avion. Ces rencontres, à vos retours respectifs en ville, ne sont pas rares - au contraire. Elles sont devenues une habitude presque réconfortante, l’assurance que quelqu’un sera toujours là, à attendre ; qu’il y aura toujours quelqu’un à retrouver. Tu n’as jamais pris le temps de songer à tout ceci en détail, et tu ne le fais d’ailleurs qu’en de très rares occasions avant de balayer ces pensées dérangeantes d’un geste de la main. Tu ne peux pas te mettre à réfléchir à la situation - car cela impliquerait sans doute un changement que tu n’es pas prêt à faire. Tu aimes votre relation comme elle est. Simple. Vous n’êtes pas toujours en parfait accord, mais Oli est une figure constante de ta vie. Vous n’avez certes pas souvent été autant en contact que durant ces dernières années, mais il a toujours été là aux moments les plus importants de ton existence. Tu sais que tu peux compter sur lui (et tu espères qu’il sait qu’il peut compter sur toi).

Tu souris donc en lui envoyant un, “je suis en bas ;) j’arrive” et en tirant ton double des clés de la poche de ton jean. Bien sûr que tu en as un, tu es son meilleur ami, il est comme un frère pour toi - alors pourquoi n’en aurais-tu pas un ? La porte du hall s’ouvre et tu grimpes jusqu’à la porte de son logement. Tu glisses facilement les clés dans la serrure (il y a longtemps que tu ne sonnes plus à la porte) et entres à l’intérieur de l’appartement. C’est l’odeur familière d’Oli qui t’envahit, une odeur que tu as appris à reconnaître au fil des années.

« Oli, t’es déjà là ? » demandes-tu en allumant la lumière de l’entrée, d’une voix claire et joyeuse en posant tes clés sur un meuble, comme si tu étais un peu chez toi. « J'ai ramené des bières. » ajoutes-tu en enlevant tes chaussures et en te dirigeant jusqu'à la cuisine pour les mettre au frais.

Oliver Lewis
le blues du businessman
Oliver Lewis
le blues du businessman


PERSO
Présence  :
en présence réduite
Âge  :
34 ans
Date de naissance  :
02/09/1990
Surnom(s)  :
il se fait le plus souvent appeler par son surnom, Oli
Polaroid :
You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ Tumblr_nepqawRjWx1roe163o6_250
Statut  :
Il est l'amant de son meilleur ami depuis tellement d'années qu'il a arrêté de les compter, fou amoureux et cultivant l'espoir que l'histoire finisse bien
Orientation sexuelle :
homosexuel, ne s'en cache pas mais ne s'en vante pas; n'a jamais fait de coming out
Métier  :
Associé de son père, il oscille entre deux casquettes : cuisinier dans le restaurant familial quand il arrive à se poser ; business man tentant d'exporter la franchise au monde entier quand il est en vadrouille.
Adresse  :
#514 (appartement) Hanbury Road ; Clifton
Les petits détails  :
il collectionne les tatouages, c'est la seule chose qui contraste avec son image d'enfant parfait - la plupart peuvent être cachés lors de ses rendez-vous par un t-shirt manches longues et un pantalon
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
viol, scarification
Warnings  :
addiction
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ SSOl5CNz_o
JOLIVER - nobody sees nobody knows we are a secret can't be exposed that's how it is that's how it goes ; far from the others, close to each other
John #2 - John #3

You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ 9EAJg3GL_o
la famille - Family is the gathering of random people who wouldn't meet themselves otherwise - and it's the best and the worst thing about family

Zoya #1 - Rafael #2 - AJ #3

Sujets terminés  :
Dexter #1 - AJ #1 - John #1 - AJ #2 - Rafael #1
Messages  :
1074
Pounds  :
2705
Date d'inscription  :
25/09/2024
Disponibilité rp  :
disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
entre 500 et 1000 mots, troisième personne du singulier, je réponds par ordre de réponse la plupart du temps mais m'autorise à sortir de ce cadre de temps en temps
Genre irl  :
Non-binaire
Faceclaim  :
jack falahee
Multicomptes  :
Cody Shephard & Eli Cash
Crédits  :
amor fati (av) ; may0osh & ranochja (gif) ; awona (signa)
IRL

https://gettogether.forumactif.com/t856-slow-down-you-crazy-child-oliver-lewishttps://gettogether.forumactif.com/t870-dream-on-but-don-t-imagine-they-all-come-true-oliverhttps://gettogether.forumactif.com/t877-oliver-lewis-instagram-personnelhttps://gettogether.forumactif.com/t1048-oliver-lewis#40202


You've got my head spinning, no kidding
@Jonathan Barrow ☆ Oliver Lewis
gifs by (c) alieneen et (c) eternalroleplay


Il est de ces habitudes qui se créent pour ne plus jamais se perdre ; la routine d’Oliver concernant son trajet de retour entre l’aéroport et son appartement est devenue tellement habituelle qu’il ne réfléchit même plus quand il s’installe. Un simple bonjour au chauffeur mais son téléphone se trouve déjà dans ses mains alors que le logo apple s’affiche, signe que l’appareil est en train de se rallumer. Les secondes sont trop longues et il souffle désespérément de le voir prendre son temps quand lui n’en a pas - ou est-ce simplement là son manque de patience qui s’exprime ? La page d’accueil laisse rapidement place aux messages et il clique sur le premier contact (et dernier message donc) sans une once d’hésitation. Je démarre de l’aéroport suffira à donner les informations à John ; il est sur le retour et si les habitudes ne changent pas, il retrouvera son meilleur ami dans son appartement d’ici une trentaine de minutes. Les habitudes ont la vie dure.

L’appartement est plongé dans l’obscurité quand il rentre et il combat l’envie de s’allonger sur le canapé quelques instants ; préférant se débarrasser des corvées nécessaires à chacun de ses retours de longs voyages. Gardant son téléphone près de lui - il ne faudrait pas qu’il rate l’arrivée d’une certaine personne -, il s’active et vide sa valise, lance une machine en aérant l’appartement. Alors qu’il s’apprête à commencer une liste de courses pour le lendemain, son téléphone se met - enfin ! - à vibrer. “je suis en bas ;) j’arrive” et sûrement qu’en cet instant, idiot qu’il est, il n’existe pas de meilleur message. Un petit tour dans son dressing pour enfiler une tenue confortable et le voilà de retour à la maison ; chez lui. Ce sentiment est-il seulement lié au lieu qu’il habite ? « Oli, t’es déjà là ? » Non, y’a sûrement un petit quelque chose en plus. « J'ai ramené des bières. » Bien que l’idée de sentir la boisson lui glisser le long de la gorge après les heures de vol et la journée épuisante soit d’un réconfort certain, ce n’est pas ce qui lui donne envie de courir vers la cuisine, ce qu’il finit par faire.

Trois semaines sans se voir, ce n’est ni une première ni une dernière, presque devenu quelque chose d’habituel entre les deux hommes aux calendriers chargés. Le revoir, en revanche, le ramène toujours à l’adolescence alors qu’il sent son cœur battre un peu plus vite devant son visage, un sourire commençant à s’élargir sur sa face. John réalise-t-il seulement l’effet qu’il a sur son ami ? « Hey. » qu’il souffle alors, le monde entier autour d’eux s’arrêtant l’espace de quelques instants, son cœur tambourinant tant et plus contre sa poitrine. « Je suis là. » qu’il ajoute alors avec un grand sourire en réponse à sa question avant de réduire peu à peu la distance entre eux. Il y a quinze ans, pas une seconde ne passait avant qu’il ne se précipite vers lui, le besoin de le sentir près de lui, sur lui, tout autour de lui trop important pour qu'il ne prenne son temps ; si le sentiment est toujours là, il prend également plaisir à simplement l’observer au milieu de la cuisine, dans cette appartement aux souvenirs gravés dans les murs. Et quand il s’approche, il se contente d’un baiser à la commissure de ses lèvres, comme le vieux couple qu’il rêverait de former avec lui. Dans tes rêves, imbécile lui murmure une petite voix qu’il repousse au fond pour l’interdire de venir tout gâcher. « J't'ai manqué ? » qu'il demande alors comme une taquinerie, jamais certain de la réponse qui sortira des lèvres de l'autre, toujours effrayé qu'un jour il ne soit pas là à son retour.



_________________

always you
J’ai aimé jusqu’à atteindre la folie. Ce que certains appellent folie, mais ce qui est pour moi, la seule façon d’aimer.

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Jonathan Barrow
le parfum d'interdit
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Marié depuis quelques années à Barbara, ton cœur vacille entre le devoir conjugal, cette apparence maintenue, et la passion qui te consume en secret dans les bras de ton meilleur ami.
Orientation sexuelle :
Tu es homosexuel, mais tu préférerais que personne n’en sache jamais rien.
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You've got my head spinning, no kidding


C’est cette facilité, cette manière que tu as d’entrer ici, comme si c’était un peu chez toi, que tu apprécies. Il n’y a jamais eu besoin de mot, jamais eu besoin de parler pour que votre quotidien s’articule ainsi. Les habitudes se sont installées, confortables, logées au creux de vos vies respectives. Les bières sont rangées dans le frigo, ta main retombe le long de ton corps et c’est avec un sourire que tu te tournes vers Oli. C’est drôle, quand tu y penses, la façon dont vous avez toujours fonctionné, dont vous avez été inséparables, dans votre jeunesse, et c’est souvent cet Oli là que tu vois derrière l’adulte qui te fait face ; l’Oli sérieux, studieux, mais aussi l’Oli avec qui tu as fait les quatre cent coups, avec qui tu as eu envie de tout découvrir. C’est encore le cas aujourd’hui ; combien de fois l’idée de partir en voyage t’a traversé la tête, et combien de fois la première personne à qui tu as eu envie de proposer de partir a été ton meilleur ami (avant de te rappeler aussitôt que tu avais une femme avec qui organiser ce genre de choses). Tu aimes ta femme - bien sûr, que tu l’aimes. C’est quelqu’un que tu respectes, que tu admires même, et avec qui tu n’as jamais eu de mal à parler de tout, de rien. Aujourd’hui, pourtant, elle est plus une figure quotidienne, une façade, que l’amour de ta vie. Tu te sens souvent coupable, mais pas assez pour ne jamais revenir, ne jamais recommencer. Tu t’es parfois demandé si elle savait ce qu’Oli et toi partagiez en secret, mais elle ne t’en a jamais parlé (tu supposes donc qu’elle n’a jamais rien découvert).  

La voix d’Oli est un écho familier, et tu refuses de t’attarder sur la chaleur dans ta poitrine, sur l’équilibre que tu as l’impression de retrouver, sur la joie peut-être un peu trop présente dans ton sourire alors que tu le regardes s’approcher. Tu prends le temps de détailler son visage (pour une raison que tu ignores et que tu ne questionnes pas). S’il a l’air un peu fatigué par le voyage il n’en montre rien, t’accueille comme il l’a toujours fait. Le baiser au coin de tes lèvres est trop peu mais vous n’êtes plus des adolescents, n’est-ce pas ? L’époque où vos corps trouvaient refuge l’un contre l’autre, où tu chassais sa chaleur, est loin derrière vous. Tu n’en es pas moins un peu possessif, surtout après presque un mois d’un contact absent (mais t’en rends-tu compte, seulement ?). Tes doigts se referment autour de sa mâchoire et tu souris, presque impétueux, moqueur - mais jamais méchant. « Si tu m’as manqué ? Qu’est-ce que tu en penses ? » Tes traits s’adoucissent et tu oses franchir la ligne qui vous sépare pour voler sur ses lèvres un baiser que tu juges plus approprié, plus brûlant, plus rapide, plus dévorant. Le tourbillon de sensations se cristallisent autour de toi et ta main glisse le long de sa nuque, comme pour y prendre appuie, ravir une dernière seconde. Finalement, tu le libères et tes yeux se posent dans les siens. « Je paris que je t'ai manqué, moi, » achèves-tu d'un rire avant de souffler : « Bienvenue chez toi. » Tu recules ensuite, comme pour vous laisser votre espace, comme s’il ne s’était rien passé de trop intime, de trop doux. Coucher avec Oli est une chose, être plus tendre en est une autre et tu ne l’es pas souvent. Ce sont deux choses différentes et tu préfères ne pas avoir à les mélanger. Ce qui vous appartient dans ces moments-là est comme un monde à part, un secret dont tu ne parles jamais, même pas avec lui (du moins, pas ouvertement).

Avec nonchalance, tu t’assois sur l’une de ces chaises hautes, autour de l’îlot de la cuisine, tes jambes qui touchent à peine le sol se balancent dans le vide - tu ne tiens jamais en place. « Alors, ton voyage s’est bien passé ? Raconte un peu ! » Tes doigts brûlent pourtant de le toucher - tu ne veux pas savoir pourquoi, tu ne veux pas y penser, c’est juste comme ça, trois semaines, c’est long après tout. Sans vouloir trouver de réponse, tu pianotes donc sur la table, combles le vide que tes mains ressentent. Il vous faut attendre que les bières soient fraîches, tu aurais dû les mettre au frais ce matin mais tu as oublié (comme souvent, tu oublies beaucoup de choses).

Oliver Lewis
le blues du businessman
Oliver Lewis
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Il est l'amant de son meilleur ami depuis tellement d'années qu'il a arrêté de les compter, fou amoureux et cultivant l'espoir que l'histoire finisse bien
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You've got my head spinning, no kidding
@Jonathan Barrow ☆ Oliver Lewis
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Sûrement qu’il reconnaîtrait la voix de John dans n’importe quelle configuration, au milieu d’un brouhaha, la tête dans l’eau et la musique à fond. Peut-être que son cœur s'accélérerait rapidement dès les premiers mots prononcés et que son regard le trouverait rapidement parmi la foule ; il lui semble parfois être connecté à lui d’une façon si particulière que le monde pourrait s’écrouler, il saurait le rejoindre. Est-ce que le sentiment est réciproque ? Oli évite d’y penser alors que le chemin de sa réflexion le mènerait sans aucun doute vers une pente désagréable et dont il peinerait à remonter. Il préfère alors repousser cette idée, surtout aujourd’hui et maintenant alors qu’il ne lui faudra traverser qu’un couloir pour retrouver celui qu’il attend toujours d’une impatience non dissimulée. Et comme souvent - comme presque toujours quand il rentre de voyage -, John est là, installé dans la cuisine comme si c’était là sa place, comme s’il vivait ici, comme si cette maison était la sienne et bon sang qu’Oliver en rêve.

Regard contre sourire, il ne peut pas résister à l’envie de se rapprocher pour le toucher et l’embrasser ; c’est calme et c’est doux, c’est habituel finalement. « Si tu m’as manqué ? Qu’est-ce que tu en penses ? » Il n’a pas le temps de répondre, même pas une seconde pour que sa réflexion ne le mène quelque part. Bien vite, les lèvres d’un Jonathan retrouvé viennent se poser sur les siennes et il oublie tout l’espace de quelques secondes, se perd dans cette passion et ce feu qui pourrait le consumer si rapidement, il le sait bien. Une main dans sa nuque, la sienne vient trouver le côté de John pour remonter dans son dos, appuyant pour le rapprocher de lui alors qu’une seule chose se fait entendre dans sa tête ; ce besoin de le sentir. Mais c’est trop court - sûrement que ça l’est toujours -, et John se sépare de lui, laissant le froid remplacer la chaleur de son corps. Une moue s’affiche forcément sur le visage d’Oli. « Je paris que je t'ai manqué, moi, » Il ne peut qu’hocher la tête, il s’agit-là de la vérité et il n’a jamais été capable de s’en cacher, depuis ce premier baiser où tous deux n’étaient que deux adolescents en quête de compréhension et de découverte. « Bienvenue chez toi. » Et sûrement qu’il sait qu’il ne parle pas que de l’appartement, mais de l’homme qui se trouve désormais à ses côtés ; il est chez lui. « Il était temps. » qu’il souffle alors de sa pure sincérité. Même s’il apprécie ses voyages et son travail - apprécier étant un euphémisme quant à la passion dévorante que son travail est devenu, ou a toujours été -, il passe ses soirées à l’hôtel à penser à son retour, imaginant les retrouvailles et profitant de son imagination pour faire passer le temps, communiquant à distance avec son coeur laissé à Bristol. Finalement, ce qu’il y a de mieux dans ces voyages au bout du monde, c’est le retour.

Le moment se termine et une distance se crée, rien de bien surprenant il faut dire ; les choses ont toujours été ainsi et Oliver sait profiter de chaque instant de tendresse qu’il récolte sans savoir quand sera le prochain. Si un prochain existe, car le chef ne peut s’empêcher de laisser cette question planer dans son esprit ; après des années à attendre, à supplier, à réclamer, il ne sait si la pièce tombera du bon côté pour lui ou si le piège finira par se refermer sur lui. Le mieux, c’est toujours d’éviter d’y penser. « Alors, ton voyage s’est bien passé ? Raconte un peu ! » Le plus simple est toujours de reprendre donc une conversation normale. Un sourire aux lèvres et la fatigue présente sur ses yeux, Oli reste debout mais fait face à John, posant les coudes sur le comptoir pour mieux le regarder. « C’était chouette, j’ai visité plusieurs lieux qui pourraient correspondre à ouvrir une franchise là-bas, fait mon blabla habituel auprès des investisseurs mais je suis pas sûr que ça va coller, j’ai pas l’impression que le mec il soit vraiment fait pour lancer un restau comme le nôtre, je pense qu’il se lancera plutôt sur un fast-food ou une connerie du genre qui lui rapportera gros très vite. » Il hausse les épaules ; déjà perdu dans son travail. Il pourrait s’en vouloir de son monologue mais il sait que John ne sera pas surpris de le voir se perdre dans ses mots quand il s’agit du restaurant. Oli a toujours voué une passion grandissante pour ce métier, plongé dedans grâce à son père dès son plus jeune âge. Aujourd’hui, les deux casquettes qu’il enfile tour à tour le passionnent tout autant l’une que l’autre et il peine souvent à s’arrêter de travailler - ou d’en parler quand il s’octroie enfin une pause ! « Et toi ? » qu’il demande alors, laissant sa main s’avancer au milieu du comptoir dans le maigre espoir que John s’en saisisse - il sait qu’il y a peu de chances qu’il se laisse aller à la tentation, ça ne l’empêche pas d’essayer tant et plus. « T’as mangé ? » qu’il ajoute, prêt à se lancer dans une préparation malgré l’heure avancée et sa fatigue ; toujours prêt à lui servir des bons petits plats, preuve supplémentaire de cette dévotion qu’il devrait sûrement apprendre à réduire bien que ça lui semble impossible. Il évite évidemment de demander quoique ce soit concernant celle qu’il a quittée ce soir pour le rejoindre, ce qui ne l’empêche pas d’ajouter une dernière demande. « Tu restes cette nuit ? » le regard suppliant et le cœur plein d’espoir.  



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always you
J’ai aimé jusqu’à atteindre la folie. Ce que certains appellent folie, mais ce qui est pour moi, la seule façon d’aimer.

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Jonathan Barrow
le parfum d'interdit
Jonathan Barrow
le parfum d'interdit


PERSO
Âge  :
34 ans
Date de naissance  :
22/02/1990
Surnom(s)  :
John, ou Jake.
Polaroid :
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Statut  :
Marié depuis quelques années à Barbara, ton cœur vacille entre le devoir conjugal, cette apparence maintenue, et la passion qui te consume en secret dans les bras de ton meilleur ami.
Orientation sexuelle :
Tu es homosexuel, mais tu préférerais que personne n’en sache jamais rien.
Métier  :
Pilote de chasse à la Royal Air Force
Adresse  :
101, Linden Road - Redland
Les petits détails  :
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Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
violences sexuelles
Warnings  :
homophobie ; adultère
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ 5toz

Oli Meilleur ami, le rire léger et facile, confidences, services rendu ; amant, secret étouffé entre les murs, draps froissés par la culpabilité et l'interdit.

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Barbie Mariage arrangé, factice ; illusion craquelée par le temps, poussière de souvenirs heureux.

[RP] Joliver #2 | Joliver #3 (Event) | Jonara #1

Préliens attendus  :

Sujets terminés  :
Joliver #1
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Date d'inscription  :
02/10/2024
Disponibilité rp  :
disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
Je m'adapte énormément à mes partenaires ; je rp à la deuxième personne du singulier ; je réponds par ordre chronologique (date la plus ancienne à la plus récente) mais il m'arrive de privilégier certaines hypes du moment.
Genre irl  :
Masculin
Faceclaim  :
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Crédits  :
@ranochjart (avatar) @ranochja (crackship) @Awonaa (signature)
IRL

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You've got my head spinning, no kidding


C’est le frôlement de ses lèvres près des tiennes qui allume, comme toujours, un feu que tu n’as jamais su contrôler et qui te pousse à le surplomber légèrement pour accentuer ce contact. Son visage entre tes mains, vos souffles qui se mélangent, un battement de cœur peut-être un peu trop rapide ; mais tu te réfrènes (pour une fois). Ce soir, quelque chose t’oblige à reculer, peut-être à cause de ta poitrine un peu trop serrée, de l’odeur familière de celui qui te fait face, d’un tout dont tu ne veux pas, que tu rejettes avec la force d’un ouragan depuis tant d’années maintenant. Et puis, il y a cette honnêteté brute, celle d’Oli, face à toi, qui hoche la tête pour répondre à ta question, taquinerie lancée dans l’air comme si elle ne signifiait rien (car elle ne signifie rien). Elle t’agace presque un peu, cette vérité nue qui coule de ses lèvres, alors qu’il te répond d’un air presque soulagé. Mais tu ne dis rien, tu te contentes de t’asseoir, de faire comme si rien ne venait de se passer, comme si tu n’étais pas irrémédiablement entraîné vers lui, que tu ne désirais pas reprendre possession de lui, là, tout de suite, que ce désir appartenait au néant, qu’il ne faisait pas partie de toi. Avec nonchalance - naturelle car tu la crois véritable - tu lui demandes alors comment son voyage s’est passé, guidant la soirée vers ce qui aurait dû être normal. D’ailleurs, tu es sincèrement curieux ; tu sais Oli passionné par son métier, ses voyages, et tu le respectes aussi pour ça.

Lorsqu’il te raconte, qu’il t’explique, tu grimaces légèrement, avant de hausser les épaules. « Au moins, tu sais que ça ne le fera pas avec lui, en tout cas. L’appât du gain contre la qualité, hein ? Y’a trop de gens comme ça, maintenant. » Tu lèves les yeux au ciel, avec peut-être l’impression de parler comme un vieil homme aigri - et cela te fait sourire. Toi, tu aimes le travail bien fait, méticuleux - déformation professionnelle, sans doute, car il n’y a pas de place pour l’approximatif, dans ton métier. Tu dois te fier à ton instinct, vite, bien, et tu n’as pas le droit à l’erreur. Peut-être est-ce là une rigueur un peu trop stricte, mais elle ne t’a jamais fait défaut. « J’ai regardé un peu, lorsque tu m’as dit que tu partais à Boston ; t’as de quoi trouver de sérieuses opportunités ailleurs, anyway. » Tu ne t’y connais pas vraiment en business, tu as jeté un coup d'œil par curiosité, pour voir un peu le marché suite aux discussions qu’Oli et toi avez déjà eu à ce sujet. Tu dois admettre bien aimé l’écouter te parler de ses ambitions, c’est quelque chose que tu l’as toujours un peu encouragé à suivre, même de loin. Vivre de ses passions, quoi de mieux ? Tu es bien placé pour le savoir. Alors si Oli veut aller plus loin, voir plus grand, c’est super.  

Tes yeux suivent le mouvement d’Oli, une main posée vers les tiennes sans pourtant venir les toucher, et tu recules aussitôt, d’une action discrète, geste peut-être inconscient alors que l’intimité vous enveloppe pourtant de toute part, entre les quatre murs de la cuisine. Il y a pourtant quelque chose d’un peu trop tendre, d’un peu trop proche, qu’une part de toi ne supporte pas tout à fait (pas toujours). « Rien, de mon côté ; je ne pars pas en mission avant le mois prochain, donc j’essaye de m’occuper. » Les intervalles entre tes missions à la RAF sont parfois très longs et tu as appris à combler le vide par diverses activités quotidiennes. « Ah, si, j’ai une course de moto ce week-end, si jamais t’es dispo pour venir encourager le futur vainqueur - moi ! » Tu hausses les épaules avant de lui sourire en te pointant du doigt, l'air faussement goguenard.

La discussion est calme, naturelle, tu as l’impression de retrouver un équilibre après des jours à marcher sur un fil, comme un funambule (bizarre). « Non, mais t’embête pas avec ça. Tu pourras me faire à manger une autre fois. » Car tu adores sa cuisine, et tu aimes quand il vous prépare un plat. Mais, ce soir, tu sais que le voyage a été long - et, pour être honnête (oui, tu l’es parfois) tu n’es pas venu pour ça. Alors, lorsqu’il te demande si tu comptes rester, ce soir, d’une voix où perce un espoir silencieux, tout s'agite. Ta main se referme cette fois sur la sienne alors que tu l’attires vers toi en te levant. « J’adore ta cuisine mais ce n’est pas ce que j’avais en tête, » lâches-tu en capturant à nouveau ses lèvres, d’une manière bien différente, cette fois. Tu ne te rends même pas compte du sous-entendu, de l’avoir eu en tête, poussé par l’instinct impétueux qui te pousses toujours vers lui. Tu es plus entreprenant, ce n’est plus un geste de douceur, plus un tu m’as manqué chuchoté par un simple baiser. C’est un peu plus brut, un peu plus possessif, un peu plus brûlant. Tu ne réponds pas à sa dernière question, car tu ne sais jamais si tu comptes rester et tu brises trop souvent tes promesses pour en formuler de nouvelles.

Oliver Lewis
le blues du businessman
Oliver Lewis
le blues du businessman


PERSO
Présence  :
en présence réduite
Âge  :
34 ans
Date de naissance  :
02/09/1990
Surnom(s)  :
il se fait le plus souvent appeler par son surnom, Oli
Polaroid :
You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ Tumblr_nepqawRjWx1roe163o6_250
Statut  :
Il est l'amant de son meilleur ami depuis tellement d'années qu'il a arrêté de les compter, fou amoureux et cultivant l'espoir que l'histoire finisse bien
Orientation sexuelle :
homosexuel, ne s'en cache pas mais ne s'en vante pas; n'a jamais fait de coming out
Métier  :
Associé de son père, il oscille entre deux casquettes : cuisinier dans le restaurant familial quand il arrive à se poser ; business man tentant d'exporter la franchise au monde entier quand il est en vadrouille.
Adresse  :
#514 (appartement) Hanbury Road ; Clifton
Les petits détails  :
il collectionne les tatouages, c'est la seule chose qui contraste avec son image d'enfant parfait - la plupart peuvent être cachés lors de ses rendez-vous par un t-shirt manches longues et un pantalon
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
viol, scarification
Warnings  :
addiction
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ SSOl5CNz_o
JOLIVER - nobody sees nobody knows we are a secret can't be exposed that's how it is that's how it goes ; far from the others, close to each other
John #2 - John #3

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la famille - Family is the gathering of random people who wouldn't meet themselves otherwise - and it's the best and the worst thing about family

Zoya #1 - Rafael #2 - AJ #3

Sujets terminés  :
Dexter #1 - AJ #1 - John #1 - AJ #2 - Rafael #1
Messages  :
1074
Pounds  :
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Date d'inscription  :
25/09/2024
Disponibilité rp  :
disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
entre 500 et 1000 mots, troisième personne du singulier, je réponds par ordre de réponse la plupart du temps mais m'autorise à sortir de ce cadre de temps en temps
Genre irl  :
Non-binaire
Faceclaim  :
jack falahee
Multicomptes  :
Cody Shephard & Eli Cash
Crédits  :
amor fati (av) ; may0osh & ranochja (gif) ; awona (signa)
IRL

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You've got my head spinning, no kidding
@Jonathan Barrow ☆ Oliver Lewis
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Aussi égoïste qu’il puisse être sur tout un tas de sujets, pour autant John a toujours su être d’une oreille attentive pour un Oliver un peu trop enjoué concernant son travail. Voilà qui n’aide en rien à calmer son coeur qui se précipite et ses lèvres qui ne s’arrêtent plus de lui conter ses aventures ; s’il se met à y penser un peu trop, il remarquera combien cette soirée semble une nouvelle fois si domestique, deux âmes qui virevoltent l’une autour de l’autre comme une évidence ancrée entre ces murs. Alors il évite de se laisser aller à de telles réflexions, se contente de parler et d’écouter, se contente de vivre le moment présent en faisant de son mieux pour chasser tout ce qui peut bien se passer autour - le monde extérieur ne doit pas exister ce soir. « J’ai regardé un peu, lorsque tu m’as dit que tu partais à Boston ; t’as de quoi trouver de sérieuses opportunités ailleurs, anyway. » Son sourcil droit se lève, un sourire narquois vient s’afficher sur ses lippes. « Ah oui ? Tu as regardé un peu ? » Penser au moment présent, cesser de se faire des plans sur la comète et de laisser son imaginaire voir un futur qui n’existe pas ; c’est plus facile à dire qu’à faire. « Faire gaffe, on pourrait presque croire que ça t’intéresse. » Il taquine un peu ; mais il est touché. John a toujours été d’une oreille attentive quand ça le concernait lui et ce travail si cher à son cœur depuis quasiment sa naissance.

Il ne peut pas s’empêcher de tenter une approche silencieuse et réfléchie, le fourmillement au bout des doigts d’une envie de le toucher, de le sentir contre sa peau. La sienne se dégage - sans surprise - et Oli ne laisse rien paraître sur ses traits ; l’habitude, sûrement. Alors il échange les rôles, s’intéresse au métier de son meilleur ami - il ne lui dit que très peu combien ce métier peut l’empêcher de dormir la nuit quand John part en mission, tournant et retournant dans son lit pendant des heures avant d’abandonner et de se lever pour observer le ciel. « Tu pars combien de temps cette fois ? » Si au début il s’aventurait à demander des informations sur le type de mission, il sait aujourd’hui que c’est peine perdue ; information classifiée ou autre connerie du genre. Alors il se contente de poser les questions qui ont une chance de trouver une réponse et évite de trop penser à ce qu’il ne peut pas savoir. Mais s’il pouvait s’accrocher à John et l’empêcher de partir, sûrement qu’il le ferait. « Ah, si, j’ai une course de moto ce week-end, si jamais t’es dispo pour venir encourager le futur vainqueur - moi ! » Si lui aussi apprécie les sensations fortes, ce n’est rien comparé à celui qui se tient devant lui - et ça a le don de lui faire lever les yeux au ciel la plupart du temps. « Tu t’arrêtes jamais hein. » qu’il rétorque alors, un air faussement dépité sur le visage ; son sourire toujours bien présent - comment le quitter face à ces yeux ? « Tu sais que je serai là. » Même s’il doit annuler quelque chose, même s’il doit manquer une soirée prévue de longue date ; Oli se débrouillera toujours pour être présent si John le lui demande, trop dévoué qu’il est.

Une certaine surprise ne peut que l’envahir quand il sent - enfin ! - la chaleur de sa paume se refermer contre la sienne ; geste tendre et bienvenu qu’il ne commente pas de peur que le moment ne se brise d’un coup d’un seul. « J’adore ta cuisine mais ce n’est pas ce que j’avais en tête, » Oli lui, est bien incapable de manquer le sous-entendu et se laisse porter par le geste ; se rapproche alors de John pour se retrouver bien vite dans ses bras ; sa question oubliée entre eux. « Ah oui ? » question rhétorique qu’il chuchote au milieu des baisers, sa fatigue bien vite oubliée sous le souffle de celui qu’il attendait. Chaque baiser se fait plus pressant que le précédent et Oli n’est pas le genre à cesser ce tourbillon de feu et de flammes. Au contraire, alors que ses lèvres trouvent le cou de John, il entame une marche - pied contre pied, baiser contre nuque - dans l’unique but de le mener contre quelconque surface rigide qui lui permettra de se laisser aller à la tentation qui monte peu à peu en lui. « ça aussi, ça m’a manqué. » qu’il souffle alors, laissant ses lèvres quitter sa nuque pour se placer sur le haut de son torse, parsemant sa peau de baisers quand ses mains descendent de son dos vers ses fesses. Ils se connaissent par cœur ; après tant d’années, il en serait difficile autrement, et Oli se laisse porter par le moment, ne souhaitant pas perdre une seconde, une passion dévorante qui ne les a jamais quittés. Quand ses mains passent sous le t-shirt pour enfin caresser sa peau, il ne peut empêcher la prochaine supplique. « J’ai besoin de toi. » Besoin de sa chaleur, besoin de le sentir contre lui et de sentir son coeur tambouriner contre le sien, besoin de ses baisers et de sa douceur qui sera bien vite oubliée au matin, besoin de son amour qu’il lui semble parvenir à sentir quand les portes se ferment sur eux, besoin de lui - entier pour quelques heures avant qu’il ne disparaisse à nouveau.



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Orientation sexuelle :
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You've got my head spinning, no kidding


L’aveu que tu as formulé te fait hausser les épaules, alors qu’il te taquine. Eh bien, quoi ? Un sourire amusé vient jouer sur tes lèvres alors que tes yeux brillent d’un léger défi. « Qui a dit que ça m’intéressait ? C’est peut-être simplement le fruit du hasard ! L’onglet s’est même ouvert tout seul, maintenant que j’y pense, » plaisantes-tu avec un air faussement sérieux, faussement convaincu par tes propres paroles. « La technologie en fait, des choses surprenantes ! » Si la malice est facile, si les mots s’enchaînent sans réfléchir, mus d’une habitude ancrée dans votre relation, ce n’est pourtant pas le cas des gestes qui, eux, restent en suspens ; fuite inconsciente de ta part alors que tu refuses un contact qui aurait pu être simple mais qui, entre deux amis, n’a pas sa place. « Une semaine, apparemment. » Tu ne parles jamais beaucoup de ton travail, un sujet qui pourtant te passionne mais dont les informations sont tenues secrètes. C’est ainsi, et tu en as toujours respecté les règles. Tu n’as d’ailleurs pas parler de tes récentes difficultés à ton meilleur ami, confidences que tu as gardé pour toi à la suite de ta dernière mission. Ta vue. Tu vieillis et elle est moins bonne qu’il y a dix ans. C’est un sujet d’inquiétude, pour toi qui ne supporterais pas de perdre ton poste, à te retrouver dans un service administratif, comme cela arrive à certains. Pour l’instant, cependant, tout cela n’est pas encore arrivé. Tu vois encore suffisamment pour ton métier - tu ne t’entêterais pas si tu savais que cela pouvait mettre ta vie et celles de tes camarades en danger. Tu changes donc naturellement de sujet - car tu n’as rien d’autre à dire, que tu ne le peux pas, même si tu le voulais.

Savoir qu’Oli sera présent à la course te réjouit ; peut-être est-ce une question d’orgueil, peut-être tout simplement parce que tu aimes faire le coq devant lui depuis toujours, même lorsque vous étiez enfant, mais tu te sens toujours plus vivant lorsque tu sais que ses yeux sont posés sur toi. Comme si tu voulais lui montrer que tu es le meilleur - ou, en tout cas, l’un des meilleurs. Il y aura aussi ta femme, à l’événement, mais tu te gardes de le lui dire - comme si cette information n’avait pas sa place le soir de vos retrouvailles secrètes. Et, de toute façon, où est le problème ? Oli a accepté ton mariage, a même été ton témoin - ce n’est pas comme si lui et toi aviez une relation amoureuse, ces sentiments n'embarrassent pas vos contacts, ne viennent pas encombrer vos liens amicaux et charnels. N’est-ce pas ? « Je savais que je pouvais compter sur toi, » dis-tu avec un sourire enthousiaste. « C’est pas une très grosse compétition, mais il y aura un peu d’animation ! On pourra aller boire un verre après, avec les copains. » Une proposition naturelle, car il en a presque toujours été ainsi. Oli est intégré dans tous tes groupes relationnels, même parmi tes collègues de travail.

Et puis, irrémédiablement, la discussion glisse ailleurs, sur la proposition ignorée d’un repas, sur des lèvres qui se rencontrent à nouveau, sur deux corps qui se retrouvent et se passent de mots. La chaleur de son être devient un besoin impétueux alors qu’il se laisse guider dans cette danse bien connue. Pas à pas, il vous entraîne contre le mur, tes mains le cherchent constamment - ses cheveux, ses vêtements qui encombrent tes gestes alors que tu veux atteindre sa peau, la boucle de sa ceinture déjà défaite ; l’empressement te consume. Ce corps que tu connais par cœur et dont tu ne te lasses jamais, que tu ne peux pas oublier, qui, parfois, te hante. Ce sont les caresses sous ton t-shirt qui allument des flammes insatiables, sa voix murmurée, une supplique au bord de lèvres fiévreuses, qui te pousse à baisser définitivement ta garde, cette barrière seulement franchie dans l’intimité. D’un geste, tes mains glissent sous ses fesses pour te permettre de le faire basculer dans tes bras, le soulever de terre et l’emporter au moins jusqu’à la chambre où tu sais que vous serez mieux installés. Avec un rire au bord des lèvres, tu le déposes sur le matelas, comme s’il ne pesait pas grand-chose, cet homme donc tu te délectes de chaque courbe. Tes lèvres se perdent dans son cou alors que tu lui enlèves ses couches d’habits superflus, ceux qui cachent son torse. Ta main libre ne perd pas un instant pour venir caresser, cajoler, et, finalement, tu le fais basculer sous toi ; encore à moitié vêtus, tout ce que tu as imaginé, parfois, durant son absence, prend doucement naissance entre vous. Tu ne vous laisses qu’à peine le temps de respirer, tu en veux plus. Tu ne prends pas la peine de parler, de dire quoique ce soit, tu n’as jamais été beaucoup dans l’échange, seulement attentif à l’autre par les gestes, les regards. Ton alliance a été enlevée, alors que tu montais jusqu’à chez lui, dissimulée dans la poche de ton jean.


Oliver Lewis
le blues du businessman
Oliver Lewis
le blues du businessman


PERSO
Présence  :
en présence réduite
Âge  :
34 ans
Date de naissance  :
02/09/1990
Surnom(s)  :
il se fait le plus souvent appeler par son surnom, Oli
Polaroid :
You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ Tumblr_nepqawRjWx1roe163o6_250
Statut  :
Il est l'amant de son meilleur ami depuis tellement d'années qu'il a arrêté de les compter, fou amoureux et cultivant l'espoir que l'histoire finisse bien
Orientation sexuelle :
homosexuel, ne s'en cache pas mais ne s'en vante pas; n'a jamais fait de coming out
Métier  :
Associé de son père, il oscille entre deux casquettes : cuisinier dans le restaurant familial quand il arrive à se poser ; business man tentant d'exporter la franchise au monde entier quand il est en vadrouille.
Adresse  :
#514 (appartement) Hanbury Road ; Clifton
Les petits détails  :
il collectionne les tatouages, c'est la seule chose qui contraste avec son image d'enfant parfait - la plupart peuvent être cachés lors de ses rendez-vous par un t-shirt manches longues et un pantalon
Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
viol, scarification
Warnings  :
addiction
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
You've got my head spinning, no kidding ☾ Joliver ☽ SSOl5CNz_o
JOLIVER - nobody sees nobody knows we are a secret can't be exposed that's how it is that's how it goes ; far from the others, close to each other
John #2 - John #3

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la famille - Family is the gathering of random people who wouldn't meet themselves otherwise - and it's the best and the worst thing about family

Zoya #1 - Rafael #2 - AJ #3

Sujets terminés  :
Dexter #1 - AJ #1 - John #1 - AJ #2 - Rafael #1
Messages  :
1074
Pounds  :
2705
Date d'inscription  :
25/09/2024
Disponibilité rp  :
disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
entre 500 et 1000 mots, troisième personne du singulier, je réponds par ordre de réponse la plupart du temps mais m'autorise à sortir de ce cadre de temps en temps
Genre irl  :
Non-binaire
Faceclaim  :
jack falahee
Multicomptes  :
Cody Shephard & Eli Cash
Crédits  :
amor fati (av) ; may0osh & ranochja (gif) ; awona (signa)
IRL

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You've got my head spinning, no kidding
@Jonathan Barrow ☆ Oliver Lewis
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Forcément que John ne peut s’empêcher de faire mine de rien, de taquiner, d’inventer une magie obscure plutôt que d’assumer pleinement qu’il s’y intéresse réellement - même si la conversation ne laisse aucun doute à Oli qui affiche alors un grand sourire. C’est sûrement pour ça qu’il est toujours là malgré les années de doute, les années de rejet, les années à attendre un futur qui ne viendra sûrement jamais. Ce sont les moments comme celui-là, ces petits secrets qui font chavirer son cœur et lui donnent l’impression de vivre quelque chose de plus grand. « Ah oui je vois, la technologie. Elle en fait des miracles. » le regard qu’il pose sur lui est tendre - mais ne le sont-ils pas tous ? - touché par l’intérêt que John a pu porter à son travail et à ses allers et venues, l’intérêt qu’il lui porte toujours et qui le fait toujours tomber un peu plus dans ses bras. « Une semaine, apparemment. » Petite moue de déception en avance, il lui tarde déjà que John ne lui revienne sain et sauf. Il aimerait en savoir plus, aimerait que Jonathan ne se dévoile un peu quant à son métier, à ce qui le fait vibrer et ce qui le retient ; il connaît ses collègues et si certains d’eux rigolent de certaines missions passées et qu’Oli arrive parfois à récupérer des bribes, il n’est jamais entré dans la tête de John pour en saisir toutes les subtilités et les difficultés. Peut-être qu’un jour, il parviendra à briser cette carapace - il en rêve.

En attendant, il se contente de ce que John accepte de lui donner - ce n’est pas toujours suffisant mais pour ce soir, ça devra faire l’affaire. La course fait partie de ces bouts de sa vie qui lui sont offerts sur un plateau sous couvert d’une amitié qui dure depuis des décennies. Il ne se demande même pas si elle sera là, évite de se parasiter avec de telles questions avant qu’il n’en ait plus le choix. Il évitera le sujet, fermera ses pensées quand la question tambourinera contre ses tempes et il assumera le moment venu, quand il se retrouvera face à elle à devoir faire mine de rien, faire semblant de l’apprécier, quand il devra empêcher son regard de trop se poser sur John et son coeur de se briser quand le couple heureux et marié s’embrassera sous ses yeux. Non, il n’y a pas d’intérêt à y penser pour le moment, John est à lui pour quelques heures. Alors il n’épilogue pas, refusant de trop y songer par avance, accepte d’un hochement de tête le verre avec les copains - il est rare qu’il refuse, de toute façon.

Pour ce soir, John est à lui et c’est tout ce qui compte. Ses lèvres contre les siennes, son coeur qui s’emballe, son envie de le sentir tout autour de lui qui ne fait que grandir l’empêche de réfléchir plus longtemps et le force à laisser ses instincts prendre le dessus. Et son instinct n’est capable de crier qu’un prénom, encore et encore. John qui semble lui aussi bien heureux de retrouver son prétendu ami sous toutes ses coutures. Ses gestes se font pressants et Oliver se laisse porter jusqu’à la chambre sans une parole de contestation au bout des lèvres, ces dernières bien trop occupées à reprendre possession de la peau de celui qu’elles ne connaissent que trop bien, traçant une carte invisible de baisers dans son cou et sur ses lèvres. Leurs rires s’entremêlent, leurs soupirs également ; Oli perd peu à peu ses vêtements et son corps ne peut que réagir aux caresses dont il rêve si souvent, se courbant au détour des baisers langoureux de John. Bien vite, on n’entend plus que leurs respirations saccadées à l’unisson, leurs gémissements et les mots doux d’un Oliver bien incapable de se contenir, laissant ses pensées les plus intenses s’exposer entre eux. Des tu m’as tant manqué couplés à des encore et des c’est si bon qu’il ne garde que pour cet homme. Il ne laisse de répit à aucun centimètre de sa peau, le couvrant de baisers, des caresses et de son corps pour qu’eux ne fassent plus qu’un.

Quand sa tête retombe sur l’oreiller, le corps en sueur et un sourire aux lèvres qu’il ne peut retenir - de plaisir, de bonheur, d’amour - il ne perd pas une minute pour venir coller son nez dans le cou de son amant, laissant sa main reposer sur le torse nul de John, un doigt caressant toujours sa peau. Peut-être que s’il s’accroche assez fort, John restera auprès de lui.




_________________

always you
J’ai aimé jusqu’à atteindre la folie. Ce que certains appellent folie, mais ce qui est pour moi, la seule façon d’aimer.

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Jonathan Barrow
le parfum d'interdit
Jonathan Barrow
le parfum d'interdit


PERSO
Âge  :
34 ans
Date de naissance  :
22/02/1990
Surnom(s)  :
John, ou Jake.
Polaroid :
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Statut  :
Marié depuis quelques années à Barbara, ton cœur vacille entre le devoir conjugal, cette apparence maintenue, et la passion qui te consume en secret dans les bras de ton meilleur ami.
Orientation sexuelle :
Tu es homosexuel, mais tu préférerais que personne n’en sache jamais rien.
Métier  :
Pilote de chasse à la Royal Air Force
Adresse  :
101, Linden Road - Redland
Les petits détails  :
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─ ∙ what do you want from me? ∙ ─

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Pronoms du perso  :
il
Triggers  :
violences sexuelles
Warnings  :
homophobie ; adultère
Intervention pnj  :
oui
Liens & sujets  :
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Oli Meilleur ami, le rire léger et facile, confidences, services rendu ; amant, secret étouffé entre les murs, draps froissés par la culpabilité et l'interdit.

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Barbie Mariage arrangé, factice ; illusion craquelée par le temps, poussière de souvenirs heureux.

[RP] Joliver #2 | Joliver #3 (Event) | Jonara #1

Préliens attendus  :

Sujets terminés  :
Joliver #1
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Date d'inscription  :
02/10/2024
Disponibilité rp  :
disponible pour de nouveaux sujets
Préférences rp  :
Je m'adapte énormément à mes partenaires ; je rp à la deuxième personne du singulier ; je réponds par ordre chronologique (date la plus ancienne à la plus récente) mais il m'arrive de privilégier certaines hypes du moment.
Genre irl  :
Masculin
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@ranochjart (avatar) @ranochja (crackship) @Awonaa (signature)
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You've got my head spinning, no kidding


Ce n’est soudain plus que des soupirs, dans l’appartement, des murmures qui résonnent contre les quatre murs d’une chambre close ; le bruissement des draps sur des peaux nues caressées du bout des doigts, marquées de quelques griffures égarées, de morsures aux traces éphémères. C’est un mélange de douceurs possessives, de brusqueries empressées, de corps qui se connaissent par cœur sous des soupirs familiers cent fois entendus. Les baisers brûlent ta peau, culpabilité et désir qui s’entrechoquent toujours au même endroit. Les sensations prennent le dessus sur tout le reste, les pensées s’éparpillent, rien d’autre ne compte, seul le plaisir demeure, impatient, brisé sur la voix de ton amant, chanson à tes oreilles que tu ne complètes pourtant pas, te contentant d’admirer brièvement celui que tu enlaces et qui t’enlace en retour, étreinte perdue au milieu de cette mer dans laquelle tu te noies. Il représente les délices interdits, ceux que tu tu nies si facilement lorsque vous n’êtes pas qu’entre vous, ceux que tu dénigres. Il n’est pas ce que tu cherches, tu t’en convaincs en revenant pourtant toujours vers lui pour prendre, prendre, prendre, et ne rien donner - jamais, ou si peu.

C’est la tête vide, brumes de satisfaction dans un esprit fatigué, qu’un de tes bras vient se poser autour des épaules de ton amant dont la respiration vient chatouiller ton cou. Tu fermes les yeux et te rappelles peu à peu où tu te trouves - et avec qui tu te trouves. Tu es beaucoup moins fuyant que les premières fois, les années ont installé des habitudes, ont balayé certaines craintes, ont en partie chassé les premières culpabilités ressenties - qui n’en sont pourtant pas moins lourdes. Tu es pourtant bien, en cet instant précis ; tu n’as jamais rien craint d’Oli : ni jugement, ni trahison. Tu sais qu’il ne parlera pas du secret qui vous lie si régulièrement l’un à l’autre, et tu sais aussi qu’il ne t’en parlera pas à toi, en dehors de ces moments partagés, où vos corps parlent à votre place, où rien n’a plus vraiment d’importance.

Tu as le furieux besoin d’un café, alors qu’il est maintenant tard et que vous devriez surtout vous reposer. Tu tournes légèrement la tête en direction d’Oli dont les doigts caressent ton torse, dont chaque caresse déclenche de nouveaux frissons dans tout ton corps. Tu aimerais qu’il n’en soit pas ainsi - mais ces dernières semaines ont été longues, tu ne peux pas mentir. Ce n’est qu’une histoire de sexe, bien sûr ; pas grand chose d’autre que le sexe. A lui, tu peux lui parler même au bout du monde - non ? Tu te penches au-dessus de lui pour réclamer (exiger) un nouveau baiser qui, tu le sais, ne te sera jamais refusé. Tu éveilles de nouvelles flammes entre vous, et les minutes s’étirent à nouveau, comme si vous étiez encore de simples adolescentes, que ces découvertes naissaient entre vous, sans cesse, à chaque retrouvailles, sur des corps que vous connaissez pourtant par cœur.

Une fois encore, les souffles qui se mélangent, les murmures, les gestes plus alanguis, plus lents, moins empressés, une douceur plus présente de ta part alors que vos peaux se rencontrent encore et encore, s’appartiennent avant de se séparer. Tu as perdu la notion du temps - il doit être plus tard encore, et les draps sont complètement défaits. Tu laisses échapper un petit rire en voyant le désordre sur le lit et te redresses légèrement contre l’oreiller, derrière ton dos. « Quel bordel, » murmures-tu, amusé, avant de jeter un regard à ton amant, comme si tu t’apprêtais à ajouter quelque chose, un mot au bord de tes lèvres dont tu n’as toi-même pas conscience mais qu’une retenue habituelle arrête. Tu rabats plutôt la couverture sur vous, couvres vos corps comme l’on couvrirait les traces d’un crime, sans rien ajouter. Quelque chose, en toi, te crie de partir, l’autre te hurle de rester ; la fatigue prend le dessus sur la raison et les craintes qui s’étirent toujours contre tes propres barrières et tu laisses ta tête retomber près de celle d’Oli. « Si tu veux pas avoir l’air d’un zombie demain … Enfin pas plus que d’habitude … Faudrait pas tarder à dormir. » phrase marmonnée contre la couverture qui vous recouvre. Tu sais que, de toute façon, tu seras parti à l’aube avant qu’il ne s’éveille, comme brûlé par cette nuit passée ensemble.

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le blues du businessman
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You've got my head spinning, no kidding
@Jonathan Barrow ☆ Oliver Lewis
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Le constat est simple et sans appel, si Oliver pouvait ne jamais décrocher de la peau de John, il resterait ainsi contre lui pour le reste de ses jours - à sentir sa chaleur et son odeur envahir la totalité de ses sens, à se laisser enivrer par tout ce que l’autre peut lui donner. Il n’est absolument pas capable de lui résister, n’a jamais su le faire et n’essaie même plus, préférant se donner tant et plus et conservant secrètement l’espoir que les choses changent en sa faveur un jour, un espoir vain qui l’anime depuis tant d’années qu’il ne saurait même pas vivre sans. Tout comme il ne saurait pas vivre sans l’homme sous ses baisers. Alors forcément qu’il se laisse une nouvelle fois emporter par ses lèvres et la chaleur de sa peau sous ses doigts, il est tout bonnement incapable de lui résister, n’a même pas envie de s’y essayer.

Il n’y a aucune réflexion à avoir, leurs corps fonctionnant l’un pour l’autre sans qu’ils n’aient à leur dicter quoique ce soit, leurs mains s’enlaçant comme si elles connaissaient le chemin, leurs lèvres s’emboîtant parfaitement comme elles l’ont toujours fait, chacun connaissant la chanson de l’autre et le moindre râle devient musique aux oreilles d’un Oliver qui ne pense à rien d’autre qu’à l’homme qui lui colle à la peau. Il s’oublie le temps d’un instant, laisse filer les heures aux rythme de ses hanches, laisse son coeur tambouriner contre sa poitrine pour essayer de s’accrocher à celui de John - sans succès, toujours sans succès. Il s’oublie et se ranime sous ses caresses, sa peau en extase sous ce qu’il pense - espère - être un semblant d’amour, un petit quelque chose juste pour eux.

« Quel bordel, » Petit murmure déposé contre son oreille alors que ses yeux sont fermés, il se force à affronter la vérité en laissant entrouvrir ses paupières. Un rire s’échappe forcément de ses lèvres ; c’est un sacré bazar, bien que rien ne soit surprenant là-dedans. « C’pas grave. » qu’il répond alors de sa voix enrouée, refermant ses yeux l’espace de quelques secondes alors que la couverture vient se poser sur ses épaules - il laisse son coeur croire qu’il s’agit là d’une marque d’affection, se refuse à voir le vrai derrière son imaginaire. Sa main sur John souhaite le retenir, peut-être vaine tentative de le forcer à rester ; parfois ça fonctionne, parfois non. Quand son visage retombe près de celui d’Oliver, le chef sait qu’il a gagné et affiche un sourire des plus heureux, une affection évidente présente dans l’étincelle de ses yeux. « Je profite encore un peu. » qu’il souffle, les paupières lourdes mais refusant de s’endormir tout de suite, alors qu’il ne souhaite que profiter un peu plus du temps qui lui est alloué - il sait que celui-ci n’est que temporaire et chaque seconde gâchée est une seconde perdue qu’il ne retrouvera pas, vivant dans ce monde de limites qui menace de s’arrêter à tout instant sans qu’il n’ait aucun contrôle dessus.

Alors il profite encore un peu mais bien vite, ses muscles se relâchent, ses yeux se ferment et il trouve le sommeil au creux des bras d’un John qui aura - comme d’habitude - fui l’appartement au petit matin, emportant avec lui un bout supplémentaire d’un Oliver déçu - mais jamais surpris. You’re a fool.

FIN

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